Elsweyr, la vallée des déchus
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Vous incarnez un reclus de la société médiévale fantastique. Anges déchus, démons, vampires, voleurs, assassins et mutants en tout genre, nous vous souhaitons la bienvenue à Elsweyr, la vallée des déchus!
 
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 Les Rues Marchandes

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Alastor
Angrifer Sil'Daltan
Sophélia
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Sophélia
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Sophélia


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MessageSujet: Les Rues Marchandes   Les Rues Marchandes Icon_minitimeSam 29 Déc - 18:49

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Du tailleur au jouailler, de l'épicier au forgeron, vous trouverez tout ce dont vous avez toujours rêver et même plus. Les commerçants y sont très aimables, toujours prés à vous "délester " de quelques pièces. Si certains sont très honnêtes d'autres le sont beaucoup moins. Ne vous fiez pas aux apparences...
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Angrifer Sil'Daltan
Capitaine de la Garde
Angrifer Sil'Daltan


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MessageSujet: Re: Les Rues Marchandes   Les Rues Marchandes Icon_minitimeLun 4 Fév - 10:57

Le voyage s'était fort toute bien passé. Ils avaient salué ,au passage , bon nombre de gens ravies de voir que les rumeurs disant que le capitaine de la garde de leur ville n'était plus que l'ombre de lui même n'étaient pas fondées.Et tant pis si Angrifer aurait préféré , tout comme sa compagne, un peu plus d'intimité. Il était bon que le peuple sache qu'Angrifer était de retour. Lorsque la carriole s'arrêta enfin prés du magasin recherché, Angrifer s'empressa de sauter à terre et de tendre sa main pour prendre délicatement celle de sa bien aimée , y déposer un doux baiser avant de l'aider à descendre. Une fois chose faite, il lui tendit son bras et tous deux entrèrent dans le magasin. La cloche avait à peine finit de teinter que déjà le marchand se précipita vers eux. Il s'arrêta à mi parcours, surprit, voyant qui était ses nouveaux clients.Il s'inclina devant eux.

Capitaine Sil'Daltan!! Dame... C'est un bien grand honneur que vous rendez à mon humble magasin. Que puis je pour vous être agréable?

Angrifer fit un large sourire à l'homme.

Voyons mon ami...nous ne sommes que des clients normaux. Ma dame désire réhabiliter notre petite salle de bal . Nous aurions donc besoin de vos précieux conseils. Dame Dietrich, notre cuisinière de talent , vous a recommandé . Il parait que vous excellez dans votre art.Nous serions honoré si vous vouliez bien nous faire profiter de vos talents. Il va de soi que votre prix sera le nôtre. Ma dame va vous exposer ce qu'elle désire exactement. J'espère que vous réussirez à vos entendre.

Angrifer se tourna ensuite vers sa Scarlett. Il s'inclina devant elle avant de venir lui voler un tendre baiser. Il soupira de dépit .

Amour de ma vie . Je dois te laisser momentanément. Je dois faire un passage éclair à la caserne, m'assurer que tout va bien. Je ne serai pas très longtemps parti, bien que ce soit déjà trop à mon gout.

Angrifer se retourna vers l'homme et lui sourit à nouveau.

Je laisse mon trésor le plus précieux entre vos mains monsieur. Prenez en grand soin.

Angrifer sortit du magasin et fit un petit geste discret à un homme dans la ruelle. Celui s'inclina tout aussi discrètement avant de rentrer à son tour dans le magasin. Angrifer partit le coeur plus léger vers la caserne. Avec les dernières histoires qui s'étaient passées, il voulait s'assurer que sa bien aimée soit toujours protégée quand il ne pouvait être à ses cotés. Jamais il ne se pardonnerai s'il lui arrivait quelque chose . Il ne pourrait pas vivre sans elle. Elle était l'essence même de sa vie. L'idée qu'on puisse vouloir lui faire du mal lui était insupportable . Aussi, il avait prit la décision de lui dédier un garde du corps. Un homme en qui il avait toutes confiances et qui aurait donné sa vie si besoin s'en faisait sentir. Discret mais terriblement efficace.
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Alastor
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Alastor


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MessageSujet: Re: Les Rues Marchandes   Les Rues Marchandes Icon_minitimeMar 12 Fév - 14:27

Alastor se baladait au gré des divers étalages. Il n'avait pas vraiment de but précis ni rien de particulier à acheter mais il était simplement venu essayer de se changer les idées. Rester chez lui ne lui valait rien. Il broyait du noir en attendant une hypothétique visite d'Althéa qui , il le sentait tout au fond de son être, ne viendrait pas. Aussi avait il décidé de se secouer les puces. Et son réveil ce matin avec un mal de crâne épouvantable n'y était pas pour rien. Se saouler à longueur de journée ne lui apporterait rien. Il lui fallait un peu d'action et le besoin de voir un peu de monde. Il allait devenir fou s'il restait seul chez lui. Même ses livres ne lui apportaient guère de réconfort. Aussi c'était il forcé à sortir pour prendre l'air. Cela ne pouvait que lui faire du bien. Il s'arrêta devant l'étalage d'un nouveau maître d'armes qui visiblement ne manquait pas d'imagination. Il y avait là toute une panoplie de divers couteaux qui l'intéressa beaucoup.

Un bon combat!! pensa Alastor. Voilà ce qu'il me faudrait pour me défouler.

De plus cela permettrait de voir où il en était dans sa guérison aprés son dur combat contre Aratak. Il avait bien faillit y laisser sa peau mais pour rien au monde il ne se serait défilé. Il lui restait encore quelques douleurs résiduelles mais rien de bien méchant. Enfin...
Alastor allait rentrer dans la boutique lorsqu'un drôle de tapage retint son attention. Visiblement on se disputait dans la ruelle juste à coté. Alastor passa le bout de son nez pour voir de quoi il s'agissait.
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MessageSujet: Re: Les Rues Marchandes   Les Rues Marchandes Icon_minitimeJeu 14 Fév - 17:33

Se faire une place au milieu de cette foule se révéla plus corsé qu'elle ne l'avait pensé d'abord. Enoa fut surprise de la densité des manants qui se mouvaient ici. Un nombre d'échoppes incroyable, des gens bigarrés, nombreux et bruyants mais elle aimait ce genre d'ambiance. Elle était même passée devant un étal flippant, un homme semblait y vendre des poisons et autres breuvages peu recommandables. Inconsciemment, elle avait pressé le pas mais à vrai dire, elle écoutait aussi son ventre. Enoa était tout simplement affamée et ça s'entendait plutôt bien. Tantôt sur la pointe des pieds, tantôt la tête coincée entre deux tailles, elle s'évertuait à communiquer avec les différents marchands mais aucun ne semblait prêt à se montrer généreux. Elle soupira longuement, les épaules basses avant de pousser un cri. Une main plutôt mal venue était en train de lui faire les poches. D'abord médusée par une telle audace, elle agrippa le bras du voleur par pur réflexe chanceux.
- Dis donc toi !
- Au secours! Cette fille vient de me prendre ma bourse! Au secours! Elle veut m'emmener!
Ha ben çà, elle était bien bonne celle-là. Voilà que le gamin car il s'agissait bien d'un môme, retournait la situation à son avantage en plus. En même temps lorsque l'on comparait leur deux allures, le choix était vite fait. Stupéfaite, Enoa ne put que lâcher le gamin qui disparut parmi une foule devenant de plus en plus compacte et se resserrant autour d'elle. Une patrouille qui passait par là se fraya un chemin, alertée par les cris, jusqu'à la voleuse présumée. Ni une, ni deux, Enoa était saisie sans aucune délicatesse sous les vivas de la foule.
- Mais lâchez-moi, c'est le gamin le voleur ! Il me faisait les poches quand je l'ai attrapé.
- On n'en reparlera à la caserne, suivez-nous !
Le ton était sec et la poigne ferme. Enoa était dans de beaux draps.
- Non mais c'est un comble, lâchez-moi ! Tout de suite ! Il est grandiose l'accueil des nouveaux arrivants !


