Elsweyr, la vallée des déchus
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Vous incarnez un reclus de la société médiévale fantastique. Anges déchus, démons, vampires, voleurs, assassins et mutants en tout genre, nous vous souhaitons la bienvenue à Elsweyr, la vallée des déchus!
 
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 La plage Urla

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MessageSujet: Re: La plage Urla   La plage Urla - Page 2 Icon_minitimeLun 21 Jan - 17:52

J'eus un petit rire nerveux. L'ambiance commençait à devenir pesante. Apparemment, il ressentait le même malaise que moi. Mais que nous arrivait-il ? Je ne savais pas et tout cela commençait un peu à m'effrayer. Pourquoi mon coeur battait-il si fort ? Pourquoi je rougissais si brutalement lorsqu'il me regardait ou me touchait ? Et pourquoi lui arrivait-il la même chose ? Etions-nous victime d'un sort que nous aurait lancé un petit farceur ? Je me mordis la lèvre inférieure. Je n'aimais pas ça. Mais pourquoi ? Quoi ? Où ? Comment ? Tant de questions se bousculaient dans mon esprit, questions auxquelles je n'avais guère de réponse.

Je relevais enfin les yeux vers lui et lui sourit. Il fallait absolument que je récupère mon baluchon, vu que je changeais de logement, changement qui, il fallait l'avouer, me faisait grandement plaisir. Je savais que je ne serai pas chez moi, et que je ne devrais les déranger, mais il serait là, Elijah, et je pourrais le voir chaque jour. A cette pensée, je rougis de nouveau, sans aucune raison apparente. Puis, il me parla d'un tour à dos de dragon. Je le regardais, sceptique.

"Dragon?"


Puis, mon visage s'éclaira. J'en avais presque oublié qu'il pouvait changer de forme ! En même temps, même si son autre forme m'avait marqué, je ne voyais que la personne qu'il était... Mais cela faisait parti de lui, même si cela m'effrayait un peu, pour tout dire. Je lui souris de nouveau.

"Tu veux dire que tu veux me prendre sur ton dos ?"


Cette idée me fascinait et m'angoissait à la fois. J'avais toujours rêvé de voler... Mais, et si je tombais ?... Non, il ne me laisserait jamais chuter, j'en étais certaine.
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MessageSujet: Re: La plage Urla   La plage Urla - Page 2 Icon_minitimeSam 26 Jan - 10:42

Je faisais un large sourire à sa réaction face au mot Dragon. Alors qu'elle me posait une nouvelle question j'acquiesçais silencieusement de la tête. J'attendis qu'elle enfile ses vêtements, puis, une fois fait, je prenais ce que l'on appelait, nous les hybrides, ma forme originelle. Celle d'un immense dragon bleu. Je déployais mes ailes et me redressais fièrement. Les dragons sont des créatures fières et qui aime qu'on les considère comme de fantastiques animaux. Allongeant mon long cou, je vins donner un petit coup de tête à Raelyn, coup de tête qui la fit néanmoins reculer de quelques pas. Me redressant et laissant échapper un léger filet de flammes rouge, je secouais doucement la tête. Sans que ma mâchoire ne bouge, ma voix s'éleva, sortant du tréfonds de mon être :

Excuse-moi, j'voulais pas te repousser...

Baissant la tête, je commençais à la pousser vers mon dos, l'incitant à grimper. Lorsque ce fut fait, je reculais d'un pas, me tassant sur moi-même, puis contractais mes muscles.

Si j'ai un conseil à te donner, c'est de bien t'accrocher!

Et sur ces mots, je pris mon envol.

[suite du rp: https://elsweyr.forum2jeux.com/t16-les-ruines#320]
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Zarsh

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MessageSujet: Re: La plage Urla   La plage Urla - Page 2 Icon_minitimeJeu 20 Juin - 19:48

Ils traversèrent les bois un moment... Repassant devant la rivière, le lac et la fameuse cascade où ils s'étaient rencontrés pour la première fois, et avec ce paysage magnifique son lot de souvenirs, de sensations, lui revenait très facilement à l'esprit... Mais ce ne serait pas très "original" de faire ça une seconde fois à cet endroit, même si le bruit de la cascade couvrirait aisément la voix de Jade, elle méritait un tout autre "paysage" sur lequel pourrait s'étendre l'écho de ses cordes vocales, quelque chose de plus vaste, ouvert, et avec une vue imprenable par dessus le marché... Elle fut obligée de marcher au pas de l'hybride, qui était sans conteste bien plus leste et rapide que le sien, il la maintenait presque à la course pour qu'une fois la forêt traversée, elle se retrouve à bout de souffle, mrr, mais ça ne sera sans doute pas la seule chose qui lui "coupera" une fois qu'ils auront décidé du lieu de son supplice, la maintenant au pas de course il sait qu'elle s'essoufle peu à peu, s'échauffe même sans doute, et dieu sait s'il l'aime nature et naturelle, s'il raffole également de son odeur, et ce petit exercice forcé ne peut que la mettre d'avantage en "condition" pour son plus grand plaisir.

Il avait encore du mal à en revenir, son regard se perdant parfois derrière lui, sur elle de bas, en haut, avant de s'en pincer la lippe inférieure en raffermissant sa grippe sur sa main, était ce juste un long rêve ? Etait ce juste cette cité qui le protégeait enfin des affres habituelles qui le poursuivent comme une plaie, un fléau partout où il met les pieds, et qui ont pourtant l'habitude de lui rendre la vie impossible ? Il pouvait enfin un peu "vivre" mais surtout, profiter de plaisirs dont il n'aurait jamais osé ne serait ce même penser, qu'il n'aurait jamais imaginé être à sa portée, ni encore moins qu'on lui accorde, ni même les mériter... Comment... Comment pourrait il garder ce... Cette anomalie dans son existance, le plus... Longtemps... possible ? Déjà... Déjà il se doit de rendre la pareille à Jade...

Ce qui ne tardera pas lorsqu'ils déboucheront, à sa grande surprise à lui aussi, sur le rivage d'une longue, interminable plage où rares se font les visiteurs, une magnifique étendue d'eau étincelante à l'horizon, des galets lisses, des rochers sur le sable à perte de vue, de nombreuses algues et étoiles de mer perdues sur le sable... Il court, court si vite, qu'il en lâche peut être même la main de Jade dans sa précipitation, elle est sans doute au bout de ses forces et de son souffle, il "dérape" littéralement sur le sable pour faire demi tour et s'agenouille face à elle, posant ses lèvres fraîches sur son ventre, sur son nombril, entre la fin de son corset si délicieusement serré et la ligne du début de sa "jupe", mordillant, si ce n'est, même le "cuir" qui borde ce vêtement, et embrasses, embrasses, cajoles son bas ventre du duvet si doux et fin de son visage, de ses rayures, ses griffes glissant sur ses cuisses couvertes de perles de sueur à force de courir, sa langue venant même "percer" ces perles naissantes sur sa peau en remontant... rrremontant très lentement sous sa jupe, qui cache en partie son visage sous elle...

Ce qu'elle verra ne sera sans doute, que sa queue de tigre qui balance, une partie de son dos et sa position a genoux entre ses jambes, alors que Jade est encore à bout de souffle et cherche de l'air ce beau salaud en profite pour déjà la torturer, elle, debout face à ces faisceaux cristalins divisant la mer au loin, comme un vitrail sans cesse changeant à la surface de l'océan, il l'agrippe, ne lui laisse, aucune chance de lui échapper ♥ Ses baisers s'abattent, comme une pluie fraîche et apaisante sur sa peau embrasée, rougie par l'exercice, il monte, monte avec ses lèvres, ronronnant malicieusement entre ses jambes, ses bonnes grosses paluches pétrissant déjà ses fesses en les maintenant de telle sorte à ce que son bassin soit un peu jeté vers lui, accessible, le cuir moulant les courbes de son entrejambe lui semblent être, la plus belle chose qu'il ne lui ai jamais été de voir, et ne peut s'empêcher, oh non ♥, s'empêcher de venir lécher... lécher ce cuir déjà trempé tout à l'heure, par ses fluides de plaisir, c'est bon, si bon mrrr, l'odeur et le goût le rendent déjà dingue, sa langue râpeuse viendra donc, déjà user et distendre le cuir, le faire vibrer de ses bons ronronnements appuyés parfois de ses lèvres, parfois de sa langue contre son sexe, par dessus le cuir...

...Le visage de ton beau tigre n'est pas en reste puisqu'il tournoies con-ti-nu-elle-ment entre tes cuisses, leur prodiguant la plus soyeuse et frissonnante des caresses avec ses joues rayées, sa chevelure, peut être est ce même plus "stimulant" encore qu'il ne soit, partiellement plus visible sous ta jupe pendant que des sons humides de cuir lèché et ralèché, suçoté et mordillé s'élèvent, dans les airs, le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il t'ait pris de court, et pas seulement à court de souffle pour récupérer de cette course, mais aussi à bout de souffle sous la beauté insaisissable de la vue offerte, profitant du double "choc" pour ravir tes zones intimes, il n'a pas la patience, non ♥ Pas la patience d'attendre et de jouer longuement avec ton désir montant cette fois, même si le cuir protèges encore ces parties magnifiques qu'il rêve d'embrasser, lécher, mordre de toute sa mâchoire et t'entendre grogner à ton tour, il lèche le sel de ton cuir en appuyant foutrement bien sa langue sur cette surface pôlie, usée, laminée par sa langue, il en ferme les yeux tant ça lui est savoureux, cherchant à profiter de chaque putain d'seconde qui lui sera permise d'en profiter, son propre sexe à nouveau tendu, et pourtant son plus grand plaisir, sa plus grande envie est de lui rendre au moins, au centuple ce qu'elle lui à offert...

Il s'arrêtera parfois pour laisser dépasser son regard du rebord des pans de ta jupe pour plisser la malice de ses yeux et s'assurer que la "surprise" fasse effet, après quoi il se remettra à la tâche avec plus de conviction et de gourmandise, mais il cherchait d'abord, l'approbation, d'un regard entendu de sa déesse...
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MessageSujet: Re: La plage Urla   La plage Urla - Page 2 Icon_minitimeJeu 20 Juin - 20:56

Et voilà, voilà qu'ils avançait au pas de course à travers les bois, marchant d'un pas rapide que bien évidemment Jade était la seule à avoir du mal à adopter... Évidemment, elle était humaine, enfin, elfe ce quine changeait pas grand chose si ce n'est peut-être les oreilles pointues, bref, elle n'avait pas la condition physique d'un mi-homme mi-tigre et encore moins d'un guerrier surentraîné tel que son tigre à elle, non vraiment, elle avait du mal à adapter son rythme à celui de Zarsh, elle réussit à le suivre, oh ca oui, elle n'était pas prête de le lâcher, pas maintenant, pas maintenant qu'elle avait tant envie de lui, et puis, après tout, même si il n'y avait pas cette furieuse envie, elle ne l'aurait pas quitté des yeux, il lui est bien trop précieux, elle le suit donc, relevant son regard à plusieurs reprises sur lui qui avance plus rapidement qu'elle, elle est derrière bien évidemment, et elle en profite, elle en profite d'avantage pour l'admirer, pour vraiment «mater» la musculature du félin qu'elle devine si aisément grâce au pantalon qui, Bon Dieu, le moule encore tant...


Elle admire, oui, admire les muscles de son tendre tigre, et inlassablement son regard se baissera jusqu'à ses fesses elles aussi trrrrès bien moulées, tellement bien d'ailleurs qu'elle se sentirait presque obligé de l'arrêter, de le stopper là maintenant pour à nouveau s'occuper de lui de bien des façons oui mais elle se retient, et puis, quelque chose d'autre attire son attention, ils passent tout deux devant la cascade, le premier lieu où elle s'est donné à lui, là où ils s'étaient tous les deux rencontrer, cet endroit où elle avait finis par tomber follement amoureuse de lui. Elle s'en rappelle très bien, parfaitement bien et à ces souvenirs elle se sent rougir, et frémir, son bas-ventre se met à chauffer un peu plus intensément, comme si c'était encore nécessaire à ce stade. Ils passent donc devant la cascade et tout en repartant aussi vite qu'ils étaient arrivés, elle laisse dériver son regard, regard qui s'attardera longuement sur la surface de l'eau puis qui repassera sur la végétation, sur cette roche en plein milieu du petit lac sur laquelle elle s'était d'abord assise pour subir les assauts de son mâle avant de se mettre a quatre pattes puis d'enfin s'allonger sur le dos tout en suivant les désirs de Zarsh.

Elle s'en était souvenue et un léger sourire en coin venant étirer ses lèvres le prouve. Elle sait que ce moment d'ivresse, de plaisir lui restait à jamais gravé dans la mémoire, et ce même si ils avaient été interrompus, bon sang oui, elle s'en rappelle également et se remémorise la scène, fronçant les sourcils, s'étonnant au final de ne voir personne à leur poursuite... Zarsh n'avait-il pas dis que cette disparition subite de ces hashashins aurait du en attirer d'autres? Elle se pose maintenant la question, ils ne sont pourtant pas suivis ni surveiller, rien de tout ca... Peut-être ont-ils abandonnés devant sa démonstration de force...? Ou peut-être n'étaient-ils pas encore tout simplement arrivés? Elle n'en sait rien et elle y pense quand la lumière l'éblouie soudainement, ils quittent les bois et ca se soit, la lumière perce et arrive à nouveau jusqu'à ses yeux, yeux qu'elle plissera un moment avant de s'arrêter subitement devant la beauté de l'endroit. Son tigre lui continu, ne semble pas s'arrêter mais elle ne le voit pas, elle n'y pas vraiment attention, son regard est bien trop attiré par ce quelle voit, cette lointaine étendue d'eau qui brille, qui reflète les rayons du soleil, elle a comme l'impression de voir des perles du lumières sur l'eau.