Dernière édition par Enoa le Lun 18 Fév - 8:13, édité 4 fois
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Alastor
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MessageSujet: Re: Les Rues Marchandes   Les Rues Marchandes Icon_minitimeVen 15 Fév - 16:02

Alastor venait juste d'assister à la scène.Voyant le gamin se sauver , Il comprit vite qui était le vrai voleur. Il anticipa la course du gamin et se téléporta juste devant lui alors qu'il comptait déjà les quelques sous de la bourse en faisant la grimace. Visiblement ce n'avait pas été un bon coup. Alastor attrapa le jeune garçon par l'épaule fermement.

Tu sais que ce n'est pas jolie de faire les poches des demoiselles! En plus tu n'es pas très malin. Vu sa tenue tu aurais du deviner qu'elle ne devait pas être bien garnie.

Le garçon essaya bien de se débattre mais la poigne de fer d'Alastor le dissuada d'une possible évasion. Il commença alors à se mettre à pleurer , implorant Alastor, lui racontant qu'il avait une mère malade et des soeurs à nourrir, que son père était un ivrogne qui le battait etc etc...Angrifer éclata de rire . Il ne perdait pas le nord le petiot.

Garde tes boniments pour les badauds. Je te propose un marché. Tu me donne cette bien maigre bourse que je vais aller rendre à cette pauvre fille. Tu ne voudrais quand même pas qu'elle aille en prison pour un méfaits qu'elle n'a pas commis?? Quand à toi, je te suggère de profiter de l'attroupement que tu as déclenché pour satisfaire tes envies. Regarde le bon gros marchand de droite. Juste à sa ceinture. Tu la vois cette bonne grosse bourse qui ne demande qu'à être prise?

Le garçon regarda Alastor incrédule. Se fichait il de lui ou.....L’exécuteur pouffa de rire.

Je vais t'aider n'es crainte . Profite en . Ah et tiens...

Alastor lui jeta quelques pièces d'or que le garçon attrapa plus incrédule que jamais. Alastor lui fit un clin d'oeil.

Ceci pour me permettre de faire la connaissance de ses jolies yeux verts.

Alastor prit la bourse que lui tendit le gamin et se téléporta juste devant les gardes qui s'arrêtèrent précipitamment alors qu'ils avaient commencé à emmener la dite voleuse. Il les regarda férocement avant de se tourner vers la jeune fille et de lui lancer sa bourse. Puis il fit face aux gardes.

Messieurs vous faites une grave erreur. Cette fille est innocente. Je viens d'attraper le jeune voleur....Ou plutôt venait. Il a réussit à me filer entre les doigts alors que je récupérais la bourse de cette gente dame.

Le chef des gardes le regarda intrigué.

Qui êtes vous d'abord? Et qui me dis que vous n'êtes pas son complice? Je me demande si je ne vais pas vous arrêter aussi, histoire d'éclaircir tout cela.

Alastor tendit ses mains aux gardes médusés.

Mais faites donc!! Je serai ravie d'expliquer à mon ami Angrifer que l'un de ses chefs est un crétin.

Le chef sursauta au prénom du capitaine de la garde puis maugréa devant l'insulte . Alastor en profita pour continuer.

Notez bien que je ne dis pas que vous êtes le dernier des idiots vu que vous n'allez pas nous arrêter. Vous êtes assez intelligent pour comprendre que si cette dame était une voleuse , c'est elle qui se serait sauvée et non celui qui se prétendait être le propriétaire de la bourse.Mais je n'ai aucun doute quand à votre capacité de discernement et je ferai quelques éloges en votre faveur auprès de mon bon vieil ami Angrifer autour d'un bon cognac. Qui sait ? Un petit coup de pouce peut toujours être utile quand on veut prendre du grade. Au fait, je ne nomme Alastor pour vous servir. Et je réponds de la demoiselle qui d'ailleurs est ma fiancée.

Le chef se gratta la tête quelques instants.Cet homme disait il la vérité ou était il entrain de lui raconter des salades. Bon , c'était sur, son résonnement tenait la route. Et s'il connaissait vraiment le capitaine Sil'Daltan....Mieux valait éviter de faire une boulette qui compromettrait ses chances d'avancement. Et si c'était des voleurs, ils se feraient prendre un autre jour.Le chef des gardes se racla la gorge.

Bon bon. Je vois que la situation est éclaircie. Je n'ai donc aucune raison d'emmener la demoiselle.

Alastor en profita pour attraper par la taille la jeune fille au si jolis yeux verts et de l'enlacer tendrement avant de se pencher dans son cou pour lui murmurer.

Jouez le jeu. Je n'ai pas envie de finir au poste pour devoir vous disculper. Je sais que vous êtes innocente mais le démontrer à ce benêt nous prendrait des siècles. Éloignons nous avant qu'il ne change d'avis.

Alastor déposa un petit baiser dans le cou de la jeune femme pour parfaire sa comédie tout en l'entrainant dans la ruelle d'à coté tout en se retournant vers les gardes.

Je vous remercie chef. Et faites donc le bonjour à ce brave Angrifer de ma part.

Le coin franchi, il les téléporta immédiatement quatre rues plus loin. Il fixa tristement ces jolis yeux verts qui lui rappelaient quelqu'un qu'il ne verrait surement plus.

Vous devriez faire plus attention à vous mademoiselle. Je ne serais pas toujours là pour vous sauver.

Alastor la regarda pour la première fois de la tête au pieds. Elle avait visiblement besoin d'aide. Bon, il avait bien glissé quelques pièces supplémentaires dans sa bourse avant de lui rendre mais il douta que cela suffirait.
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MessageSujet: Re: Les Rues Marchandes   Les Rues Marchandes Icon_minitimeSam 16 Fév - 8:43