C'est beau... C'est beau et ca lui coupe le souffle, elle qui était pourtant déjà si essoufflé. Elle en reste là, pantelante, à admirer le paysage alors qu'un peu plus tôt elle ressentait un terrible désir, elle un peu perdue de voir un tel paysage et c'est pourquoi elle ne remarque pas tout de suite Zarsh qui déjà s'empresse de poser ses lèvres sur sa peau, caressant de sa bouche fraîche son ventre puis descendant peu à peu vers le bord de sa jupe, elle ne le voit pas tout de suite et frissonne finalement en sentant son visage se caresser contre sa peau, elle en frémit brusquement et baisse finalement les yeux sur son tigre, et ce qu'elle voit ne contribuera qu'à faire naître un autre frisson qui, naissant aux creux de ses reins descendra sur son corps, recouvrant notamment ses fesses, ses cuisses et ses jambes d'une chair de poule. Mais ce n'est pas tout et elle le sait, il partit là pour s'amuser longuement, très longuement avec elle et elle gémit d'abord une première fois en voyant son visage se glisser sous les pans de sa jupe, il n'a pourtant encore rien fait mais elle se sent déjà si... humide et excité que c'est involontairement qu'elle le lâche ce gémissement.

Elle baisse les yeux et se mordille la lèvre inférieur quand elle s'entend gémir, frémissant de plus belle, elle baisse le regard sur lui et le voir ainsi, dans cette position, ca ne fait qu'aggraver son désir, la laissant «mouiller» encore un peu plus, pourtant, pourtant elle sent qu'elle n'en pourrait déjà presque plus, et ce n'est que le début, ce ne sont là que des baisers et des caresses de son duvet contre sa peau, alors pourquoi, pourquoi réagit-elle de cette façon? Est-elle devenue si foutrement sensible? Elle n'a toujours pas repris son souffle quand déjà il l'attrape pour l'empêcher de fuir, de toute façon, elle n'aurait sans doute pas essayer de partir, pourquoi le ferait-elle, elle qui l'aime tant et n'attend que ca, que ca oui? Elle sent ses mains sur ses fesses et elle se crispe légèrement en comprenant qu'il ne cherche là qu'à profiter un peu plus de ses charmes en la poussant légèrement vers l'avant, de telle sorte qu'elle ne peut absolument pas lui échapper. Elle sent ses lèvres remonter peu à peu vers son entrejambe et elle ferme les yeux, basculant un peu la tête vers l'arrière, attendant ce contact si désirable dont elle a tant envie et lorsqu'il, enfin, lorsqu'il fait passer sa langue si délicieusement sur le cuir de ses sous-vêtements qui ne cachent vraiment plus rien de la forme de son sexe, elle gémit, gémit profondément et vient glisser l'une de ses mains dans ses cheveux tandis que l'autre se referme sur son épaule qu'elle ne peut s'empêcher de serrer entre ses doigts tant... Tant elle sent se corps se crisper à ce premier contact pourtant si agréable.

Elle s'est crispé c'est vrai mais elle se détend presque aussitôt, venant plutôt flatter la nuque de son tigre de lentes et douces caresses. Les doigts de son autre main s'amusent à parcourir, à «gratouiller» longuement la base des cheveux de Zarsh, jouant avec quelques unes de ses mèches, jusqu'à ce que l'un d'entre effleure brièvement son oreille. Ils reprennent, reprennent aussitôt leurs caresses, se crispant par moment quand une lèche plus râpeuse que l'autre passe sur le cuir. En plus de ces délicieuses lèches, il lui fait l'honneur de lui offrir d'autres caresses du duvet de son visage sur ses cuisses, c'est frissonnante qu'elle en gémit, qu'elle en soupire et miaule parfois même. Elle sent que déjà ses lèvres expertes font remonter son désir qui éventuellement aurait pu diminuer durant cette course qu'ils avaient entrepris pour arriver jusqu'ici. Elle sait qu'il est au même niveau que tout à l'heure et qu'il augmente, augmente encore. C'est... Terriblement bon, si bon, vraiment! Elle est encore entièrement vêtue et des vagues de chaleurs l'embrasent, si bien que quelques gouttes de sueurs viennent perler sur sa peau. Elle a chaud oui mais elle... A-t-elle droit de se déshabiller? Son tigre le lui accorderait-il?

Elle baisse alors les yeux et croise son regard, le sien est déjà emplit de plaisir, probablement légèrement voilé tant elle est soulagé de le sentir enfin entre ses cuisses. Elle a tant... Tant attendu, la façon dont elle avait pris soin de lui tout à l'heure l'avait mise à l'épreuve, elle avait du refouler ce désir pour mieux se concentrer sur celui de son tigre et elle y avait réussis c'est vrai, mais malgré cela elle n'avait pu s'empêcher de devenir si humide. Elle en est donc terriblement soulagé et elle gémit de plus belle en voyant son regard si malicieux, si vicieux. Elle trépigne, ses orteils se recourbent dans ses chaussures, se crispent, elle est tellement... tellement excité à ce moment là qu'elle ne peut rien dire mais bon sang, ce qu'elle aimerait lui hurler son désir, lui crier son plaisir.  
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Zarsh

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MessageSujet: Re: La plage Urla   La plage Urla - Page 2 Icon_minitimeVen 21 Juin - 19:00

HAah... Il l'eut ressentit... Ce frisson particulier lorsqu'ils eurent traversé la forêt... Le magnétisme étrange, d'un regard caressant son dos, et plus particulièrement ses fessiers en mouvement sous une course effrenée, avait il seulement fait attention, où pris conscience ? Le balançement de sa queue de tigre n'avait il pas, laissé admirer ses rondeurs musculeuses au regard de Jade de façon, semi intentionnelle ? où complétement... consciente ? En aurait il sourit, en coin, et même souligné la rondeur charnelle en mouvement de l'étreinte enserrée, enlaçée de son appendice félin autour de ces rondeurs dont la musculature présente de jolies fossettes de force, renfoncées dans ses fesses où même, les muscles de sa chute de rein ? Il ne pouvait... S'empêcher de ressentir un petit frisson donc, de savoir qu'elle à pu "matter" d'une façon aussi intense, son propre postérieur, frisson d'appréhension comme de fascination... Il se demande, s'il l'avait su plus tôt si... Il aurait aussi "joué" et profité de cet autre "atout", le regard de Jade le faisait frémir avant même qu'elle ne pense à le caresser où le toucher, c'était tout bonnement incroyable, et là se mêlait une étrange envie de découverte comme une petite frayeur, la frayeur d'une certaine inconnue et de choses qu'il ne peut sans doute s'avouer où s'imaginer...

Mais revenons en à nos moutons... Une fois cette impression passée alors qu'il l'observe depuis les rideaux noirs de sa jupe coupant l'arrête de son nez, juste sous le niveau de ses yeux, il peut profiter, contempler tous les états dans lesquels se trouve cette magnifique jeune femme, sa protégée... Sa petite chatte se transformant parfois, il doit bien l'avouer, en véritable tigresse... Une tigresse s'épanouissant, se dévergondant l'un, comme l'autre à leurs contacts partagés au point où beaucoup de choses, peut être, trop de choses n'avaient plus beaucoup d'importance, il est vrai... Qu'Il en perdait le fil conducteur de toutes choses et même de la raison principale pour laquelle il s'était échappé, et avait fini ici, aux abords de cette cité protégeant tous les "déchus" et damnés de ce monde, il est vrai que cette "perdition" ne ressemblait finalement qu'à une sorte, d'idyle mature, amoureuse ? C'était beaucoup plus que du simple amour, plutôt une rage de désir passionnelle consumant leurs corps,  comme s'ils s'étaient tous deux voulus et attendus plusieurs vies.

Et c'est avec cette foutue envie, qu'il s'en prend au cuir moulant ses lèvres, que l'une de ses griffes sillonne lentement la matière étroite couvrant si peu, son entrefesse, qu'il grattes avec le bout de sa griffe l'endroit précis où se trouve cette petite zone plissée, entrée délicieusement vicieuse et secrète, cachée entre deux rondeurs postérieures à se damner, la râpe de sa langue continue d'user, d'abraser, d'irriter ce bon cuir, plus encore... Plus encore lorsqu'elle se met à dégouliner comme une fontaine, lui offrant quelques bonnes gorgées de son nectar de plaisir, alors que les premiers "flots" s'échappent ce vil lion plaque ses lèvres bien à fond contre son entrejambe et ouvre bien grand, bien grand la souplesse de sa mâchoire, englobant toute la surface de sa zone matricielle avec une aisance déconcertante, et puis suçe, pompe, ralèche et avales, sans laisser la moindre chance à la plus petite goutte de lui échapper,  quel vilain petit chaton assoifé il fait n'est ce pas ? Pressant d'avantage sa langue frottante, allant et venant comme une folle sur le cuir noir distendu, élastifié par les passages incessants de sa langue, puis soudain il n'y tient plus et lui baisse totalement son sous vêtement de cuir jusqu'aux chevilles, et reste là... Reste là un instant à regarder, à n'en croire, n'en croire que tout ça... Ce festin de belle chair rose et trempée, humide à souhait est "pour" lui...

Ses lèvres en tremblent alors que ses griffes s'approchent de celles ci, soudain devenu, aussi fébrile et nerveux, haletant et hoquetant qu'un croyant ayant soudain été témoin d'une apparition divine, tour à tour ses griffes tâtent ses propres joues comme s'il cherchait à s'éveiller d'un rêve impossible, et puis repassent sur les cuisses de Jade, sa langue venant, goutter aux longues gouttes de son nectar s'étant écoulées, ruissellantes, comme des rivières de lave sur l'intérieur de ses cuisses, il remonte en laissant trrrainer longuement sa langue sur ses cuisses, vers l'aine, vers cette peau encore suintante sous sa jupe, l'odeur rend le tigre, la bête dingue, dingue, complétement dingue, si bien qu'il commence à prendre légèrement du volume, que sa musculature et son ossature se mettent à croître légèrement, devenant plus massif, à en faire craquer un peu les coutures de son pantalon en cuir qui semble faire désormais étouffer ses musculeuses cuisses et son entrejambe, qui elle à l'air diablement ficelée dedans comme un vulgaire roti couvert de filets, tant les plis du cuir accablent sa chair prisonnière, mais il n'en à rien à cirer ! Non, même alors que le simple fait de la lécher le met dans un état d'excitation intolérable, qu'elle couperait presque la circulation sanguine de son "engin", il continue, avec plus de pression...

Plus d'envergure, de force, HmmRRrr, une agréable force, une pression des mâchoires divinement contrôlées, bien qu'elle devine qu'il pourrait être capable de lui broyer la vulve sous les tonnes de pression qui pourraient être appliquées à tout instant, il est évident que même sa "charogne" infernale ne l'utilisera jamais sur elle d'une manière qui puisse la blesser, tout au plus, bien lui "coincer" et lui enserrer sa vulve entière, aspirée entre ses lèvres, pour qu'elle soit mordillée, malaxée, macérée entre ses dents, s'aggripant au haut de ses cuisses, à ses hanches avec ses belles grande paluches pour bien suivre tout, tout mouvement qu'elle pourrait effectuer avec le bas du corps... Et sa langue lappes, lappes et rrrâpes la chair rose de son clitoris, insistant avec ardeur et une célérité, rapidité exceptionnelle sur son petit bouton de plaisir, qu'il suçote de temps à autre, il "mâche" un petit peu la chair de sa vulve entre ses dents, avant de se laisser happer, racler, ventouser ses lèvres entre les siennes qui la happent avec autant, si ce n'est plus de passion encore que lorsqu'il l'embrasse, ça lèches, ralèches, tournes en cercles, visite, oh bon dieu, visite tout, tout ! ne laisse pas la moindrrrre surface vierge de sa langue, ravalant la façade de sa vulve si bien traitée, obligée de suivre les mouvements de sa langue si bonne, si bien appuyée, savoureusement râpeuse dans un sens et agréablement lisse dans l'autre, puisque de petites muqueuses se relevent sur sa langue de temps en temps quand elle glisse à revers, où à l'aller, alternant lèche bien glissant à une lèche plus granuleuse et mature, mûre de sa rrrâpe charnelle.

Il aime, il aime drrrôlement ce qu'il fait ce beau salaud, il en ferme bien les yeux pour profiter de tout, du goût, de la texture, de la richesse de ses chairs et de son nectar offerts, il en halète parfois même entre deux succions où longues léchades sous elle, il aime tant ça que sa monstrueuse bure en est toujours, effroyablement tendue, tendue à craquer, preuve s'il en est qu'il adorrre lui dévorer la chatte, plaisir qu'il espère partager même s'il se trouve, à nouveau un peu égoiste de vouloir en profiter autant, aussi intensément, car il supplicie son pauvre petit sexe, ça oui, hawmrrr... Il sent qu'il pourrait rester comme ça, à la bouffer de longues minutes, si ce n'est une bonne heure durant, ad-o-rant se retrouver à genoux entre ses jambes à défourailler la peau lisse et la chair succulente de son entrejambe, d'ailleurs il ne s'accorde que bien peu de pauses, trouvant un rythme bien agréable qui lui permet de respirer du nez quand il n'est pas enfoui dans sa douce toison pubienne, il embrasse, embrasse, et embrasse, baise et happe ses lèvres tant et bien qu'elles deviennent toutes deux, bien humides, parrrfaitement glissantes, que sa langue va et viens de plus en plus amplement et rapidement sur ses chairs qu'il entrouvre petit à petit de ses traitements sans nom !