Rien n'y faisait, pas la peine de protester dûment. Enoa était maintenant résolue ne voyant pas trop comment se sortir de là. Brusquement la patrouille s'arrêta et elle heurta le casque d'un de ses geôliers. Défaisant l'un de ses bras, elle se massa le front et se retint de donner un coup dans l'épaule du coupable. Que se passait-il donc ce coup-ci. Une voix masculine lui parvint et elle écarquilla les yeux. Qui donc prenait ainsi sa défense alors qu'elle ne connaissait personne en ces lieux. L'homme en question se retourna vers elle et lui envoya un objet assez lourd. Une bourse! Alors là, Enoa n'y comprenait plus rien. Elle n'avait rien et elle tenait maintenant dans ces mains un joli petit trésor. Prestement peut-être trop d'ailleurs, elle la glissa dans l'une de ses poches avant que l'homme ne change d'avis. Grand les cheveux longs et bruns, aux reflets rougeâtres plutôt propre sur lui. Des yeux noirs comme une nuit sans lune et une rose sur la joue droite. Un riche marchand? Un mécène? Un noble? Finalement la veine était-elle de son côté? Enoa écouta attentivement l'échange et redressa la tête opinant avec ferveur aux paroles de l'homme. Elle n'ajouta pas "qu'est-ce-que je vous disais, hein?". Il valait mieux ne pas trop en rajouter. Elle capta un nom, un certain Angrifer et apparemment il devait être un haut gradé. Plutôt bon ça, oui, oui. Puis vint le nom de son sauveur, enfin, elle ne l'était pas encore mais c'était en bonne voie. Alastor, elle l'enregistra dans un coin de sa mémoire puis manqua s'étouffer. Sa fiancée? Mais que racontait-il là ce dément? Un dépravé, voilà qui venait à son secours. Enoa soupira ne sachant finalement pas trop ce qu'elle préférait. Être emmenée par les gardes ou sauvée par cet individu. A sa grande surprise le chef de patrouille abonda dans le sens d'Alastor et Enoa sentit une vague de panique l'envahir. Elle n'eut pas le temps de dire ni faire quoique ce soit et se retrouva collée contre le libidineux. Elle avait certainement du changer de couleur mais les hommes devaient prendre cela pour de la pudeur car elle n'obtint que des sourires compatissants. Les mots chuchotés atteignirent avec difficulté son esprit affolé. Jouer le jeu? Jouer le jeu? Mais enfin qui était-il vraiment. De toute façon, elle n'avait guère le choix mais pas question de jouer la comédie. Enoa se contenta d'afficher un air pincé en fixant les gardes et sursauta à une marque d'affection bien trop osée à son goût. Il ne perdait rien pour attendre celui-là. Profiteur en plus! Enoa était certes de bonne composition la plupart du temps mais il ne fallait pas exagérer tout de même. Elle se laissa donc entraîner la mine sombre et tendue comme ce n'était pas permis. Lorsqu'il la lâcha enfin, au fond de ses yeux verts, brillait une rage folle. La gifle qui atterrit sur la joue d'Alastor retentit dans toute la ruelle. Pourtant la tristesse qu'elle lut alors dans son regard, la figea un instant. Cette douleur ne lui était pas inconnue bien qu'un peu différente. Au fond d'elle quelque chose demandait à ses réveiller mais quoi? A première vue, ça faisait bien trop mal et surtout Enoa, à part ces maudites transformations nocturnes, ne voyait pas bien ce qui aurait pu la mettre dans un tel état. Elle avait pourtant quitté ses parents mais elle était convaincue qu'elle les reverrait. Alors quoi? Elle ne s'attarda pas longtemps sur ses divagations et laissa de nouveau son froissement d'amour-propre reprendre le dessus.
- Comment osez-vous profiter d'une telle situation? Que vous me veniez en aide, merci mais faudrait pas abuser!
Puis elle devint encore plus pâle avant de voir ses joues prendre une teinte rouge sang. Ses poings se fermèrent et son souffle se fit court. Elle venait de réaliser qu'ils s'étaient déplacés de manière anormale et ça la mettait en boule.
- Espèce de monstre! Ne m'approchez pas!
Devant des passants médusés, elle commença de saisir tout ce qui lui tombait sous la main. Rapidement de nombreux objets volèrent en direction d'alastor. Enoa ne plaisantait pas et c'est un air meurtrier qui flottait maintenant sur son visage. Elle n'avait jamais supporté la magie. Mieux valait prier qu'une troupe de ménestrels passe dans le coin pour l'apaiser. Elle en avait même oublié de lui rendre la bourse. Etait-ce bien grave pour elle? Pas vraiment, non. L'homme en face d'elle ne connaissant rien de son passé, allait sûrement la prendre pour une folle. Enoa en avait la malheureuse habitude.
- Répugnant personnage!
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Alastor
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MessageSujet: Re: Les Rues Marchandes   Les Rues Marchandes Icon_minitimeMar 19 Fév - 15:04


Bon!! La gifle, je m'y attendais.Normal vu que j'avais un peu "profiter" de la situation. Mais était ce ma faute si ses si jolis yeux verts m'avaient fait perdre un instant la tête. Et j'avais espéré quoi??Je venais de redescendre sur terre de façon plutôt brutale et c'était tant pis pour moi. J'aurai voulu m'excuser, lui expliquer que je n'avais aucune mauvaise intention, que je ne cherchais que quelqu'un avec qui parler. Quelqu'un qui aurait pu comprendre le vide immense qui venait à nouveau de m'envahir, mais ses mots m'en empêchèrent. Un monstre!!Voilà ce que j'étais à ses yeux. Et le pire c'est qu'elle avait probablement raison. Ma vie avait été consacré au meurtre. Et puisà quoi bon lui tenir tête dans un duel si ....puérile. Moi qui avait cru en l'amour de Sophélia puis d'Althéa, j'étais rattrapé par la sinistre vérité. Un monstre....J'étais né pour tuer pas pour aimer. Je supportais ses mots sans rien dire en esquivant au mieux ce qu'elle me lançait. Je me retournais pour partir lorsque ses derniers mots me frappèrent au visage bien plus que la gifle que j'avais reçu. Un monstre peut être , mais pas un être répugnant. Ma colère et ma frustration refirent surface avant même que je ne m'en rende compte.Je fis volte face et en un éclair me téléportais juste derrière elle. Je fis jaillir ma lame de ma manche et la glissais juste sous sa gorge, ce qui eut pour effet de lui couper le sifflet. Je laissais parler ma rancoeur.

Faites très attention à ce que vous dites demoiselle. Je suis peut être un monstre mais pas un être répugnant. Je suis un exécuteur et je pourrai vous tuer de mille et une façon avant même que vous ne cligniez des yeux.D'un simple baiser même.....Vous oubliez vite que je vous ai sorti d'un très mauvais pas . Vous seriez certainement entrain de croupir au fond d'une prison à l'heure qu'il est. Alors considérez le petit baiser volé comme mon dédommagement. Et gardez donc la bourse pleine que je vous ai donné et considérons ainsi nous sommes quittes.

Je m'aperçu alors que je la tenais bien trop contre moi. La chaleur de son corps me troubla , ma main se mit à trembler .Je rangeais précipitamment ma lame et me calmais. Qu'avais je fait....Maintenant je devais vraiment être un homme répugnant. Je me sentis soudain sale et las . Pourquoi étais je sorti? Qu'avais je espéré en venant ici? Je relâchais mon étreinte et soupirais.

Je vous présente mes excuses et suis désolé que vous le preniez ainsi. Ce....Ce sont vos yeux qui m'ont attiré. On dit qu'ils sont le reflet de l'âme et les vôtres brillent d'un éclat magnifique. Je...Je ne vous importunerais plus.

Je fis deux pas en arrière et me retournais pour partir.Puis me souvenant qu'elle avait visiblement besoin d'aide, je retournais la tête dans sa direction.

Prenez le comme vous le voulez mais je n'ai jamais eu l'intention de vous nuire. J'ai cru un instant .....Mais les monstres n'ont pas d'amis. Si vous avez besoin de quoi que ce soit , entrez dans les boutiques et achetez . Donnez mon nom pour la facture , je suis bien connu des commerçants. Et cela vous évitera de finir en prison.

Je fis quelques pas avant de me vaporiser pour rejoindre mon domaine.
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MessageSujet: Re: Les Rues Marchandes   Les Rues Marchandes Icon_minitimeMar 19 Fév - 15:41

Le monstre ne réagissait pas, ce qui la surprit quelques secondes. Mais rien ne semblait devoir calmer la fureur qui l'agitait et pourtant. A nouveau, il disparut utilisant cette odieuse façon de se déplacer pour réapparaître derrière elle. Le froid de la lame sur son cou la fit taire effectivement mais ne fit qu'alimenter la haine qui l'habitait. Tous les mêmes ces monstres, ils usaient et abusaient de leurs pouvoirs sans jamais se battre à armes égales avec leur adversaire. Ses lèvres se pincèrent et ses dents vinrent les écraser si fort qu'un filet de sang perla pour venir coaguler à la commissure de ses lèvres. Elle enregistra chacun de ses mots, même si elle n'en comprenait pas tout le sens, l'intonation de sa voix était claire, menaçante. Sous la colère, c'était maintenant la peur qui serrait son coeur d'une étreinte mortelle. Les battements résonnaient si fort à ces tempes que maintenant les paroles d'Alastor lui parvenaient avec peine. Elle ne nota ni le trouble qui le saisit, ni le tremblement de sa main alors que des larmes roulaient sur ses joues. Colère, frustration, peur, tout se déversait par cet exutoire salvateur. Lorsqu'elle se sentit libre, elle se dégagea, étrangement sans violence, se contentant d'enrouler ses bras autour d'elle. Il changeait de refrain maintenant, lui comptant presque fleurette et parlant d'on ne sait quelle amitié. Ca la fit rire intérieurement, rire jaune car elle non plus n'avait pas d'ami. Comment cela pouvait-il même être possible au vue de sa "particularité". Elle ne pouvait s'empêcher de réagir violemment devant d'autres comme elle alors qu'attendre du regard extérieur ? Elle leva une main et fit un signe comme pour le remercier. La rue s'était vidée devant leur échange, par pudeur peut-être? C'est ce qu'elle voulut croire et soupira longuement. Toute sa colère maintenant partie, sa peur amoindrie, il ne lui restait pas grand chose si ce n'était ce but de redevenir normale. Elle sortit la bourse de sa poche et fit le compte. Cela serait amplement suffisant pour subvenir à ses besoins un temps. Enfin, elle bougea comme sortant d'un mauvais rêve. Enoa avait toujours aussi faim et se focalisa là-dessus. Un petit boui-boui fit l'affaire, gonflant son ventre d'une nourriture chaude, calorique et bienvenue. Elle s'occupa ensuite de se procurer deux tenues des plus simples prenant garde à ne pas se faire faire les poches une seconde fois. L'intermède avec Alastor avait cependant porté ses fruits car on la laissait tranquille, certains allant jusqu'à s'incliner sur son passage. Voilà autre chose, drôle de Cité qui changeait d'avis comme de chemises. Ses acquisitions faites, Enoa ne traîna pas dans les rues. Puis elle s'était réveillée tard et la journée était maintenant bien entamée. Passant son baluchon sur son épaule, elle prit la direction de sa planque. Elle avait été secouée, le nier aurait-été pure folie, pas la peine de ressasser ici.
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Dark

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MessageSujet: Re: Les Rues Marchandes   Les Rues Marchandes Icon_minitimeMar 19 Fév - 15:52

Dark et Danaé apparurent devant la boutique de fleurs. Il y en avait de toutes les couleurs , plus belles les unes que les autres.Dark enlaça tendrement sa compagne.

Ses fleurs sont magnifiques et pourtant elles font pâle figure comparées à celle que je tiens dans mes bras. Tu es la plus belle , comme d'habitude.

Le démon lui vola un tendre baiser avant de lui prendre la main de l'emmener dans le magasin.

Pour le bouquet, je te laisse choisir. C'est plus une affaire de femmes que d'hommes. Je sais très bien celles que je prendrais pour toi mais je ne pense pas qu'elles conviendraient pour dame Sil'Daltan. Je ne voudrais pas me faire de son époux un ennemi. Choisis mon ange.....

Dark se recula un peu et en profita pour flâner dans le magasin. Il appela discrètement un autre vendeur pendant que sa bien aimée choisissait le bouquet pour ses amis et lui donna ses instructions suivit d'une bourse bien remplie qu'il glissa subtilement dans la paume de main de l'homme. Celui ci s'inclina avant de partir avec un léger sourire en regardant Danaé. Puis se rapprochant de sa compagne.

Alors mon coeur?? Une idée??

La vendeuse fit un large sourire aux amoureux .

Si c'est pour vous, je pense qu'un magnifique bouquet de rose....
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Danaé Kostas

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MessageSujet: Re: Les Rues Marchandes   Les Rues Marchandes Icon_minitimeVen 22 Fév - 6:33

Danaé fut heureuse d'apparaître devant la boutique de fleurs. Tant de couleur la faisait sourire alors qu'elle jetait un regard sur les différentes variétés. La jeune femme rougissait alors que son compagnon l'enlaçait tendrement, ne manquant pas une occasion pour la compliment. Après lui avoir rendu son baiser, elle le suivit, son regard s'attardant déjà à plusieurs fleurs. Déjà elle réfléchissait à ce que Dame Scarlett pourrait bien aimer. Lorsque Dark dit qu'il savait les fleurs qu'il aurait pris pour elle, elle tourna la tête vers lui, souriant d'un petit air malicieux.

Vraiment? Dis-moi, quellés fleurés tu prendrais pouré moi? Jé vouloir savoir...

À peine lui avait-elle demandé qu'il partait flâner dans la boutique, ce qui ne sut que rendre Danaé encore plus curieuse de la réponse. Rapidement, elle revint aux fleurs devant elle, elle regardant avec attention. Ces jolies fleurs savaient lui mettre de la joie au coeur. Elle se dit qu'il lui faudrait bien songer à se faire un petit jardin. Plus elle y pensait et plus elle se disait qu'elle aimerait cela. Dark revint et elle lui sourit, n'ayant pas le temps de lui répondre avant que la vendeuse leur adresse gentiment la parole.

Oh non. Cé né pas êtré pouré nous. C'êtré pour des amis. Mmmh.. Les rosés être dé joliés fleurs, mais j'aimé bien les Dahlias.

Danaé continuait de regarder les fleurs lorsqu'elle tomba sur quelque chose qui la fit sourire. Prenant doucement la main de Dark, elle le tira vers elle, pointa de son autre main les fleurs qu'elle venait d'apercevoir.

Régardé, les lys êtré magnifiqués. Jé suis certainé qué Scarlett les aimérait. Qu'en pensés-tu?