Sa queue de tigre n'est pas en reste, elle qui ne cesse de caresser le tour de son nombril et redescends, vers son rebond pubien avant de remonter à nouveau, caresser le contour de son joli bouton, où de son creux du dos, son majeur suçé et léché, repart lui, à l'assaut de son entrefesse et accompagne les bruits de chairs humides, clapotées, ventousées de ses lèvres de sa symphonie charnelle aussi, asticotant gentiment l'intérieur en y tournant non seulement son doigt mais en allant, et venant rapidement dans son délicieux p'tit cul, enfournant son majeur jusqu'a la dernière phalange, qui entres désormais avec tant de facilité, si lubrifié qu'il peut le faire aller, venir à une allure bien rapide, se révélant de plus en plus "chatouilleuse" dans ses mouvements, d'ailleurs, ne se plait il pas à ressortir parfois son doigt pour laisser un "plop" sonore résonner avant de graffigner à nouveau longuement, douuuucement le magnifique contour de cet endroit, la faisant languir du bout de sa griffe avant de la rétracter et à nouveau asticoter son petit cul en rythme avec les mouvements fortement appuyés de sa langue sur la bonne chair de sa vulve enflée de plaisir.
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MessageSujet: Re: La plage Urla   La plage Urla - Page 2 Icon_minitimeDim 30 Juin - 19:47

Éperdue... C'était sans doute le meilleur mot à l'instant qui aurait pu décrire l'état dans lequel se trouvait Jade. Debout, là devant cette plage, les jambes légèrement entrouvertes, les cuisses recouvertes de quelques perles de sueur, les genoux et les mollets tremblants sous l'effort qu'elle faisait tant bien que mal, et les pieds, ses orteils se croisant et se crispant douloureusement dans ses bottes elles-même enfouies sous le sable. Elle se sentait à la fois, terriblement bien et sur le point de «rendre l'âme» en même temps, elle qui l'avait littéralement dévoré, embrassant et suçotant la moindre petite parcelle de peau de son sexe et bien, maintenant, c'était à son tour et tout l'amour qu'elle avait mise à la tâche, il le lui rendait tellement bien! Non vraiment, elle se sentait... éperdue, éperdue oui, c'était sûrement la seule façon de le décrire ce foutue sentiment, cette sensation si intense, cet horrible et délicieux frisson qui la parcourait sans cesse, oui, c'était ça, elle en crevait de plaisir! Mais bon sang, oui, était-ce seulement possible? Était-il vraiment possible de se sentir basculer entre les deux mondes alors que tout ce que l'on vous fait subir, ce sont des assauts répétés d'une langue qui ne vous laissera décidément aucun repos, qui continuera encore et encore à vous fournir plaisir et désir...? Tout cela était-il vrai ou rêvait-elle simplement...?

Elle ne rêvait sans doute pas... Les sensations ne pouvaient être aussi intense si elle était plongé dans le monde des rêves. Elle était donc bel et bien éveillé et ce qu'elle voyait au loin, les rayons du soleil refléter et jouer sur l'eau, tout cela était aussi bien réel que tout ce qu'elle ressentait. Le cœur qui bat de façon intense, rapide et puissamment dans sa poitrine, sa respiration si courte et ses gémissements rauques, rauques oui, presque enroué tant elle se sentait prise par le plaisir, tout cela était très réel, elle ne rêvait pas, il était bel et bien là, à genoux devant elle et le nez enfouit sous ses jupes... Elle sentait et savait bien à quel point il aimait s'amuser avec elle, elle savait parfaitement bien à quel point il aimait prendre son temps, tout son temps et bon sang, même si l'instant était vraiment délicieux, elle n'avait qu'une envie, elle n'attendait qu'une chose, elle voulait qu'il se fonde en elle comme il l'avait déjà fait la veille dans la salle d'eau de la taverne, dans ce baquet remplie d'eau chaude où elle l'avait littéralement «baisé», prenant le dessus et profitant sûrement de la faiblesse de sa forme de chaton. Mais après tout, si il prenait son temps, elle pouvait y voir un autre côté positif, en plus de la désirer, elle pouvait y lire un certain attachement, de l'amour peut-être...? Elle l'espérait oui, elle l'espérait de tout son cœur, sans lui, qu'est ce qu'elle ferait? Si il venait à la rejeter après s'être lassé?

Elle ne sait pas, elle ne le connaît pas encore assez pour pouvoir porter un jugement sur son comportement futur, elle ne sait presque rien de lui après tout, et sans doute ne voudrait-il pas lui révéler quoique se soit... Sans doute ne voudrait-il pas s'ennuyer d'une elfe tout juste sortie de l'adolescence qui ne contrôle pas ses pulsions destructrices, qui n'a aucune autorité sur ses émotions et qui se laisse guider par ce qu'elle ressent, qui ne sait... qui n'a même quasiment aucune idée de son passé... Ses doigts se crispent un instant sur sa nuque à lui qu'elle resserre légèrement alors que cette idée gagne de la force en elle, mais bien vite elle l'oubliera puisque après tout si il finirait par se lasser alors autant profiter un maximum des moments intimes qu'ils peuvent avoir. Elle ferme donc les yeux et repousse la tête vers l'arrière en lâchant un autre gémissement. Elle se pince les lèvres puis mordille l'inférieur qu'elle fera ensuite rouler entre ses dents, bon sang, elle ressent... les choses... avec une sensibilité... terrible, une sensibilité qu'elle n'aura probablement jamais connue avant cela, une sensibilité qui la fera frissonner et trembler de tout ses membres un court instant avant qu'elle ne tente de se reprendre quand il aura abaisser l'unique sous-vêtements qu'elle a, elle tente de se ressaisir et s'appuie un moment sur ses épaules pour ne pas tomber à genoux à son tour sur le coup de l'émotion si subite qui l'aura envahie, elle s'appuie un peu sur lui et pousse de long et lents soupir qu'elle veut contrôlés mais qui peu à peu lui échapperont sans qu'elle n'ait aucune réserve, puisqu'elle se sent mourir de plaisir, ses souffles rauques se transformeront petit à petit en gémissements, plus profonds et plus saccadé jusqu'à devenir de petits cris de plaisir qu'elle ose enfin lâcher.

Elle se sentait terriblement prise par le plaisir à tel point qu'elle en tremble violemment à plusieurs reprises, si violemment que ses nerfs font tiquer certaines parties de son corps, comme ses doigts qui agripperont soudainement plus fort les quelques mèches de cheveux qui passent à leurs portée, ses jambes s'écarteront sans doute un peu plus et ses chevilles qui se planteront un peu plus fermement dans le sable, cherchant un appuie stable pour ne pas continuer à se tenir à ses épaules qu'elle n'a pas manqué de presser entre ses mains pour mieux reprendre pieds. Elle s'est accroché à lui comme à une bouée de sauvetage quand il s'en est prit à son intimité avec tant d'ardeur, elle le sent jouer et profiter d'elle, et d'ailleurs elle se rend vite compte à quel point tout celui lui plaît puisque déjà il prend de l'ampleur, elle le voit grandir encore sous ses yeux, adoptant une musculature plus impressionnante encore que celle qu'il ne possédait déjà, il prend encore de l'ampleur à tel point qu'elle peut entendre les coutures de son pantalon craquer sous le formidable effet de pression que le vêtement est obligé de faire, elle baisse un instant les yeux et remarque le cuir qui l'enserre si souplement, qui se distend pourtant autour de ses cuisses devenues plus puissantes encore et puis, il y a... il y a son sexe qui semble également «torturé» par la matière du pantalon, elle comprend qu'il est aussi excité qu'elle et malgré cela il continue, il continue encore et encore, bon sang, attendre n'aura jamais été aussi délicieux et atroce à la fois!

Il s'agrippe à elle, venant poser et enserrer ses hanches avec ses grandes et puissantes mains, les siennes remontent peu à peu sur ses joues ou sur son front, son menton qu'elle effleure du bout des doigts tandis qu'il lui dévore littéralement le sexe, elle caresse ses rayures du revers de la main puis se fraye un passage jusqu'à son oreille derrière laquelle elle se glissera puis ses doigts passeront lentement, avec une lenteur calculée dans sa chevelure avant de revenir sur sa mâchoire avant de tomber et de glisser jusqu'à ses épaules qu'elle attrapera et fera rouler sous ses doigts une nouvelle fois pour descendre et remonter jusqu'à ses paluches à lui sur lesquelles elle posera ses propres mains pour venir resserrer son étreinte sur elle, elle est sur le point de lâcher, de tout lâcher, de craquer puis de se laisser tomber à genoux devant lui pour enfin se laisser aller contre son torse, venir enfouir son visage dans son cou, le chatouiller du bout de son nez et lui mordiller gentiment l'oreille... Bon sang, réveille toi et tiens encore, ne serais-ce qu'un peu! Mais le pire n'était pas encore là, bientôt elle sent sa queue de tigre caresser sa peau et elle en tressaille, tressaillement qui prouve qu'elle n'est pas sûre de résister à ce nouveau traitement et pourtant elle en gémit aussitôt, frissonnante. Mais ce qui l’achèvera sera probablement le majeur de son tigre qui à nouveau partira à l'assaut de son entre fesses, venant le lui astiquer avant de faire quelques va et vient rapides. Elle est... Cette fois elle n'en peut plus, elle se cambre et s'arque-boute contre lui, glissant ses mains sur sa nuque et dans ses cheveux pour mieux l'agripper. Alors qu'elle entrouvre ses yeux auparavant fermés de plaisir, elle voit et remarque la buée qui s'échappe d'entre ses lèvres, elle qui a si chaud se sent soudainement terriblement compressé dans ses vêtements.


Zarsh... Oooh Mon Zarsh... Je sens... Je vais...

Elle ferme à nouveau les yeux et gémit profondément par deux fois avant de déglutir.

Tu... Tu fais ça... Tellement... Tellement bien...

Elle se crispe brusquement alors que son cœur rate un battement puis un autre tandis qu'elle se mord subitement la lèvre inférieur. Tout son corps se mit à trembler violemment avant qu'elle ne lève le visage vers les cieux.

Pitié... Je vais...

Trop tard. C'était trop tard, elle n'en pouvait plus, son corps était tellement tendu qu'il en était presque devenu douloureux et c'est donc en poussant un ultime cri de plaisir qu'elle se sentira jouir une première fois.
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MessageSujet: Re: La plage Urla   La plage Urla - Page 2 Icon_minitimeMar 2 Juil - 19:04



HmmRrrr... Il n'y a sans doute, rien de plus beau à ses yeux que de voir sa douce petite chatte succomber, faiblir... O faiblir et trembler de tout son corps sous ses "morsures" happées et coups de langue dextérits, habiles, et puissament appuyés sur ses lèvres, mordiller gentiment ses chairs jusqu'a l'epuisement, la crampe peut etre meme dans ses propres machoires, ou le muscle de sa langue... Son somptueux corps faiblir, haaah, abandonner, tressaillir et puis, tomber... Tomber et abdiquer, à genoux face à lui... Devenir son Vil Lion, un roi, peut etre meme un dieu... Non... Oh non juste, un vil démon tentateur et à en croire ce qui vient de l'achever, elle aime qu'il soit ce grand et vil démon, toutes canines, longues et sorties, presque vampiriques qui, au gré de ses gémissements se remettent à nouveau, à suivre les aléas de ses lèvres, de sa bouche en respirant si chaudement près d'elle, léchant le contour de ses lèvres alors, qu'elle vient oui, qu'elle se contracte du simple, simple fait de "touiller" son majeur et sa griffe en train de savvament, sans jamais, mrrr, s'en lasser, lui astiquer ces lieux délicieusement interdits... Ca l'amuse ce beau salaud, ça ne peut que se voir aux regards plissés et malicieux qu'il lance, dont il tente de percer la rétine de Jade en bouffant chacune de ses respirations d'aussi près, bien près de ses lèvres...

Tout comme sur le banc, précédemment où, elle était déjà... à sa merci, il l'enlaçe de la longueur épaissie de ses bras plus musculeux et la colle d'avantage à lui, aplatissant sa peau, son corps contre le sien, solide et drolement durcit, bien plus, oh bien plus grand qu'elle désormais, cet avantage physique non seulement de force mais de taille ne fait qu'exciter d'avantage la vile et vulgaire bete en rut sortie des tréfonds de sa conscience, dont le doigt ne s'arrete que trop rarement d'asticoter cet avoeu coupable, MRrrr, celui de s'etre laissée jouir au bout du bout de cet acte aussi vicieux que bon, finalement pour elle, sa chaleur corporelle irradie presque, comme l'odeur alcoolisée du sexe de cet infame démon, formant une aura quasi succubique, la toison, sa crinière semble se densifier, pousser autour de son cou et lui donne des allures plus léonides, plus noble et représentatives de la part du lion blanc qui, subsiste en lui encore, le noir de ses rayures semblent s'etre renforcé, seules quelques zones intimes, belles et charnelles ont vu leur duvet s'amaincir et proposer une peau halée à quelques discrets endroits...

il halètes mais en se synchronisant sur la vitesse de la respiration chaude et excitée de Jade qui n'en peux plus, lui s'en amuse, pire encore son doigt ne fait qu'entamer de plus profondes, longues, pénétrations en laissant le bruit de sa chair humide aspirer l'air, ventouser, glapir et clapoter autour des épaisses phalanges s'y engoufrant... Il ne peut se retenir, en la laissant se "reposer" en partie sur son torse, de ronronner à sa "défaite", d'apprécier sa faiblesse, sa capitulation de quelques commentaires, d'une voix dédoublée, profonde, plus rauque qu'a son habitude puisque la "bete" est de sortie, un sourire presque machiavélique élargissant ses lèvres, il lustre et limes convenablement son petit anneau en poussant un profond soupir de contentement, de satisfaction en la "soulevant" presque à chaque respiration puisque partiellement étendue sur son torse.