Danaé était pleine d'enthousiasme, c'était là quelque chose qu'elle adorait. Choisir les fleurs, trouver les plus jolies et surtout pouvoir les sentir. Ces odeurs si douces lui donnaient toujours le sourire. Les lys particulièrement étaient des fleurs qu'elle trouvait magnifiques et celles-ci l'étaient tout particulièrement, si pleines de couleur.
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MessageSujet: Re: Les Rues Marchandes   Les Rues Marchandes Icon_minitimeMer 27 Fév - 10:57

Enoa était de nouveau en ville et cette fois, la jeune femme paraissait plus sûre d'elle. Elle usait même du luxe de se promener la tête haute avec un air satisfait qui la faisait beaucoup rire. Certains marchands avaient bien retenu qui elle était et n'hésitait pas à l'attirer dans leurs échoppes avec des merveilles sans pareil. Enoa avait prit la décision de profiter des largesses du drôle de monstre. Après tout, n'était-ce pas lui qui était à l'origine du quiproquos? Elle allait donc se faire plaisir sans même avoir à se soucier de ses dépenses. Voilà une chose à laquelme elle n'était absolument pas habituée. Ses pas la menèrent d'abord vers une friperie de haute couture, si l'on pouvait dire ainsi. Enoa ne cherchait pas des tenues tapes à l'oeil non, mais des vêtements solides et divers, allant ainsi avec chaque saison ou pourquoi pas, selon ses humeurs. Cette idée la mettait en liesse et elle entra dans une première officine. Elle sentait bon le tissus, le cuir et autres produits d'entretien. Enoa prit son temps, inspectant chaque possibilité, arrêtant ses choix sur des tenues bien particulières. Au fur et à mesure de son avancée, le marchand se fendait d'un large sourire, ses mains se frottant l'une contre l'autre. La jeune femme n'avait pas omis de clamer qui elle était, juste au cas ou. Bientôt un tas assez impressionnant de vêtements fut empaqueté sans qu'elle n'ait eu à avancer la moindre pièce. Ce Alastor devait avoir les moyens, loin s'en fallait. Un léger problème se posait maintenant à elle. Le transport, sachant qu'en plus ce ça, elle ne faisait que commencer ses emplettes. Qu'à cela ne tienne, elle se renseigna auprès du camelot qui lui indiqua une adresse et ce chaleureusement. Un membre de sa famille, enfin c'est ce que comprit Enoa. Elle le remercia et laissa ses affaires là. Elle les récupèrerait à son retour. Ni une ni deux, elle fila louer quatre mules et un chariot puis se concentra sur l'achat de vivres et de quelques meubles pour rendre sa planque plus confortable. Pour ces derniers, elle n'avait pas besoin de grand chose mais opta pour de la qualité, du solide quoi. Un coffre assez large, deux assises, une table, qui lui faudrait assembler, des outils, des chandeliers, des bougies, plusieurs peaux, des oreillers, un matelas, un tapis, de quoi se faire correctement à manger, des livres, de l'eau et autres boissons. Son chariot s'emplissait à vue d'oeil et on s'empressait de l'aider avec amabilité. Comme quoi, ce Alastor lui aurait rendu service une seconde fois finalement et la note allait être douloureuse mais Enoa n'avait fait qu'accepter sa proposition. Désireuse de ne rien oublier, elle se paya le luxe d'entrer dans chaque échoppe et généralement, elle en ressortait avec quelque chose sous le bras. Etrangement, personne ne tournait autour de son chariot et elle acheva ses achats sans inquiétude, récupérant ses habits au passage. Elle avait faim maintenant et choisit une auberge cossue. Enoa se fit là encore plaisir, goûtant des mets tout plus exquis les uns que les autres. C'était quand même affolant de voir que l'on ne lui demandait pas de prouver qui elle était. Juste trois mots suffisaient pour lui ouvrir toutes les portes. Ce genre de vie, on devait vite s'y accoutumer mais ce n'était pas pour elle, du moins pas sur le long terme. Mais pour l'instant, il en était tout autre et Enoa découvrait ce que signifiait avoir la vie facile. Elle reprit le chemin de sa planque le ventre plein et le sourire aux lèvres.
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Dark

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MessageSujet: Re: Les Rues Marchandes   Les Rues Marchandes Icon_minitimeMer 27 Fév - 11:21


Dark admira un instant les lys. C'est vrai qu'ils étaient magnifiques. Bien qu'il ne comprenait pas grand chose au langage des fleurs, il trouva le choix de sa compagne approprié.

Je suis d'accord avec toi . Les couleurs sont chatoyantes, elle ne pourra que les aimer.

Le démon s'approcha d'elle, la prenant par la taille tout en l'adossant contre son ventre. Il glissa alors sa tête dans son cou et y déposa un petit baiser bruyant.

En fait je pensais t'offrir une belle rose d'un rouge pur comme mon amour pour toi mon ange , mais si tu préfère les dahlias.Et puis c'est vrai qu' une seule .....Je ne voudrais pas que tu me prenne pour un avare.

Tout en disant cela le démon avait lentement tourner la tête vers l'autre vendeur qui lui répondit d'un petit hochement de la tête et d'un sourire entendu.Dark mordilla le lobe de son oreille tout en lui murmurant

Jé t'aimé Danaé Kostas. Et j'ai de la chance car c'est moi qui ai la plus belle fleur de tout le magasin dans mes bras.

Ils réglèrent rapidement la question et achetèrent un énorme bouquet de lys. Puis ils filèrent chercher la bouteille pour Angrifer.Un bon vieux cognac. Sur qu'il apprécierait! Et pas que lui , pensa Dark en pouffant de rire.
Une fois leurs achats fait , le démon se tourna vers sa belle et lui fit un large sourire.

Future dame Dark, ya t il quelque chose d'autre que vous désiriez?? Pour vous cette fois ci, je veux dire. Sinon....

Le démon tendit son bras pour qu'elle s'y accroche.

Direction le manoir Sil'Daltan. Et je prie les dieux pour que notre bon vieux Angrifer soit guéri. J'ai une dame que j'aime éperdument à épouser et il me tarde de faire d'elle ma compagne officielle. Aprés quoi ,je me chargerai de lui faire un ou deux ou....dix petits démons. Quand on aime , on ne compte pas.....

Le démon pouffa de rire.
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Danaé Kostas

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MessageSujet: Re: Les Rues Marchandes   Les Rues Marchandes Icon_minitimeMer 27 Fév - 19:26

Danaé rigolait doucement à ses baisers, en rougissant tout de même un peu, mais rien de comparable aux rougeurs que ce genre de baiser lui aurait occasionnées au début de leur relation. La jeune femme avait bien appris à se détendre et à quitter un peu sa gêne. Il faut dire qu'elle avait eu le temps de devenir une toute autre femme depuis. Lorsqu'il dit qu'il voulait lui acheter une rose, Danaé en fut touché, tournant la tête vers lui.

Oh! Une seulé rosé êtré uné attention profondément romantiqué.. Tu né pas êtré une avaré et tu lé savoir très bien.

Cependant Dark avait fait part du changement au jeune vendeur et elle sourit à son compagnon en signe de profonde gratitude, ne pouvant s'empêcher de frissonner et soupirer lorsqu'il lui mordilla l'oreille. Ensuite, vint le temps d'acheter le cognac et Danaé regarda son compagnon avec un sourire au coin des lèvres. Décidément, il avait la même aisance avec le choix de cognac qu'elle en avait avec les fleurs. C'était en quelque sorte grâce à l'alcool qu'ils s'étaient rencontrés et étaient désormais ensemble. Cette pensée la fit sourire. À sa question, Danaé fit un sourire espiègle.

J'aurais uné autré petité chosé à achéter, mais pouré céla, jé vais dévoir révenir touté seulé. Après tout, lé marié né pas dévoir voir la robé dé son épousé avant lé mariagé.

Danaé avait bien hâte de faire l'acquisition de sa robe, mais comme elle l'avait dit, c'était quelque chose qu'elle devait faire en son absence, elle voulait lui faire la surprise. Doucement, elle saisit son bras, posant un baiser sur sa joue.

Direction lé manoir... Nous férons des pétits démons plus tard.
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MessageSujet: Re: Les Rues Marchandes   Les Rues Marchandes Icon_minitimeSam 15 Juin - 14:07

Lorsqu'il eut à son tour passé, ce fut à moi de l’entraîner. Je ne savais pas vraiment comment, mais j'avais le souvenir que l'arrière de la taverne donnait sur une forêt, je l'y emmenais donc et m'y engouffrais, le tenant toujours par la main.

Suis-moi! Si la garde débarque, ils auront plus de mal à nous retrouver par ici...

Je l’entraînais donc derrière moi, nous enfonçant un peu plus à chaque pas dans cette foutue forêt. Mes yeux voyageaient, ils se posaient un peu partout, sur les arbres, les plantes, le petit sentier que nous avons emprunté, bref, je regardais les environs et au fur et a mesure que j'avançais ma respiration se faisait plus courte, plus saccadé. Non, je n'étais pas fatigué, épuisé au point de ne plus pouvoir marcher, mais quelque chose en moi s'éveillait, je n'aurais su dire quoi exactement mais j'avais comme l'impression qu'une boule d'angoisse s'était noué dans ma gorge.


Nous marchâmes donc à travers les bois un moment en silence puis nous sortîmes plus loin, lorsque je fus sûr que nous nous soyons assez éloigné, et heureusement pour nous, les rues marchandes n'étaient plus très loin, nous nous y rendions donc et j'emmenais Zarsh vers une petite boutique dont la vitrine affichait le nom, à n'en pas douter c'était une boulangerie et lorsque j'y entrais, je compris rapidement que peu de personne y venait. L'endroit était non seulement petit mais en plus de cela, il ne semblait pas y avoir grand chose comme choix, ce n'était pas comme si le magasin avait été dévalisé, non, du moins ce n'était pas l'explication la plus plausible qui me venait à l'esprit quand mon regard se posait sur la vendeuse qui me paraissait... épuisé, comme a bout, on pouvait même voir des cernes sous ses yeux.


En la voyant, je lui fis un léger sourire et au final, je lui achetais les quelques petits pains à la viande qu'elle avait. Je lui offris les quelques pièces qu'elle me demandait et en ajoutais même trois ou quatre de plus avant de me glisser à l'extérieur de la boutique. Un paquet dans les bras, je cherchais ensuite un endroit un peu plus calme où nous aurions pu nous installer et y manger les quelques pains que je venais de payer. Un peu plus lin il y avait un banc et lorsque je l'eus repéré, je le montrais à Zarsh et m'y dirigeais alors.  
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Zarsh

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MessageSujet: Re: Les Rues Marchandes   Les Rues Marchandes Icon_minitimeSam 15 Juin - 22:09

Zarsh hausse les épaules lorsqu'elle lui demande de la suivre, hochant la tête par exaspération, comme s'il avait le choix dans cette cité qu'il ne connait pas, ses yeux roulent un temps dans ses orbites lorsqu'elle le prend par la main, comme un foutu gosse que l'on à peur de perdre derrière soi, mais quelque part, ne lui arrivait il pas de l'être, quelque part, profondément là "dedans" ? Il la laisse ouvrir la route, la laisse courrir devant lui et ses yeux ne peuvent s'empêcher de tomber de sa chevelure à la ligne de son dos et sans doute, bien plus bas encore, les images de ces mains la touchant là dessous, lui reviennent malheureusement en tête, et lorsqu'elles traversent son esprit ses doigts tiennent bien moins fermement leur grippe sur la main de Jade, comment n'avait elle pas pu prévoir qu'une telle chose se produirait dans une auberge aussi mal fréquentée aussi légèrement vétue ? Etait ce réellement un oubli ? Où une manoeuvre pour le rendre dingue de rage autant qu'il n'était dingue d'elle... Désirait elle déjà une autre "punition" dont il à le secret ?

Hmpf... Il n'avait pas le droit... De déjà repenser à "ça", mais elle ne faisait rien pour que son sang se calme après cette rixe, cet épanchement de téstostèrones en toute gratuité, la course à travers la forêt puis les ruelles de la ville à deviner aisément ses courbes et ses rondeurs rebondir sous le peu de vêtements qu'elle porte encore, laissent sa "bête" lui susurer bien des choses... oui, bien des choses qu'il tente de balayer d'un revers de la main, mais quand ce n'est pas ça, ce sont les souvenirs de ces doigts balladeurs touchant sa peau d'albâtre sous son corset où prolongeant la rondeur de sa fesse sous les voiles fins de cette courte jupe se soulevant à chacun de ses pas... Et qu'est ce qu'il pouvait avoir faim ce matin, certes, il pense beaucoup à ses besoins "primaires" en cet instant mais le petit en cas qu'ils eurent pris la nuit précédente ne suffisait pas pour remplir sa taille adulte, et son estomac criait encore famine, bonté divine... quand il repense aux savoureux morceaux de viande que Jade avait payé d'avance, qu'ils ont du abandonner à leur table... Son estomac témoigne d'un tel gâchis en grognant longuement.

"-Tu as de la chance que j'aille bien trop faim pour réfléchir, autrement je te demanderai sans doute comment tu as pu te mettre dans une situation pareille... Et j'oserai pousser le vice à dire que tu n'as pas montré... Assez de résistance à tes camarades de jeu..."


"-Moi qui t'ai vue dans tes grandes oeuvres contre une poignée d'hashashins, je t'ai soudainement trouvée bien faible face à ces mastars... Il faudra sans doute que je prenne le temps d'"approfondir" mes connaissances à votre sujet..."


Dit il en se mordant la lèvre inférieure entre ses dents, tandis qu'il plisse son regard de sa malice féline habituelle, accompagnant le tout d'une paluche audacieuse, bien placée venant lui donner la fessée en pleine course, ses phalanges provoquant la plus sonore et retentissantes des claques qui, s'imprimera d'une petite trace sanguine avant de disparaître de la surface du postérieur de sa magnifique petite elfe, bonne petite claque avant qu'elle ne disparaisse dans une boulangerie à la façade très modeste, dans une rue qui, l'est tout autant, aux abords des bas fond et des quartiers à bas revenus de la cité, c'est aussi le genre d'endroits qui peuvent faire office de véritable coupe gorges et qui doit grouiller de tire-laine la nuit tombée.

Il l'attend, adossé au mur de la bâtisse, bras croisé et capuche à nouveau rajustée, vérifiée à chaque fois qu'un passant s'apprête à le croiser où arrive à sa hauteur, il passe un coup d'oeil rapide par un baillement de la porte de l'échoppe pour voir où en est Jade, lors de son attente il verra passer une, ou deux chariottes remplies de barils au marquage étrange, une lune sanglante emprisonnée dans un poing qui semble la décrocher du ciel, il n'a jamais vu un tel cigle, ce n'est certainement pas l'écusson d'un seigneur où d'une confrérie de nobles, cette marque et ces barils lui laissent un étrange frisson parcourant sa nuque, il suit le convoi du regard avant qu'il ne bifurque sur une avenue plus large menant au port de la cité, s'il ne se sentait pas obligé d'attendre Jade pour éviter que d'autres mains balladeuse ne la touchent, il se serait sans doute jeté discrètement à la poursuite de cette caravanne, afin de trouver une occasion de jeter un coup d'oeil à cette intriguante marchandise.