"-Rrregardes toi... Regardes toi... Faiblir... HmmRrr... Haah... tu es si faible..."

Son doigt continues avec une passion et une délicatesse folle dont il n'accorde l'exclusivité qu'a cette partie de son corps pour le moment, pivotant meme le poignet pour "forer" le vice de ce doigt chatouilleur et balladeur entre ses fesses.

"-Sssi faible... Tu aimes me voir... Tu aimes que je sorrrte te faire ton affaire mrrr ? Et tu adores encore plus, etre faible, démunie, face à moi mrrr ? Incapable de te prémunir de mes pulsions les plus viles, N'est ce pas... Tu m'as toujours appellée... Tu n'attendais que ça ?... Que je prenne l'avantage... Es tu sure... Oh oui tu es sure... De vouloir t'offrir sur un plateau dans la gueule du Lion. La dernière fois je n'avais meme pas entamé les hors d'oeuvre que nous avons... été malheureusement interrrompus..."

Il la retourne, toujours à genoux, la plaquant dos contre son torse, allant chercher la peau de sa joue, de son cou, de multiples baisers parfois, mordillés sur sa peau, où bien "sucés" entre ses lèvres, une longue langue glissant du bas de sa nuque jusque sous son cou, puis s'arretant sur sa joue à coté de ses lèvres.


"-Mais cette fois-ci il n'y aura pas d'interruption pour te sauver de la damnation que je te réserrrves... Tu vois ces yeux... Ces yeux qui te promettent milles et un supplices charnels avant meme que je ne sois, peut etre, rassasié des plaisirs de ta personne... Pauvre petite folle... HmRrrr."


Zarsh où plutot, la créature qu'il est devenue ferme les yeux, un sourire hésitant un temps à s'esquisser, s'élargit au gré de nouvelles pénétrations anales du bout de son majeur qui circules, clapotes, entre et sort entièrement d'elle en provoquant de magnifiques sons d'aspirations d'air et de chair humides avalant presque son doigt d'une façon... bien gourrrmande, et à ces sons couplés à la jouissance maintenue de Jade par l'accéllération temporaire de ses vas et viens entre ses rondes et jolies fesses, son sourire hésitant s'esquisse d'avantage, carnassier, aussi beau qu'inquiétant, détaillant chacune des pointes de ses dents du bout de sa langue.

" Quelle vilaine petite garrrce... Jouir d'une telle chose... D'un tel "traitement"... Je ne pourrai pas me lasser de ça... Oh, Jamais... Je ne pourrai pas me lasser des rougeurs un peu coupables, qui ornent ton magnifique visage, si tu savais à quel point te voir fondrrre dans cet état sous l'application d'un acte de ce genre m'excite, Ssssht.."

Dit il, posant son doigt sur ses lèvres, à elle, l'intimant au silence, comme s'il savait où du moins, semble comprendre, présume... "Savoir"... Et son doigt continue, continue, et continue, glissant désormais si bien, si vite, de plus en plus... bruyamment, les flots volcaniques de son plaisir s'écoulant comme des torrents de lave sur ses cuisses.

"...Ssssshhhht... Tu n'as rien besoin de dire... Et meme si tes lèvres osaient le nier ton corps vient de nous en faire l'avoeu... Quand bien meme, il serait magnifique que tu nies, j'adorerai jouer de cette petite honte... Tu le sais... Ne suis je pas... Un terrrifiant démon ? MRrr ?"

Il retire doucement, ce doigt qui fermait ses lèvres et aposes un baiser, étrangement chaste sur celles ci, encore closes, frottant ensuite le duvet de son visage partout dans son cou et aposant une myriades de petits baisers du bout de ses lèvres fraiches sur sa peau embrasée, ronronnant à en perdre haleine, respirant son odeur par bouffées profondes...

"-N'adorrres tu pas Ssssimplement le son granuleux, rrrauque et feulé de ma voix te faisant vibrrrer et chatouiller, les oreilles à chaque mot en Rrr et en Sss que je prrrononces ? N'adores tu pas sentir mes ronronnements monter et faire vibrer ton dos, ta cage thoracique entière jusqu'au bout de tes seins si injustement prisonniers de ce corsage, à chaque fois que mon coffre s'ouvre et que ma voix monte à tes oreilles ? N'aimes tu pas tout celà couplé au savoureux travail de sappe de ce vilain doigt explorant généreusement cet endroit qu'il ne se lasse, qu'il ne se lasse, par tous les démons de l'enfer, bonté divine ! De découvrir, et redécouvrir encoRrrre, encore... Et encore hmmr ?"

Une claque, une claque "pleine" de l'une de ses grandes paluches vient s'abattre sur l'une de ses fesses, la malaxant et la pétrissant de toute sa surface, sa rondeur, lui bouffant le cou de baisers plus appuyés, laissant glisser ses longues canines jusqu'a leur pointe, sur sa peau, très souvent poursuivie de sa langue rapeuse, il l'opresse un peu plus contre lui, l'obligeant à se pencher vers l'avant, à s'étendre, le surplombant de sa taille, enlaçant ses cuisses entre les siennes, la forçant à se coucher sur sa cape étendue dans le sable, l'une de ses mains déballant à nouveau la verge aux proportions quasi, minotauriennes sous cette "croissance" temporaire, et l'abat, la laisse "choir" sur son dos, tout comme il l'avait fait au lac, pour qu'elle mesure le poids et la longueur de toutes les "conséquences" que son abandon lui signifient, désormais, et comme si ce n'était assez encore de l'opresser d'une partie de son propre poids, de la chaleur formidable de son organe, il ose, il ose resserrer encore un peu plus, chaque, foutu lacet de son corset déjà pourtant bien lacé par ses soins particuliers...


"-Ce que tu es belle... Bon dieu ce que tu es belle quand ta poitrine déborrrde de ton décoleté, comme çaaah, bien sur il t'es un peu plus difficille encore de respirer, hmm ?"


Il ricane, il s'en amuse ce salaud, à celà viendra meme s'ajouter sa queue de tigre autour de ton cou, ne cherchant pas à t'étrangler elle vient assoir juste un peu plus sa "domination" physique, comme si c'était, franchement, encore nécessaire étant donné la différence de gabarit, et de puissance physique, mais il adorrrait ça cet ancien tigre, que voulez vous.

"-Tu y réfléchiras peut etre à deux fois la prochaine fois avant de t'habiller d'une façon aussi provocatrice pour le plus grand plaisir de mes yeux, mais malheureusement, je dois avouer que j'ai du mal à penser qu'autant de monde, puisse aussi, en profiter... Et pour ça tu mérites une petite leçon, et quoi de plus logique que d'user de tes apparats comme un moyen de torture... Mais finalement... N'aimes tu pas simplement étouffer sous moi ?"

Il attends sa réponse, en partie, à "cheval" sur son dos, glissant d'avant, en arrière toute la longueur de son membre, de temps en temps il s'octroie le bon plaisir de s'étendre, de tout son long sur elle et venir grignoter le bout d'une de ses oreilles pointues avant de rrrecommencer à lui labourer la peau du dos avec la chaleur et les aspérités, du bon cuir de son organe libéré.

"-Et par tous les damnés de la terre, oh oui, demande moi... Demande moi encore... Pitié ♥ Aaah... Ce mot... "pitié"... Que je me fasse un plaisir, de ne jamais, Tu entends ? Jaaamais t'accorrrder la délivrance de la grace... GRRrrr... Jamais... Ici les vagues et l'écume se brisant sur les rochers, couvriront tous tes cris ma belle ♥ Tu pourras tout dire, tout crier sans retenue... Et moi de me faire le plus grand plaisir, de les entendrrre."

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MessageSujet: Re: La plage Urla   La plage Urla - Page 2 Icon_minitimeMer 3 Juil - 16:03

Tout ces... hum... traitements avaient finis par avoir raison de Jade, en plus des coups de langues et des légères morsures de son tigre au niveau de son sexe, il y avait eu ces caresses de sa queue de tigre qui, glissant sur sa peau, l'avait fait frissonner plus d'une fois et de façon violente et puis... et puis, il y avait ce doigt, son majeur qui n'avait de cesse de voyager entre ses fesses, entrant puis sortant, encore et encore, tout ça, c'était trop pour elle, elle avait l'impression d'être devenu foutrement sensible, bien plus qu'avant et bon sang! C'était à la fois terriblement dur de se sentir faiblir aussi vite mais en même temps, tellement... tellement... Ah! Bon sang! Elle sentait monter en elle de terribles choses, des choses qu'elle aurait sans doute voulut crier et faire partager mais c'était trop... Trop oui, non, elle ne pouvait pas, pas ça, non. Elle a l'impression de n'être consciente qu'à moitié tant son esprit est embrumé par le plaisir, elle sent néanmoins très bien toutes les sensations que lui procure son mâle mais elle... elle est... Des gémissements lui échappent, leurs visages sont très proches, aussi, Zarsh doit très bien voir à quel point son regard est embué, il doit très bien sentir à quel point sa respiration saccadé est chaude, tellement chaude que quelques nuages de buée se forme à chacune de ses expirations, c'est atroce elle veut... Vraiment, vraiment oui bon sang, mais non, c'est tellement... Rien que d'y penser de fortes rougeurs viennent envahir son visage comme si c'était encore nécessaire, elle qui avait déjà bien trop chaud dans ses vêtements très resserré autour d'elle. Légèrement crispé, cambré contre lui, elle bascule la tête vers l'arrière et tente vainement de reprendre le contrôle de ses battements de cœur mais c'est impossible elle est bien trop excité, bien trop humide pour cela, ça coule entre ses cuisses, elle vient de jouir après tout et c'est assez embarrassant pour elle...

Vraiment, il ne l'a même pas encore pénétré qu'elle était déjà prête à exploser n'importe quand, elle venait tout juste de connaître la jouissance et elle en tremblait encore. C'est embarrassant et c'est sans doute pour cela qu'elle cherche à cacher son visage barré de honte, elle ne peut l'enfouir contre son cou, lui qui est soudain devenu bien plus grand qu'elle, elle se contente donc de venir poser son front contre son torse, y appuyant aussi ses mains qui se crispent elles aussi, recourbant ses doigts et venant à légèrement le griffer. Bon sang! Elle est coincé, prise au piège entre son désir de lui, cette terrible et profonde envie qu'elle a de se faire littéralement culbuté par son tigre mais c'est... C'est tellement embarrassant, aussi embarrassant que les cris de plaisir qu'elle voudrait lâcher, plus fort encore, elle préfère se retenir, non pas qu'elle n'exprime rien, ooooh non, ça serait totalement impossible non, elle gémit profondément à chaque va et vient mais ne crie pas, du moins pas comme elle le souhaiterait, pas comme son corps le lui ordonnerait, elle se pince les lèvres, se mord l'intérieur de la joue mais ne hurle pas. Elle a chaud, très chaud, et pourtant Zarsh semble croire que ce n'est pas assez encore, lui qui irradie soudain d'une certaine chaleur en plus de cette odeur entêtante, alcoolisée, tout ça, ajouté aux contradictions qui tournent dans sa petite tête, tout ça lui embrume l'esprit, pourtant malgré cela, elle remarque de nouveaux changements chez lui, comme cette soudaine crinière qui semble pousser tout autour de son cou, lui donnant un air plus majestueux, sauvages encore, comme si c'était nécessaire à ce niveau déjà...

Et cette nouvelle transformation est accompagné d'une accélération du rythme des va-et-vient de son doigts entre ses fesses, cette fois, c'est trop, plus qu'elle ne peut en supporter, elle se cambre et s'arque-boute, elle creuse profondément le dos, venant littéralement écraser son buste contre lui, sa poitrine pourtant déjà très bien comprimée par son corset se presse contre son torse sur lequel elle vient de s'écraser d'une délicieuse façon, et ce n'est pas tout, son fessier se porte vers l'arrière, venant d'elle-même s'empaler un peu plus profondément sur son doigt, elle se redresse, relève les yeux alors qu'un cri de plaisir différent des autres de par son intonation et de par sa puissance lui échappe et plonge brièvement son regard dans le sien quand ils se croisent, son visage a elle est sans doute barré d'intense rougeurs, sa lèvre inférieur tremble tant elle se sent vulnérable, bon sang, c'était une terrible torture qu'il lui faisait subir là et il devait très bien le savoir, ses mains se resserrant sur ses bras ne pouvaient que le lui prouver, elle est appuyé sur lui et elle s'y accroche, heureusement pour elle il lui accorde au moins ce repos là, elle l'en remercie intérieurement, relevant lentement les yeux vers lui lorsqu'il se met à parler.

Il parle, et sa voix semble percer à travers la brume de son esprit, elle le regarde de ses yeux mi-clos mais ne répond pas, elle en est incapable, tout ce qui, pour le moment, s'échappe de ses lèvres, ce sont ses gémissements profondément rauque qui semblent de plus en plus sortir du tréfonds de son être, comme si,ils venaient de loin, de très loin, c'était étrange, jamais elle ne saurait cru capable de gémir de cette façon, pas comme ça non... Ah, ça! Ça venait du cœur oui, et plus elle se laisser emporter plus elle les laisser s'écouler, ces petits bruits qu'elle ne voulait pas laisser s'échapper il y avait quelques secondes de ça, elle se trouvait maintenant incapable de les retenir, non, c'était devenu impossible... Et lui qui s'en amusait, lui qui souriait, vainqueur, elle l'écoutait parfois sans paraître comprendre, par ailleurs, elle avait de plus en plus de mal à ordonner ses pensées de façon à formuler ne serais-ce qu'une phrase, c'était devenu trop dur, elle était tellement embrumé qu'entre ses mains elle se laissa totalement faire, venant se placer dos à lui, plaquée contre lui, quand des baisers frais viendront lui chatouiller la peau du visage, l'éveillant légèrement, l'obligeant à entrouvrir les yeux pour chercher les siens, croisant son regard le temps de quelques brèves secondes, malgré la vulnérabilité de son corps elle sent un sourire poindre le bout de son nez sur ses lèvres, sourire qui disparaîtra alors qu'il reprend ses va-et-vient avec son doigt.

Elle pousse un gémissement, cette fois il sort entièrement d'elle puis repart aussitôt à l'assaut, vraiment, cette torture est délicieuse, vraiment trop, elle sent son bas ventre chauffer terriblement, des frissons lui envahissent la peau et la parcourent de long en larges, recouvrant ses bras et le creux de ses reins de chair de poule, il ne compte quand même pas le faire jouir d'une telle chose une nouvelle fois? En tout cas, si il continue comme ça, c'est ce qu'il va finir par arriver, elle a beau se concentrer un maximum, ce qui était en soit assez difficile dans cette situation, elle n'arrivait pas à faire diminuer le plaisir qui l'envahissait, c'était quelque chose d'impossible, une chose sur laquelle elle n'avait aucun contrôle, absolument aucun! Et quand elle ferme les yeux, c'est encore pire, elle ressent les sensations plus fortement encore, elle se force alors à entrouvrir les paupières et tourne les yeux vers lui, son visage n'est pas très éloigné du sien, aussi, elle peut facilement voir le sourire terriblement carnassier qu'il affiche et sans avoir besoin de plus, ça lui fait plaisir à elle aussi, après tout, les besoins et envies de son tigre passaient avant toute chose, c'était son plaisir à lui le prioritaire bien qu'elle même ressentait un tel plaisir, si ce n'est plus grand encore que le sien, après tout, couplé à ces sensations charnelles s'ajoutaient le bonheur de lui procurer du plaisir, enfin, tout cela pour dire qu'elle n'avait pas besoin de grand chose pour être heureuse, il suffisait juste qu'elle soit au près de son tigre et qu'il ressente tout l'amour qu'elle éprouvait pour lui, c'était largement suffisant à ses yeux.

C'est donc un étrange sourire fixé sur les lèvres qu'elle l'écoute en poussant de petits gémissements qui s’interrompront à la fin de ses paroles, alors qu'il pose un doigt sur ses lèvres pour lui interdire la parole, elle grimace et respire de plus en plus rapidement alors que lui-même augmente le rythme de ses va-et-vient désormais tellement profond et tellement bruyant qu'elle sent ses jambes trembler sous son poids, elle frémit et ferme les yeux, serrant les paupières très fort pour retenir ses gémissements de plaisir, il veut se jouer de cette petite honte qu'elle éprouve? Ah ben, ça, il doit être servit, elle qui est désormais rouge écarlate parce qu'envahit de bouffées de chaleur et embarrassé par ses propres envies... Elle se pince les lèvres et frémit quand il vient apposer un léger baiser sur ses lèvres, elle se serait attendu à plus qu'un simple effleurement entre leurs lèvres, enfin, n'était-ce pas simplement ce qu'elle désirait...? Voilà maintenant qu'elle confondait la réalité avec ses propres envies, bon sang, elle était tellement embrumé par le plaisir qu'elle n'était pas totalement sûr de saisir la portée de chacune de ses paroles, néanmoins, elle l'écoute et soupire en sentant les caresses du duvet de son visage contre sa peau, la douceur et la fraîcheur de ses lèvres dans son cou, ça la fait frissonner et l'oblige à refermer les yeux.

Bientôt c'est une claque sur ses fesses qui la fait tressaillir et ouvrir à nouveau les yeux, penchant la tête sur le côté pour lui laisser libre accès, pour le laisser déposer des baisers sur sa peau, de délicieux baisers qui la ramènent peu à peu vers lui, elle glisse même un bras derrière sa nuque, le serrant contre elle et attrapant quelques-unes de ses mèches de cheveux entre ses doigts qu'elle lâchera ensuite alors que peu à peu il se penche et l'oblige à venir s'étendre sur le sable, elle se laisse faire et s'allonge donc au fur et à mesure sur sa cape qui traînait au sol, elle s'y étale donc, s'y écrase et gémit dès qu'elle sent le sexe de son tigre glisser sur son dos, et ça, ça l'excite plus que tout, elle s'en pince les lèvres tandis que ses doigts se crispe sur le tissus de la cape sur laquelle elle se trouve. Elle s'apprête à gémir quand elle sent les lacets de son corset se resserrer encore, mordant dans sa peau et lui compressant terriblement la poitrine, cette fois c'est un petit couinement qui s'échappe de ses lèvres, elle ne s'était pas attendu à cela, non, vraiment pas, et c'était surtout la surprise qui lui avait lâcher ce petit bruit.

Elle relève légèrement les yeux en entendant Zarsh ricaner mais écrasé sous lui, écrasé par sa puissance et son poids, elle ne peut évidemment pas croiser son regard, elle se contente donc de remuer un peu, faisant quelques mouvements qui cesseront aussitôt sa queue de tigre enroulé autour de son cou. Elle stoppe ses gestes mais n'en est pas moins impatiente, et pour preuve les quelques gémissements de désir qui lui échappent. Lorsqu'elle l'entend, elle se redresse un peu et tourne légèrement la tête vers lui cette fois, alors qu'elle s'apprête à lui répondre, il s'étale un peu plus sur elle et lui mordille le bout de son oreille pointue. Un long et violent frisson lui traverse l'échine tandis que ses lèvres s'entrouvrent légèrement. Quand il a terminé de parler, elle papillonne des cils et se met à gémir en sentant sa virilité frotter contre son dos.


Je voulais... Je voulais juste... C'était pour toi tout ça, rien que pour toi... Je veux juste... être à toi, t'appartenir... Fais-moi tienne...

Elle hésite encore un instant et en sentant pour la énième fois son sexe glisser sur sa peau, elle pousse un miaulement cette fois avant de rajouter dans un souffle:

Pitiééé...
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Zarsh

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MessageSujet: Re: La plage Urla   La plage Urla - Page 2 Icon_minitimeJeu 4 Juil - 3:26

Je voulais... Je voulais juste... C'était pour toi tout ça, rien que pour toi... Je veux juste... être à toi, t'appartenir... Fais-moi tienne...



AWwRrrrr, Vrrraiment ? Il ne fallait pas... Il ne fallait pas te donner... autant de mal... Tant d'efforts pour me mettre dans ces états... Il te suffirait pourtant de m'appeller, de me dire, ex-a-ctement ce dont tu as envie..."


Il glisse doucement vers l'arrière, se penchant vers toi, descendant le long de ton dos en parsemant son cheminement de baisers frais et tendres sur la peau de ta nuque, puis de chacune de tes épaules, les capoules léonides de sa chevelure hirsute glissant elles aussi, avec une douceur soyeuse aussi irréelle qu'une fine neige de soie poudreuse sur ta peau, ses longues mèches rejoignent la surface de ton dos à chaque fois qu'il s'y penche, fait un pont avec son dos pour redescendre vers toi, jusqu'a ce qu'il poursuive le chemin restant entre le milieu de ton dos et ta chute de rein en laissant la forme de ses pectoraux bombés suivre le creux de tes reins...

"-Mais..."

Un autre baiser tombe sur la fin de ta ligne dorsale, ses mains ne cessant de pétrir, masser ton dos depuis tes épaules, aux trapèzes jusqu'aux plus bas des omoplates et descendent, encore... ses grandes paluches pleines de vigueur et d'une force agréable pétrissent ta musculature comme pour t'attendrir et te décontracter du mieux qu'il le peut...

"- puisque tu aimes tant rrrendre les choses aussi compliquées..."

Ses pouces appuyent si bien sur la peau qu'ils semblent, se fondre dans la peau et la fibre de tes muscles qu'ils font voyager en cercles, petits... petits... Puis s'écartant patiemment sur une zone plus large avant de revenir à une circonférence plus étroite, voyageant de l'intérieur, vers l'extérieur, suivant l'acromion pour revenir pétrir les épaules puis les trapèzes à nouveau, bien attrapés prrratiquement en entiers, tout en t'arquant légèrement le dos vers lui, il remonte également son corps pour glisser de nouveau sa masse de chair entre tes rondeurs postérieures, agrémentant le massage dorsal de cette autre "glisse" et diable si ça glisse parrrfaitement, hmr ? Ayant trempé son cierge dans le nectar volcanique s'écoulant encore entre tes cuisses, il huile décidément ta peau, avec une lenteur qui laisse grappeller chacune des aspérités et détails de l'énorme "vulgarité" de son paquet de chair.

"...Je ne devrai pas céder si facilement... Te donner exaaactement ce que tu cherches, tout de suite, bien trrrop... Bien trop vite... Ce serait un tel gachis pour les efforts que tu consents à fournir, juste pour me voir..."

Et il continue son massage, pétris et masse ce dos entre ses foutues paluches qui écrasent et modèlent presque chaque partie de ton dos à son bon vouloir, ça n'est jamais trop "fort" bien qu'il semble, qu'il adore la palpation un peu plus forte, de ses paumes à ses épaisses phalanges de certains endroits, hanches, où épaules, qu'il ferait presque circuler doucement sur leurs axes, inciteraient à reculer légèrement vers l'arrière pour courber ta ligne dorsale, laisser ta poitrine quitter le sol, avant d'a nouveau laisser reposer ton corps sur la cape, meme le cuir du corset bien ficelé ne peut meme empecher ses foutus doigts et ses mains de tout pétrir et malaxer au travers de ce dernier...

"...Te prendre... Te prendre comme une vilaine bete en rut... GRRrRrrr... Mais tu sembles oublier... A quel point les félins adorrrent jouer, et se jouer patiemment de leurs délicieuses petites proies avant meme de passer a table... Aaah, tu sais... Tu sais... Je vais... teeellement prendre mon temps, avec toi... Je vais te punir ma vilaine petite chatte... Oses... Miaules encore..."

Dit il en venant s'assoir confortablement sur tes fesses, laissant reposer sa bure chaude, huilée, aux proportions quasi chevalines sur toute la longueur de ton dos, après etre redescendu le long de ton dos en y faisant "rouler" l'ossature large de ses encoignures de ses poings fermés, il remonte par larges empoignades de ta chair dorsale vers le centre du dos, puis tes épaules, qu'il attrape, qu'il tire, tire vers lui, t'arque boutant vers l'arrière, sa queue de tigre tirant elle aussi pour que tu ploies, t'arque et étires ton visage vers le ciel, puis vers lui, lui qui continues patiemment à glisser son membre sur toute la longueur de ton entrefesse et d'une partie de ton dos, allant, et venant, offrant là un massage certes vicieux mais aussi, drolement apaisant et décontractant... Certains de ses doigts remontent le long de ton cou, glissent sur ton visage, tournent autour de ta bouche, de tes lèvres, puis soudain...

"-Mais je parle bien trop n'est ce pas... Il ne faudrait pas t'écoeurer de ma voix, quand je peux faire tellement plus de choses avec ma langue..."

Ses deux mains attrapent ton visage, de part et d'autre de tes joues, sa queue de tigre tire encore, t'arque au point d'en mettre la souplesse de ton dos au défi, si ce n'est, que tu t'en sens légèrement contorsionnée il faut l'admettre, hmr, sans meme parler de l'écrasement du corset dans le bas du dos et la semi libération de ta poitrine, qui, dans cette position peut déborder, et aurait prrresque envie de sortir complétement du décolleté du corsage... Mais tu n'as pas le temps de penser à tout ça... Non... Pas le temps que ses lèvres viennent s'abattre, gourmandes, terriblement gourmandes sur les tiennes, tu sentirais presque ton visage se faire "masser" à son tour par ses vigoureuses paluches léonides tandis que ses lèvres et sa langue, elles, pétriraient également l'intérieur de ta bouche, tes joues, fouillant avec une faim sans nom ta bouche à la recherche de ta pauvre petite langue assaillie.

Il reste longuement, ainsi, à profiter de ta faiblesse, de la souplesse mise à l'épreuve de ton corps, des respirations courtes ne pouvant jaillir qu'a son bon vouloir, entre deux baisers, de ta bouche, bien sur qu'il adore a cet instant avoir, le dessus, et qu'il lit sans peine dans ton regard jouant parfaitement la panique, l'excitation de te retrouver aux prises d'une bete aussi puissante, formidablement puissante et dominatrice, une domination prédatoriale qu'il adore exercer mais la limite est ténue, si ténue entre l'envie d'y aller plus fort encore, au risque de lui faire peut etre, un peu "mal", il aimerait, GRrrr, bon dieu qu'il aimerait l'arquer encore un peu plus, appuyer encore plus fort ses massages, ses phalanges dans sa peau, sa chair, embraser sa peau des frottements plus rapides, abrasifs de ses rayures et ses muscles sur sa peau...

Par tous les enfers créés par les divinités et différents cultes qui existent par ce monde, il ne voudrait ni lui faire mal, ni la brrriser, mais dans la force d'un tel désir, envie, il existe toujours une petite part savoureuse de remodelage, de destruction et de reconstruction, il la pétrira à son envie, à son image, il sait, il sait que cette "chose" lui évasera les reins, le corps, qu'il creusera la plus comfortable des tanières dans ses jardins intimes, mais pour le moment il n'en est qu'encore, à prrrofiter de son "infortune", tombée entre ses griffes, happant ses lèvres à s'en damner, fermant les yeux de gouter à cette délicieuse petite bouche que la force de ses baisers oblige à suivre, ses happements gourmands emportant parfois ses lèvres avec les siennes, pour s'abattre plus fort, plus profondément à chaque baiser sur sa bouche, fouillant et dansant avec sa langue emportée dans tous les sens... Ses yeux lorsqu'ils s'ouvrent, lui criant qu'elle est définitivement à lui au moins pour les prochaines longues heures, aussi plaisantes que peinibles soient elles.