Jade ressort enfin... Plus belle, plus délicieuse que jamais à ses yeux, GRrrrr... Pourquoi... Pourquoi a t'il encore cette furieuse envie de lui apprendre... Lui apprendre de vilaines manières pour son attitude dans l'auberge... Etait ce possible qu'il ait été excité par toute cette situation ? Pourquoi ressentait il cette petite hargne, rage ruminée et tue, en même temps qu'une envie furieuse pour elle, provoquée par la situation désespérée dans laquelle elle se trouvait... MMRrrr... Ce n'était pas "bien"... Ca n'allait pas... Etait ce la faim ? Etait ce une perte de contrôle sur les pulsions de la charogne infernale, régalienne qui arpente les couloirs labyrintiques de sa conscience en y laissant trainer le bout de ses griffes, qui scintillent, grattent la pierre de ces galeries en laissant des gerbes d'étincelles animer des envies et insufler à son esprit, des tentations qui le harcèlent...

"-Je dois avouer que je me sens un peu materné... Et privilégié, tu ne cesses de te soucier de mon estomac et tu paies sans arrêt pour moi partout où l'on passe, je me demandes si je mon "égo" s'en remettra jamais... Et j'ai ces... pensées... Inavouables... Inappropriées pour ne dire que cela... Je ne suis même pas capable de te "remercier" comme tu le mériterais dans des moments de ce genre et..."


Il s'assoit sur le banc que tu as désigné, ses pieds roulant sur ses talons lorsqu'il est assis, écarte puis, ramène ses jambes ensemble en se crispant ses épaisses phalanges ensembles, il était "perturbé", où plutôt contrarié, n'arrivant pas à mettre le doigt sur la chose qui le met dans cet état de "frustration", il sait qu'il est nerveux, et énervé pour quelque chose, qu'une colère mêlée d'envie monte, monte, lui noue le ventre, il à peut être trop vécu pour se rappeller encore, de ce qu'une telle chose veut dire, ses genoux s'entrechoquent parfois, ses pieds tapotent le sol et les muscles du coin de ses mâchoires sous ses rayures "roulent" sous sa peau, sa queue de tigre elle aussi "frappe" nerveusement contre le dossier, à gauche, puis à droite, ses regards sont tantôt sombres et froids, puis désespérément "perdus" d'incompréhension face à son propre supplice.

"...Je ne comprends pas ce qui m'arrive... Je ne comprends pas pourquoi ce... Ce qui s'est passé à l'auberge m'affecte autant... J'ai l'impression de... D'avoir besoin... Besoin de m'assurer de quelque chose... Oh et puis merde !"

Il soupire soudainement en perdant les traits de son visage entre ses mains et attrape aveuglément, l'un des pains de viande que lui tend certainement Jade, il en mord une belle portion, si ce n'est la moitié, et engouffre très vite le reste en se suçant les doigts entre ses lèvres lorsqu'il en termine, il croise les bras autour de son ventre et détournes le regard de Jade qui est pourtant à ses cotés, ayant du mal à la regarder dans les yeux, cette... Cette frustration noueuse ne fait que monter et il à lui même très peur d'éveiller sa propre "bête" pour une sotise de ce genre, pire encore ne dit il même pas "merci", et bien qu'il se trouve d'une impolitesse rare alors qu'il vient de lui arracher un autre pain de viande des mains il se surprend, et ne se comprend pas, ne comprends pas pourquoi il agit comme un foutu gosse pourri gâté à qui on aurait retiré son "jouet", où était il blessé, quelque part qu'elle ait été touchée de cette manière... La bête elle, aimerait sans doute s'assurer en "profondeur" qu'elle soit toujours sienne et marquée au plus profond de son être, mais ce serait tellement... ina... approprié dans un tel endroit... Hein ?! Mais à quoi pense t'il ?!

Il à a peine récupéré de la journée éprouvante d'hier et il voudrait déjà remettre le couvert... Jade méritait mieux qu'une créature imprévisible dans son genre... De brefs regards repassent rapidement sur Jade, qu'il jauge, observe des pieds, à la tête, autre action soudaine sera ce rapprochement vif de son visage et un baiser frais, rapidement collé contre la peau de son cou remontant à son oreille pour un second avant de la laisser "plantée" là, sur place, alors qu'il s'éloigne à nouveau de quelques "places" assises sur ce dit banc, continuant de faire, ce qui semble être la "tête" pour en parler simplement.
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MessageSujet: Re: Les Rues Marchandes   Les Rues Marchandes Icon_minitimeDim 16 Juin - 18:23

Le sachet coincé entre mes bras, j'avançais au même rythme que Zarsh, le suivant sagement et quand il prit la parole, je relevais les yeux vers lui et lui offrais un sourire, sourire qui peut-être aurait pu paraître inapproprié comme il le disait si bien, mais moi de mon côté ca n'avait pas la même signification, non loin de là, quelque part au fond de moi en disant cela il ne faisait que confirmer une idée que j'avais, je me disais que si il continuait à me désirer alors oui j'avais encore un peu de temps pour peut-être réussir à le convaincre de me laisser l'accompagner, j'avais encore un peu de temps à pouvoir passer avec lui, tant qu'il ressentait cette envie quelque part j'en étais soulagé, heureuse de constater que je lui faisais de l'effet, même si ce n'était pas grand chose, au moins il était là et j'étais avec lui, rien que ca pour moi c'était quasi parfait. Ce sourire n'était pas «décalé» pour moi non, c'était la preuve que je recherchais et comme quelqu'un qui venait enfin de trouver ce qu'il recherchait désespérément depuis longtemps, j'affichais ce que je ressentais par un sourire, même si là à l'instant je lui aurais bien sauté au cou.


Je le suivais donc jusqu'au banc où je m'asseyais à mon tour, j'allais plonger une main dans le sachet où se trouvait les petits pains quand je le vis écarter puis coller ses jambes, je fronçais alors les sourcils et lui jetais un regard, l'observant un moment ou plutôt regardant son petit manège, mais qu'est ce qu'il faisait? Je ne comprenais pas vraiment sur le coup et je détournais finalement les yeux. Ce n'est que lorsqu'il prit la parole à nouveau que ses gestes eurent de la signification pour moi. Il était là à se demander ce qui lui prenait, pourquoi il semblait si nerveux, je le savais enfin et à nouveau alors que je baissais les yeux vers le sol, mes cheveux venant encadrer mon visage et le couvrant d'ombre, un léger sourire vint jouer sur mes lèvres. A ce moment là, peut-être espérais-je que tout ce remue-ménage en lui était provoqué uniquement par ma petite personne, toujours est-il qu'en relevant les yeux, j'attrapais un pain à la viande et le lui tendais.