*Tu es à moi* Pense la créature, avec un large sourire intérieur alors qu'un éclair vif argent passe dans l'iris de son regard...
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MessageSujet: Re: La plage Urla   La plage Urla - Page 2 Icon_minitimeJeu 4 Juil - 17:12

Loin de se lasser des petits jeux de son tigre, Jade se laisse complètement aller, elle se laisse faire, faisant entièrement confiance en lui, elle en gémit même, elle s'abandonne totalement aux différents traitements qu'il lui fait subir, elle s'y adonne sans retenue, subissant et s'excitant, frissonnant chaque fois qu'un contact est établit entre eux, aussi ténue soit-il. Elle est devenue terriblement sensible depuis le début de ces petites distractions, et entre le moment où elle s'est jeté sur lui et maintenant, cette sensibilité a encore augmenté, tellement augmenté que désormais le moindre effleurement de sa peau contre la sienne provoque en elle d'immenses raz-de-marré, et comme une vague s'écrasant sur les rochers, elle pousse de profond et rauque gémissements, soupirant de plaisir quand il n'insiste pas trop, et se pinçant les lèvres quand c'est son sexe qui vient à se frotter de façon bien appuyé contre ses fesses et son dos. Elle se retient, se retient parfois mais cède à d'autres moment, sa volonté défaille quelques fois, elle a bien souvent du mal à résister à cet appel, à cette toute petite voix qui lui dit... de se libérer, se libérer oui et crier comme elle en a tant envie, de se lâcher, de tout abandonner, de le laisser prendre le contrôle sur elle entièrement. Mais ca ne serait pas si délicieux pour son tigre... n'est ce pas?

Et c'est d'ailleurs cette petite idée qui lui fait tenir le choc, du moins jusqu'à ce que des baisers frais et légers se posent subitement et peu à peu sur sa peau, rafraîchissante cette dernière et faisant naître de violent frissons par endroit. Et sa commence par sa nuque, puis sa descend, descend sur ses épaules, et ces petits contact entre ses lèvres à lui et son corps sont accompagnés de quelques caresses, celles de ses cheveux, de ses longues mèches qui glissent sur sa peau et la font tressaillir, avant qu'elle ne s'abandonne totalement à ce nouveau traitement. En plus de frissonner et de trembler, elle sent son bas-ventre qui est désormais... très très chaud et encore humide, son bas-ventre qui deviendrait presque douloureux tant elle a envie de son mâle, mais malgré cela, malgré ces preuves de sa faiblesse, elle se redresse, se redresse très légèrement et creuse le dos, fait rouler certaines parties de son corps comme ses épaules ou ses hanches quand les lèvres de Zarsh s'y posent, elle frissonne de plus belle et relève même la tête, fermant à demi les yeux et poussant de long et profond soupir. Ça... Ça, ça lui plaît beaucoup, vraiment, à tel point que si elle était comme lui, elle se serait certainement mise à ronronner, ronronner et miauler, peut-être... peut-être même que sa queue serait venue se frotter contre lui avec tendresse et sensualité, comme pour le remercier de ce moment, soudain très doux et très attentionné.

Mais... elle a à peine le temps d'apprécier ce petit moment que l'ultime baiser se pose sur sa peau, heureusement pour elle, il ne s'arrête pas, là, ses mains prennent alors le relais et c'est... Bon sang, terriblement bien fait, tellement bon, impossible de ne pas s'y abandonner autant qu'à ses baisers qu'il avait fait pleuvoir sur son dos, impossible de ne pas y soupirer doucement, de ne pas lâcher ces petits bruits qui lui échappaient, des petites exclamations de satisfaction, des expirations lentes et sensuelles qui à chaque fois qu'elle respire font sa poitrine s’aplatir un peu plus encore sur la cape. Elle y était allongé, presque complètement étalé, limite écrasé contre le tissus, du moins l'était-elle jusqu'à ce qu'il l'attire légèrement vers l'arrière, elle se redresse un peu et ferme les yeux totalement cette fois. Néanmoins il ne faut pas oublier que ce massage fait partie leur «ébat» et il se doit donc d'être intime... Et ce côté là, c'est son sexe qui s'en charge, passant et repassant, glissant contre, entre ses fesses, lentement, parfois très lentement comme pour l'obliger à apprécier ce contact que, bien sûr, évidemment, elle adore, vraiment, le sentir ainsi sur elle, c'est un peu la preuve dont elle a besoin, afin d'être sûre qu'il ne se joue pas d'elle, qu'il la veut vraiment, presque autant qu'elle malgré toute cette attente. On pourrait croire qu'il ne la fait patienter que parce qu'il ne compte pas aller jusqu'au bout mais non, c'est une raison différente qui le pousse à agir ainsi et elle le sait, elle sait que c'est parce qu'il aime «jouer» longtemps, qu'il aime profiter des choses, que c'est également un moyen d'asseoir sur elle sa domination, et elle ne s'en offusque pas, bien au contraire. Ces prochaines paroles ne faisant que renforcer ses idées, elle en vient à afficher un léger sourire qui flottera au coin de ses lèvres, sourire qui, probablement, certainement même, s'agrandira alors qu'il reprend son massage.

Un massage un peu moins doux cette fois, mais toujours, toujours aussi agréable. Bien qu'elle ait l'impression que ses puissantes mains appuient un peu plus parfois, comme lorsqu'elles passent sur ses hanches ou sur ses épaules, bien qu'elle ait cette petite impression qui au final, n'en est pas une, elle trouve l'instant toujours aussi tendre et délicieux, c'est quelque chose dont elle ne doit pas perdre une miette et pour mieux en profiter, pour mieux ressentir les choses, elle ferme les yeux lentement, les entrouvre de temps à autres, et pousse encore oui, pousse de profond soupir. Sa respiration a depuis eu le temps de ralentir, de revenir à un rythme normal et désormais elle ralentit, ralentit beaucoup oui, pour s’accommoder de longues et profondes inspirations et expirations. Elle respire, lentement malgré son cœur qui bat puissamment dans sa poitrine, poitrine qui se soulève parfois alors qu'il la tire légèrement vers l'arrière, et elle se tend, se tend et suit chacun de ses mouvements. Elle ne cherche pas à lui résister, elle le laisse faire, se laisse totalement aller et profite pleinement de ce massage, c'est tellement... tellement bon oui, lui qui masse chacune des parties de son dos, faisant en sorte que pas une seule parcelle de son dos n'aura été pétrie de ses mains. Elle ne résiste aucunement et à ses mots, elle acquiescerait presque, oh non, bien sûr elle ne fait aucun mouvement, elle ne voudra pas que l'instant soit gâché non, mais elle miaule, comme il le lui a demandé, elle miaule d'une voix chaude et sensuelle, douce et suave.

Elle est un jouet entre ses mains, son jouet et ça, elle veut qu'il le sache, elle veut lui prouver qu'il ne doit pas en douter puisque de toute façon, elle n'a envie que de lui, de lui et de personne d'autre, elle ne se voit pas s'offrir comme elle le fait actuellement à un autre homme, c'est pour cela qu'elle se laisse tant faire, qu'elle le laisse s'asseoir sur elle sans plus rien dire. Et quand c'est sa virilité qui se pose dans son dos, elle frissonne brusquement, violemment, si brusquement qu'elle en entrouvre les lèvres dont, au final, aucun son ne sortira. Elle sent ses mains qui à nouveau parcourent son dos jusqu'à ses épaules qu'il attrape et enferme entre ses doigts et encore une fois, elle se laisse faire, se laisse tirer vers l'arrière sans plus rien dire au départ et quand sa queue s'y met également, une légère grimace vient déformer ses traits, grimace qui disparaîtra rapidement quand enfin elle croise le regard de son tigre. Ce qu'elle y lit lui donne une soudaine bouffée de chaleur, elle ferme ensuite les yeux au trois quart quand elle sent ses doigts glisser et caresser certains endroits de son visage. Malgré la position dans laquelle elle se trouve, elle est terriblement décontracté, complètement détendu et c'est sans doute les mains expertes de Zarsh qui ont réussies cet exploit, elle qui tout à l'heure se trouvait tellement tendue par l'excitation, elle avait dorénavant retrouvé tout son calme. Elle pince les lèvres quand ses doigts à lui s'en approchent, puis les entrouvre finalement, tout comme ses paupières dès qu'elle l'entend prendre la parole.

Il la tire encore un peu plus vers l'arrière, et elle ne peut que s'en accommoder, elle est tout à lui et ne désire en aucun cas le contrarier, réfuter ses envies et désirs, elle s'arque-boute donc, gémissant légèrement en sentant sa poitrine frotter sur le rebord de son corset, sa poitrine qui s'en échappe presque totalement, et en sentant le cuir mordre dans sa peau au niveau du creux de ses reins. Elle est à la fois compressé dans ses vêtements et arqué vers l'arrière, néanmoins elle ne ressent pas le besoin de changer de position. Elle est comme il le voulait et c'est ça le principal. Ses lèvres s'abattent soudainement sur les siennes et elle clos alors les paupières, profitant du massage extérieur de son visage et intérieur de sa bouche. Ces sensations sont... tellement divine. Et elle l'embrasse, répond à ses baisers et en réclame d'autres, tendant ses lèvres vers les siennes quand il les abandonne. Ses yeux s'entrouvrent parfois et quand ils croisent les siens, elle en frissonne, frémit et soupir. Entre deux baisers, elle ne cherche même pas à reprendre sa respiration, elle murmure plutôt dans un brusque élan d'amour, de passion et de tendresse:


Je crois... Je suis... Je suis follement, terriblement... Profondément... Zarsh...-elle susurre son nom avec un peu plus d'intensité- Je crois... que tu n'as même pas idée... à quel point... je t'aime et te... désire...
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Zarsh

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MessageSujet: Re: La plage Urla   La plage Urla - Page 2 Icon_minitimeJeu 4 Juil - 20:24

Elle s'offre... Sans conditions, sans protestations, s'ouvre et se plie, s'attendrit, sa chair tendue et excitée, s'attendrit, ploie et se laisse macérer sous ses paluches, il la sent presque se modeler sous ses épaisses phalanges, se laisser faire, et bieeen faire, chacune des entrouvertures gémies de ses lèvres où de ses yeux presque clos lui affirment à quel point ce "travail" sur son corps agit, en prrrofondeur, lui relaxant la moindre fibre, élastifiant et assouplissant sa chair, et elle en avait besoin, hmrrr, tellement... Besoin, elle qui était foutrement tendue, quoi de plus beau et de plus pratique, qu'une chair pétrie, attendrie et relachée pour ce qui suivrait dans un avenir plus où moins proche... Il boufferait bien le moindre de ses soupirs, les aspirerait entre ses lèvres, étoufferait ses gémissements, s'ils n'étaient simplement pas une douce litanie enchanteresse à ses oreilles félines... Accompagnant presqu'a la perfection les clapotis humides des grappes de raisins biseautées, souples et tendre parcourant l'épaisseur de son membre...

Gros raisins finis en pointes garnissant tout le pourtour du col de son énorme fraise, belles pointes charnelles si souples qu'elles agissent, comme une bonne soixantaines de langues pliant, léchant, huilant de ses sécrétions alcoolisées la peau de sa raie, qui, devenue si lisse et glissante laissait grappeller, rebondir, jaillir chacunes de ces "langues" sur sa peau, la parcourent, la lèchent, y plie et "bondit" sur le pourtour nacré de la tubelure de son anneau "interdit", et à chaque passage elles proposent leur son glapis, clapotant, humide de chair redressée après leur lente excursion dans le taure que forme le chamfrein charnel de cette zone délicieusement interrrdite... Que de plaisirs et de vices dans de simples petits sons, qui lui chatouillent l'objet d'un désir de domination, un peu bestial, cerrrtainement primaire et prédatorial, mais tellement bon au coeur de cet ancien Lion, plus qu'une simple "récréation" où symbole de soumission, il semblait exercer là tout un "art", vraiment, pour rendre la chose la plus tentante, malgré l'énormité qu'il possède entre les cuisses, la plus... agréable possible pour sa douce proie, sa protégée et il s'appliquait ! Pour sur il s'applique, pour sur l'appui charnel de son mastodonte de chair mi molle, mi excitée épouse pratiquement parrrfaitement, la ligne de sa raie, de son dos où elle glisse avec une superbe "souplesse" elle aussi.

Son murmure presque étouffé par ses lèvres entre deux baisers, ne sera pas tombé dans l'oreille d'un sourd, et la terrible créature passe ses mains de ses joues massées à sa poitrine, enfonçant ses griffes dans le cuir pour s'assurer d'en compresser fermement la totalité de la rondeur, l'arquant d'avantage pour qu'il lui bouffe plus sauvagement la bouche, ses griffes rippant sur la surface du cuir font vibrer sa chair mammaire, passant et repassant, pétrissant ses seins comme un foutu chat cherchant à se faire, la place la plus comfortable, il déroule la longueur impressionnante de sa langue dans sa bouche et enserres, encercles sa langue comme un serpent s'enroulant autour de sa proie, la "branlant" à l'intérieur de sa bouche par cercles rapidement exécutés, il baise, baise sa bouche, aspire et suçe ses lèvres, ventousant ses magnifiques lippes à chaque séparation de leurs lèvres, puis les happes, happe et happe encore, les baisers se chargeant d'une salive féline, presque alcoolisée par excitation elle aussi, humidifiant tellement bien leurs bouches ensembles qu'elles aussi, finissent par prodiguer des baisers si torrides, humides, sauvages, glissants... tropicaux en quelque sorte, qu'ils en deviennent eux aussi foutrement excitants à la longue...

Il lui avait promis plus d'actes, moins de mots, et lorsqu'il n'en puis plus de ce divin fessier lui branlant la verge entre ses rondeurs postérieures qui ne recevaient que trop peu d'amour à leur tour, il lacha sa poitrine en marquant la surface du cuir de légères griffures vibrantes à la surface du corset, lachant soudainement sa bouche pour reposer à nouveau ces baisers frais dans son dos, depuis cette nuque chaude où ses lippes fraiches la font tant gémir, lui font attraper une magnifique chair de poule, au centre de son dos, entre les omoplates, et descends... Descends... centimètre par centimètre, baiser après baiser, une drole d'envie le fait saliver, depuis qu'elle lui arque parfois les fesses et les lui tends, arrondissant son postérieur pour le recevoir... Les lèvres si fraiches de son affreux Tigre descendent, étapes par étapes, frissons après frissons dans les zones les plus basses de son dos, et remonte soudainement par, une longue "trainée" de sa langue partant de la naissance supérieure de son entrefesse, suivant la ligne de son dos jusqu'a la base de la nuque et puis, redescends, doucement, profitant bien du sel des perles de sueur qu'il fait éclore par le passage de sa langue...

Ses mains s'impriment dans la chair de ses fesses, y "plongent" ses phalanges autour desquelles la peau de celles ci déborde autour de chacunes d'elles, il trace d'autres "cercles" concentriques au plus bas du creux de ses reins avant de descendre sur les fesses offertes... Et avec une patience digne du sadisme dont il est capable, il embrasse délicatement chacune de ses fesses, les chatouille du bout de ses griffes, ses lèvres s'entrouvrent grand et happent de belles portions de son derrière, parfois suivies, de sa langue qui fait briller cette peau si belle et tendre... Il admire meme un temps ces rondeurs qu'il pince entre son gros pouce et son index, sourit, amusé, avant de recommencer à les lècher, les baiser, apposer meme des succions, des pressions aspirées de ses lèvres sur ces dernières, des claques bien sonantes et claquantes sur la surface lubrifiée de salive, ce qui les fait claquer d'avantage que la force réellement exercée par l'impact qui lui, reste modéré, presque doux, ça claque gentiment d'un coté, à l'autre, et pendant qu'il "claque" et masse l'une, et l'autre fesse chacune leur tour, sa longue langue rapeuse emprunte le fond de la vallée, suit la chute de rein jusqu'aux zones les plus intimes, il ferme les yeux et rougit, meme, oui, rougit de ce que lui meme fait...

Une petite honte, esperant que Jade apprecie, toutes les précautions qu'il prend, bien qu'il ait eu extremement envie de lui dévorer son incroyable derrière, et soudain c'est presque comme si son visage... La douceur de son duvet... Avaient toujourrrs été faites pour épouser la chair de ses fesses et s'y enfouir, s'y presser moelleusement, ravalant à la fois sa vulve emportée par la pression de sa langue et son petit anneau qu'il lustre au passage, et à bien y réfléchir, il ferme les yeux du bon plaisir qu'il y prend et du vice que Jade le laisse se permettre, s'en prenant désormais à la zone que le fantasme de la créature obsède, le bout du bout de sa langue chatouillant délicatement le tour de son anneau, dans l'un, puis l'autre sens, meme ses foutues lèvres viennent embrasser cet endroit, happant l'anneau, laissant sa langue tourrrner, et tourrrner, effectuer milles et un passages, plus chatouilleux et détaillants, analystes les uns que les autres, le tout parsemé de quelques pointes d'hésitations tout de meme, rouvrant les yeux pour savoir si Jade appréciait etre ainsi "dévorée", hésitations suivies rapidement de baisers plus goulus, plus gourmands lorsqu'elle lui donnera probablement, plus que son approbation, son abandon...

Et lui de continuer ainsi, une paluche après l'autre de lui presser les fesses, de lui chatouiller l'anneau, lui lustrer, le vernir de sa salive, le grignotter meme, entre ses lèvres, ses dents poindant à peine sur la tubelure anale pour s'amuser d'une toute petite "frayeur" pointue mais n'allant certainement pas jusqu'a presser ses crocs dessus, il embrasse, entrouvrant la malice d'un regard qui veut en dire, des choses, entre autre, qu'il observe non seulement les réactions de Jade, mais fait preuve de tout le vice du délice qu'il ressent à cet instant, dans cette position, de ce point de vue imprenable qu'il à sur son corps, installé on ne peut plus comfortablement entre ses cuisses, ses fesses, à la dévorer entre ces deux superbes coussins de chair épousant chaque coté de son visage à moitié "fondu" dans son cul, il grogne et ronronne de plaisir, ce qui ajoute une touche vibratoire à ses léches, ses baisers, ses embrassades profondes et charnelles où il enfonce désormais sa langue bien loin dans cet orifice, et il s'y accroche, le salaud ! Il s'accroche à son cul et ses hanches comme s'il n'allait jamais revoir l'aube, et la dévore comme s'il s'agissait de son dernier délice de chair sur cette terre... Son visage effectue des rotations douces en meme temps qu'il explore toute cette zone avec sa langue lorsqu'elle ressort, et ronronne comme un chaton lorsqu'il ferme les yeux en ralèchant, baisant ses fesses, puis replonge son visage entre ces dernières, poindant dans sa raie le petit bout de son nez frais...

Et ça continues, bon sang, c'est qu'il aime ça ce beau salaud, embrasser son cul, parcourir sa raie, enfonçer sa langue et baiser son anneau, il en dandines lui meme le reste du corps et sa queue de tigre frappe violemment sur le sable, impossible, semble t'il, de le décrocher de là pour un loooong moment, hmrrr, il referme parfois meme les fesses de sa proie autour de son visage pour ressentir la chair de ses fesses lui comprimer les joues pendant qu'il tournoie sa langue en elle, adorant raper ses rayures sur la surface lisse et humide de ses joues fessières, il se controle mais il exploserait presque, exploserait presque de plaisir, tout comme il faillit bien jouir du simple fait de lui bouffer la chatte aussi pasionnément tout à l'heure, dieu qu'il aime ça, et qu'il adorrre prendre soin d'elle, meme si cette fois c'est un peu plus égoiste, car une pulsion, une envie soudaine de sa part, il espère que ça lui fait plaisir, il met tout son coeur et son vice, son expertise pour que ça lui fasse plaisir AWwRrr, allant meme jusqu'a caresser, chatouiller l'intérieur de son entrefesse du bout de ses griffes où du bout de sa langue, ne pas toujours abandonner sa vulve chaude et humide a la fraicheur du vide mais de lui accorder, trrrès souvent le passage de quelques doigts, d'une paume tournant en petits cercles de sa main, d'un passage bien rrrapé de sa vilaine langue...
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MessageSujet: Re: La plage Urla   La plage Urla - Page 2 Icon_minitimeLun 8 Juil - 18:50

Jade avait murmuré dans un souffle, presque comme une supplique, elle qui suivait chacun des désirs de son tigre s'était sentis obligé de lui faire comprendre à quel point, oui, à quel point ce qu'elle ressentait pour lui était fort, tellement fort, les mots n'étaient probablement pas assez intense, assez expressif pour ce genre de sentiment mais elle tentait de l'exprimer, en plus des mots, par le langage du corps, son corps, par l'intonation de sa voix, par chacune des petites attentions qu'elle pouvait avoir envers lui. Elle y était attaché oui à son mâle et refusait catégoriquement de s'en séparer, hors de question de le lâcher, elle ne le quitterait pas d'une semelle même si pour cela elle serait obligé de gravir des montagnes, elle était prête à subir toutes sortes d'épreuves sans savoir si elle serait capable de les franchir, elle était même prête à devenir son ombre si il le fallait! Son ombre oui... Pour subir, subir et encore subir ses moindres désirs, la moindre de ses plus petites envies parce qu'elle était sienne, parce qu'elle était à lui, elle lui appartenait toute entière et elle n'avait de cesse de lui rappeler, s'offrant sans retenue aucune, soupirant, gémissant à la moindre de ses caresses, crevant de plaisir et d'impatience pour le prochain baiser qu'il voudra bien lui accorder et bon sang! C'que leurs échanges pouvaient être intenses!

Cela faisait peu de temps qu'ils se connaissaient tout deux et pourtant... Pourtant oui, ils étaient plus «complice» que n'importe qui d'autres, elle était plus attaché à lui qu'une mère à son enfant qui l'aurait désiré des années durant sans jamais pouvoir l'avoir! Chaque fois qu'elle le voyait, qu'elle le sentait près d'elle ou contre elle, c'était la même chose, elle était envahie par une terrible et profonde vague d'amour et le besoin d'être à lui, le besoin de le combler et de le voir «sourire», oui, simplement sourire et être heureux, oublier en quelque sorte son passé pour se focaliser sur le présent, c'était ça pour elle le «paradis», si il y avait un enfer alors peu importe ses environs, son décor, le simple fait qu'elle ne pouvait être avec Zarsh était et serait probablement la plus dure épreuve qu'elle ait à vivre. Alors être là... écrasé sous son pouvoir... à respirer et profiter de son odeur... à sentir et frémir sous ses caresses... à gémir parce qu'il savait se faire doux comme il savait se faire plus sauvage... et être sienne... C'était plus qu'enivrant, plus que «jouissif», c'était plus qu'un cadeau qu'on lui faisait là, c'était tellement, tellement bon oui!

Et elle priait, priait pour que ca ne cesse jamais, qu'il ne se lasse jamais de profiter d'elle et de pétrir sa chair comme il le faisait à l'instant, attrapant sa poitrine et enfermant la totalité de ses rondeurs dans ses grandes et puissantes mains malgré son corset de cuir. Ainsi, il la tire un peu plus vers lui, la tire vers l'arrière et l'arque d'avantage, l'obligeant à se «tordre» en quelque sorte et mettant à l'épreuve sa souplesse. Néanmoins totalement détendue, de corps et d'esprit, elle suit ses mouvements sans protester, sans qu'aucune grimace ne déforme ses traits, sans qu'aucune petite exclamation de douleur ne lui échappe, elle s'arque encore plus et vient offrir ses lèvres aux siennes sans résistance, elle les lui tend, lui montre qu'elle n'attend que cela et elle comprend bien vite que malgré le fait que Zarsh n'est plus tout à fait «lui-même», son murmure a eu de l'effet, un effet tel que désormais il «s'acharne» sur elle, ses baisers deviennent plus intenses encore et lui laissent rarement le temps de reprendre sa respiration, elle étoufferait presque mais elle est bien trop heureuse pour se laisser mourir dans un tel moment.

Elle y répond donc à chacun de ses baisers et ce même si elle doit y laisser une inspiration ou un battement de cœur, elle l'embrasse également à pleine bouche, s'excitant de ce moment qui devient de plus en plus torride et elle le sent, elle sait que sa lui fait un tel effet qu'elle en ferme les yeux et frissonne, frissonne tellement. Ses doigts qui touchent à peine sa cape sur le sol bougent nerveusement, s'étirent puis se plient, se resserrent sur le tissus de la cape, puis la relâchent quand ses phalanges se mettent à blanchir. Elle est tellement arqué vers l'arrière qu'elle a du mal à tenir dans cette position dans laquelle son buste ne s'appuie plus sur rien, elle hésite puis lève les bras... L'une de ses mains vient s'accrocher à son bras, effleurant sa peau jusqu'à s'arrêter alors qu'elle entrouvre légèrement les yeux, et l'autre s'arrête sur son visage, se posant et caressant sa joue du bout des doigts. Il est là... Il est là, au dessus d'elle et il l'embrasse de façon tellement «profonde», l'embrasse et appose sa domination sur elle, elle est, elle se sent tellement bien à ce moment là, tant et si bien qu'elle croirait presque rêver.

Et heureusement pour elle, elle ne rêve pas non, pas le moins du monde tout est parfaitement réel et la réalité est simplement, elle aussi parfaite. Alors qu'elle s'attache à lui, qu'elle s'y agrippe et lui rend ses baisers avec de plus en plus d'ardeurs, il lâche sa poitrine et se redresse, se redresse légèrement pour venir poser à nouveau ses lèvres fraîches, si fraîches dans sa nuque... Puis plus bas, et plus bas encore, descendant petit à petit le long de son dos, faisant naître de long et violents frissons sur sa peau, recouvrant cette dernière d'une terrible chair de poule qui la fera gémir à plusieurs reprises, le pire étant encore quand il appose cette longue lèche en remontant vers sa nuque, elle en frémit et pousse un soupir qui dura sans doute bien longtemps, un soupir qui transpire probablement tout ce qu'elle ressent à ce moment là. Elle en vient à creuser le dos à nouveau, fermant les yeux, papillonnant des cils et agrippant, resserrant ses doigts sur le tissus de la cape qu'elle tient à nouveau et sur laquelle elle repose une fois de plus. Elle est a quatre pattes et elle frissonne de ses baisers, de ses lèvres qui caressent sa peau jusqu'à... jusqu'à ce qu'il arrive et s'arrête bien bas.

Quand il referme ses mains sur ses fesses, elle se dit... se dit que peut-être s'est-il décidé à ne plus la faire attendre, c'est ce qu'elle croit et c'est pour cela qu'elle ne réagit pas plus au départ, elle s'en pince les lèvres d'avance, ferme les yeux et crispe ses doigts sur la cape attendant le moment où enfin il la libérera de cette attente... Mais c'est trop espérer et elle s'en rend compte quand ses lèvres traînent encore au niveau du plus bas de ses reins pour descendre à nouveau jusqu'à se poser sur l'une de ses fesses. Et cela, cette chose qu'il n'a encore jamais faite, ça l'étonne un peu et l'a fait entrouvrir, peut-être même écarquiller les yeux. Et ce sont maintenant ses griffes qui voyagent sur sa peau avant... avant qu'il «n'aspire» certaines parties de son fessier entre ses lèvres pour ensuite y passer sa langue. Elle rougit, rougit brusquement et sent le bout de ses oreilles pointues chauffer terriblement. Il pince légèrement sa peau, puis les embrasses, les lèches à nouveau pour ensuite y apposer des claques qui sont bien plus sonores que douloureuses, il y va doucement et prend soin d'elle malgré son côté bien sauvage. A côté de cela, elle sent sa langue râpeuse glisser et descendre puis descendre encore...

Elle pousse un gémissement malgré elle, s'étant contenté de soupirer de plaisir malgré la chose plutôt «étrange» à laquelle il s'appliquait. Elle n'est pas contre non, mais disons... disons qu'elle ne s'attendait pas à cela et que désormais son visage est recouvert d'une petite honte parce que oui, malgré l'étrangeté de la chose, elle en gémit, elle gémit et frissonne de façon violente à plusieurs reprises, tant et si bien qu'elle est finalement obligé de venir aplatir le haut de son corps sur la cape, s'arque boutant et creusant un peu plus encore le dos au final, mettant un peu plus encore son fessier en avant. Il y met toute son «expertise» et tout son cœur, du moins en a-t-elle l'impression et ca la fait encore plus rougir parce qu'elle apprécie, elle apprécie oui et c'est bien ce qui la fait rougir d'avantage, faisant naître d'étranges frissons chez elle, l'obligeant à gémir malgré cette situation. Beaucoup se serait sans doute «bloqué», parce qu'il s'agit là d'un endroit prohibé dirait-on mais en même temps... Pourquoi s'en priver alors que c'est tout aussi bon que n'importe quel autre traitement que son tigre lui fait subir?

Elle gémit, et gémit un peu plus fort quand il se met à ronronner, ajoutant à ses lèches, à ses aspirations et à ses baisers une touche «vibratoire» qui, bon sang! Ca ne fait qu'augmenter son plaisir, et bien plus encore quand elle sent sa langue venir lubrifier les parois de cet autre orifice, c'est quelque chose que bien des personnes considèrent comme interdites et pourtant... Pourtant, malgré cette intense rougeur barrant son visage, elle ne peut s'empêcher de penser que toutes ses personnes là... n'ont vraiment pas de chance, que peut-être, et même sûrement, si cela était pratiqué d'une telle façon alors bon nombre de gens en deviendraient accros... Mais ses doigts ne sont pas sans restes, puisqu'ils s'activent bien souvent sur son sexe, finissant de l'exciter bien comme il se doit et elle l'est, elle ne pourrait pas le nier, elle l'est tellement qu'elle pousse bientôt de petits cris de plaisir tandis que l'une de ses mains vient s'accrocher au rebord de son corset, celui qui s'arrête juste au dessus de son nombril, et par moment, elle donne même l'impression de se retenir pour ne pas faire descendre ses doigts plus bas...
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MessageSujet: Re: La plage Urla   La plage Urla - Page 2 Icon_minitimeDim 6 Oct - 11:08

[...]

Les secondes, les minutes... Le temps s'était écoulé si vite dans le plaisir que bien malgré eux, Zarsh et Jade s'était retrouvés face à un soleil couchant. Allongé sur le corps du tigrélion, l'elfe reprenait lentement son souffle. Leurs ébats étaient toujours aussi délicieusement long, et malgré cela, aucun d'entre eux ne se ressemblaient. Chaque nouvelle fois qu'ils se donnaient l'un à l'autre, c'était tantôt plus torride, sauvage, tantôt plus tendre. Néanmoins, si il y avait bien quelque chose qui ne changeait pas, c'était probablement et même sûrement les sentiments qu'elle pouvait porter pour son hybride. Rien ne pouvait lui faire bien plus plaisir que de se donner ainsi à lui, prisonnière entre ses mains, elle se sentait comme sienne, plus femme que jamais, plus désirable et plus "belle" que n'importe quelle autre femme et plutôt que de laisser cela lui monter à la tête, elle se voyait autrement, comme "esclave" de son mâle. Et même si le mot pouvait paraître fort, c'était comme cela qu'elle le voyait, et alors que n'importe qui d'autre s'en offusquerait, elle, elle se rend compte que c'est bien là son seul plaisir, ou le plus grand plaisir qu'elle a.

Une de ses jambes glissée entre celles de son amant, ses doigts courant sur son torse, la jeune femme vint lentement posé sa tête sur lui en poussant un soupir. Son coeur battait puissamment dans sa poitrine et sa respiration était courte. Malgré cela, rien ne pu empêcher un sourire en coin d'étirer ses lèvres. L'instant avait été magique à ses yeux comme n'importe lequel de leur ébat, et elle avait besoin de le lui dire, de lui faire comprendre, elle avait besoin qu'il le sache, peut-être qu'ainsi il prendrait la décision de la laisser le suivre, ou de rester avec elle..? Se redressant alors et ce malgré la fatigue naissante, elle glissa ses lèvres jusqu'à son oreille.


Zarsh...
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MessageSujet: Re: La plage Urla   La plage Urla - Page 2 Icon_minitimeLun 7 Oct - 16:23

[Event I] *Débarquement sur la plage*[Jade et Zarsh]

La nuit était tombée depuis bien longtemps sur Elsweyr, depuis si longtemps que même la citée elle-même semblait endormie. Le calme régnait, et ce malgré l'amour qui se pavanait dans un coin. Cependant, dans la pénombre et dans le silence macabre qui régnait, une ombre, pouvant paraître inoffensive avançait au gré du vent et de la paix de l'eau. Passant dans une crique, le bateau s'arrêta là ou personne, ou presque ne pouvait les voir... Du moins, on ne pouvait les remarquer de la cité. Une petit dizaine d'homme en sautèrent. L'un d'eux, brun, une cicatrice sur l'œil gauche, l'autre, bleu, transperçant l'horizon, inspira un grand coup et sourit.

"Il est temps les gars. Vous savez ce qu'il vous reste à faire." ,murmura-t-il, brisant ainsi le silence qui régnait.

Les hommes acquiescèrent avec un sourire narquois, qui n'annonçait rien de bon. L'homme qui avait parlé, et qui semblait être le chef de cette petite bande de mercenaires, leur fit signe de le suivre. Ils faisaient preuve d'une discrétion remarquable, leurs pieds foulant le sable sans bruit ni rien d'autre d'embarrassant pour eux. Manifestement, ils ne souhaitaient pas être vu.

Personne ni rien ne semblait bouger, mis à part eux, une légère brise soufflant sur la baie d'Elsweyr, étrange calme, qui pouvait se transformer vite en tempête si l'on y prenait pas garde, tempête qui pourrait sans doute ravager Elsweyr toute entière.
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MessageSujet: Re: La plage Urla   La plage Urla - Page 2 Icon_minitimeLun 7 Oct - 19:31

Pour qui d'autre dans telle obscurité, aurait brillé le moindre éclat, le moindre reflet sur l'océan... Et pourtant telle l'esquisse d'un rayon lunaire se reflétant sur les axes giratoires d'un armillaire, cette étincelle, cette torche discrète au loin chavirant sur les flots éblouit l'oeil millénaire de l'ancien mercenaire, tantôt ne croit n'y aperçevoir que sa propre imagination, puis la rencontre, indécise, imprécise, une seconde fois...

Alors la raison du doute commence à s'installer dans l'esprit encore agité du Tigre, du Lion, mais surtout de l'homme, et de la crainte... Le souffle bien trop calme de celle qui se repose encore à ses cotés n'a pas tôt fait de le rassurer, bien au contraire, respiration calme, si calme et silencieuse malheureusement qu'il peut entendre au loin, de son ouïe fine, la fêlure de l'eau sur la coque et la racle du bas de lame d’embarcation trainées sur les rocailles, avant même qu'une voix rauque et grave ne s'élève, une voix autoritaire dont il est sûrement facile de comprendre qu'une vie bien remplie dont la moitié à été probablement usée, l'a nourri d'une certaine "expérience".


"-Shhhht-" Prononce t'il, du bout de la griffe posée sur les lèvres de Jade, d'un regard plissé, sévère, qui ne souffre la réplique, qui ensuite, vif observe et pointe une direction, dans l'exagération d'un geste intimant à Jade qu'il à entendu quelque chose à proximité, en espérant que les clignements d'yeux, complices, qu'ils partageront suffira à lui insuffler la prudence du silence, il ôte doucement sa griffe de ses lèvres closes et les pose à nouveau, sur ses propres lippes pour maintenir le lien tacite aphone où seul le regard, fondu dans le regard parle.

C'est avec une excessive lenteur que la créature mi léonide, mi humaine se meut, passant ses doigts sur ses vêtements, sur ses armes encore étalées au sol, et il entrouvre un sourire, un de ces sourires enjoués, affichant sans vergogne, avec malice la pleine potentialité de l'incision dangereuse de ses dents, cisailles tranchantes comme les foutues mâchoires d'un piège à ours bien trop aiguisées...

C'est pourtant pas à moitié à poil, la lune capable de dire bonjour à celle du ciel, qu'on devrait oser s'montrer, mais il y a fort à parier que Zarsh, à un moment où à un autre, s'est levé, oui, là au loin un truc à du titiller le regard de l'un où l'autre éclaireur s'occupant du convoi en contrebas, plus loin sur la plage, une grande "chose" s'étant relevé avec son sourire provocateur d'abruti, un couteau entre les dents et son autre "couteau" entre les mains en prenant sa queue, et celle ci, non féline, pour un foutu lasso.

Mais comme nous le disions plus tôt, ça n'a duré qu'un quart de seconde avant qu'une probable main n'attrape Zarsh par un endroit douloureux, et l'oblige à se coucher à plat ventre par l'un où l'autre point "faible", décidément de toutes les armes qui étaient pourtant à sa portée au sol il à choisi la moins "conventionnelle"... C'est le moins qu'on puisse dire.

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MessageSujet: Re: La plage Urla   La plage Urla - Page 2 Icon_minitimeLun 7 Oct - 19:56

Bien loin de se douter de quoi que se soit, n'ayant pas l'oreille aussi fine que celle de son tigre, Jade écarquille subitement les yeux quand une des griffes se pose sur ses lèvres. Ah? Et pourquoi chut? Elle l'observe un peu son lion, cherchant à connaitre la raison de son geste, c'est assez surprenant en soit, et en même temps, elle suit son regard, semblant comprendre que quelque chose ne va pas. On les observe? C'est une légère rougeur qui envahit ses joues, elle parait comprendre, mais c'est probablement de travers qu'elle a appréhendé les choses. Elle se tait néanmoins, clignant des yeux, papillonnant des cils, elle reste silencieuse mais se demande quoi tout de même. Ils ne sont pas seuls sur la plage, et? Qu'est ce qu'ils vont bien pouvoir faire? S'en aller le plus discrètement possible?

Quand elle voit les mains de son hybride se rapprocher de ses armes, là, elle a tout à fait assimilé, il compte se battre c'est ca? Au début assez réticente à l'idée, elle grimace mais se redresse dans le plus profond silence pour laisser son amant faire de même, l'observant, cherchant à comprendre la stratégie qu'il adopterait, cependant, lorsqu'il semble être prêt à en découdre, "l'arme" à la main, elle ne peut s'empêcher de lever subitement le bras et de refermer ses doigts sur sa queue féline, elle serre doucement et l'incite même à s'allonger au sol par de petites tapes discrète qu'elle appose sur sa cuisse. De son regard, elle le fusille presque, se mordant la lèvre inférieur et quand enfin il se retrouve sur le sable, c'est sur sa tête qu'elle vient légèrement appuyé.


*On va vraiment finir par parler de nous dans la cité, si on se présente nu à chaque fois!*

Si tu veux te battre, enfile au moins quelque chose!

Et cette fois son regard se porte devant eux, un peu plus loin, là où il semble y avoir quelqu'un ou plusieurs personnes même. Son regard n'est peut-être pas aussi incisif que celui de son chaton, mais elle y aperçoit plusieurs silhouettes, il semble y avoir pas mal de monde malgré tout et c'est ce qui l’inquiète, il est rare que les gens sorte en aussi grand nombre, serait-ce vraiment de simples habitants d'Elsweyr?
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MessageSujet: Re: La plage Urla   La plage Urla - Page 2 Icon_minitimeJeu 17 Oct - 18:45

Les hommes semblaient se préparer à quelque chose d'assez louche, n'allumant qu'une torche pour une dizaine de personne, avançant à pas feutrés vers la ville qui dormait paisiblement. Aucun d'eux ne disait mot, essayant de se fondre dans le paysage et dans l'obscurité que leur offrait la nuit.

Le chef s'arrêta brusquement, le groupe également. Il regarda sur les côtés avec méfiance, essayant de percer de ses yeux d'hommes l'horizon obscur. Puis il haussa les épaules et donna cette seule explication en murmurant :

"Une bête sans doute."

Puis, il continuèrent vers Elsweyr. Arrivée devant les deux gardes qui surveillaient l'entrée... en dormant.... Le chef sourit. Il prit la torche, et sans scrupule, il les égorgea avant de les brûler, alors qu'ils agonisaient, sans pouvoir hurler leur douleur, leurs cordes vocales ayant été tranchées. L'homme regarda les corps brûler et grésiller devant lui avec un sourire empreint de satisfaction non contenue. Puis, il regarda ses hommes et fit un signe acquiescement, la fierté pouvant se lire dans ses yeux ébènes.
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