Et même lorsqu'il se mit à manger, je le regardais, l'observais, j'avais soudain ce besoin de le voir encore, d'admirer ses traits pour la plupart pourtant caché par l'ombre de son capuchon. Quelque part, je le savais à ce moment là, j'étais sans doute la plus heureuse du monde à simplement le regarder manger, je ne détournais les yeux qu'après quelques instants à le fixer et attrapais un autre pain qu'aussitôt il prit. Sans rien dire de plus, je piochais à mon tour dans le sachet et mordais dedans tout en observant les alentours. L'endroit me paraissait plutôt calme mais bien plus pauvre que les autres parties de la citée que nous aurions pu visiter. Moi qui pensait qu'Elsweyr était toujours grouillante de monde je découvrais un autre aspect de la citée qui ne me plaisait pas tant que ca et soudainement je ressentis le besoin de me rapprocher un peu plus de Zarsh, sans toutefois le regarder, je faisais attention au peu de monde qui passait dans les rues tout en mâchant consciencieusement la nourriture que j'avais dans la bouche.


Ce n'est que quelques secondes plus tard que je ressentais son regard sur moi, faisant mine de ne pas le remarquer pour ne pas le «vexer» plus qu'il ne pouvait déjà l'être, après tout, c'était vrai, sans doute l'avais-je déjà beaucoup blessé dans sa fierté et ce n'était pas vraiment ce que je voulais, j'avais peur que si j'en faisais un peu trop il viendrait à se détacher de moi et à quitter la citée. C'est vrai après tout pourquoi déciderait-il de rester avec moi ou même de m'emmener avec lui? Je n'avais rien fait pour attirer sa sympathie, ces petites «piques», ces provocations et tout le reste... Je soupirais et me redressais légèrement subitement en écarquillant les yeux en sentant un baiser frais et léger d'abord sur ma nuque puis sur mon oreille. J'en rougissais un peu et tournais les yeux vers lui en le voyant s'éloigner de moi. Je souriais de nouveau et sans plus rien dire, m'approchais un peu plus pour venir à mon tour poser un léger baiser sur sa joue avant d'attraper son bras et le passer autour de moi tout en venant placer mon dos contre lui. Je posais alors mes pieds sur le banc et ramenais mes jambes contre moi avant de pencher légèrement la tête vers l'arrière et de tendre un autre pain à Zarsh, un autre sourire sur les lèvres.


Lorsqu'il l'eut pris, j'attrapais de nouveau son bras et venais le poser contre mon ventre alors que je calais le sachet entre mes pieds. Finalement, je mordais une seconde fois dans le petit pain que j'avais pris et regardais un moment devant moi avant de prendre la parole:

Pour ce qui est de tout à l'heure, je suis désolé, je ne maîtrise pas vraiment ce... cette chose, ce pouvoir. Je n'ai aucune idée de comment l'activer et encore moins de le contrôler.

Je grimaçais alors et relevais un peu les yeux vers lui, un sourire un peu contrit étirant mes lèvres.

Et je n'ai pas pensé à prendre ma cape, vraiment, pardon!

Je baissais à nouveau le regard, les posant sur mon pain à la viande et me caler finalement un peu plus contre lui.


Pour le reste, ca ne me dérange pas de payer...  
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MessageSujet: Re: Les Rues Marchandes   Les Rues Marchandes Icon_minitimeDim 16 Juin - 20:20

Il s'était éloigné d'elle, sur le banc, après cet assaut un peu particulier de ses lèvres sur son cou, sa nuque... Il n'avait pas le droit de laisser ce chaton s'ammouracher d'une jeune créature comme elle, il devait rester cacher sous les couches en oignon de rudesse, rustrerie, goujaterie dont il sait pourtant d'habitude se recouvrir, comme une couverture... Couverture si ancienne et glacée qu'elle s'en effrite d'autant plus facilement, depuis qu'il est au contact de Jade, c'est une énorme faiblesse, il essaye d'en prendre conscience, mais c'est si dur alors qu'elle ne cesse de jeter ces regards intéressés, confiants, sous les ombres de sa capuche pour chercher son regard qui se veut dur, sombre et parfois même, fuyant...

Lorsqu'elle lui tend un premier pain à la viande il l'attrape vivement et lui arrache presque des mains, comme s'il se méfiait d'elle où cherchait à avoir le moins de contact possible avec ses doigts, ses yeux ne croisent presque jamais les siens et il force son regard loin, loin à l'horizon, s'oublier, mais surtout oublier qu'elle est là à ses cotés, à l'observer comme personne ne l'a plus regardé depuis... Depuis pratiquement une éternité hélas... Il mord sans ménagement dans son pain, et engouffre plus qu'il ne mange, quitte même à s'en mordre un de ses propres doigts jusqu'au sang, il ne bronchera pas mais se frottera ce doigt un moment avant de pester, et détourner à nouveau le plus possible la tête et les yeux d'elle.

Un autre pain se tend vers lui, et malgré le temps qu'il passe à regarder ailleurs, même si ses yeux sont définitivement rivé vers son coté du banc, vers l'extérieur, sa main attrape aveuglément cette nourriture, qu'il n'a pas méritée, qu'il n'a pourtant pas chassée, lui, p'tain... Lui être entretenu par une femme... Non... Une jeune femme... Une fille ? C'est tout son foutu monde qui se met tout à coup à l'envers, il saisit la brioche avec plus de délicatesse pourtant, il la sent se rapprocher, sur le banc, se rapprocher de sa position, il fait opposition à ce rapprochement en croisant les bras, et reportant l'une de ses jambes par dessus l'un de ses genoux, laissant son language corporel montrer des signes visuels de renfermement, d'isolation, où d'indépendance, pourtant une moue désapprobatrice avec sa propre attitude et ses sentiments mêlés, mélangés, se dessine sur ses lippes, s'en pinçant la commissure du bout de l'un de ses crocs pointus...

Le regard défaille à sa mission et l'inclinaison de sa tête aussi, lorsque deux autres "rebonds" de Jade seront opérés sur le banc dans sa direction, sentant définitivement sa hanche et le coté de sa cuisse rencontrer doucement le coté de la sienne, il sait qu'il pourrait... Qu'il pourrait lui faire tant de mal... Il aurait la force de la repousser violemment, il en a d'ailleurs très peur, car il ne comprend plus ce qu'il ressent à cet instant... Toujours de la colère par rapport à ce qui s'est passé ? De la jalousie... Beaucoup de jalousie... La rancoeur d'avoir eu l'impression qu'elle n'avait pas "assez" résisté à son goût, alors qu'elle n'aurait pas pu faire grand chose d'autre si ce n'est... Si ce n'est d'avoir oublié sa cape... Il s'en bouffe les griffes sous sa capuche et l'un de ses pieds à terre tapote nerveusement le sol alors qu'il décroise les jambes lorsqu'il sent son épaule glisser sur son torse.

Sa queue de tigre se déroule toute seule, semble t'il, sort de la cachette improvisée qu'est la jambe de son pantalon pour s'enrouler fermement autour de la taille de Jade et l'accompagner, dans sa progression vers lui... La faisant monter, si ce n'est s'échouer, assise entre ses braies de cuir, entre ses cuisses, et la laisser s'adosser entièrement sur lui, mordant dans cet énième brioche de viande qu'elle lui tend, mordant délicatement dans celle ci, même si son visage est encore partiellement fondu dans les ombres de sa capuche... Ses mains invitent ses genoux à s'écarter et glisser par dessus, les siens, l'asseyant comfortablement au creux de sa personne, la main qu'elle pose sur son ventre y laisse glisser le bout de ses griffes en petits cercles concentriques autour de son nombril, puisqu'il laisse Jade le nourrir, "payer" pour sa nourriture et l'amener de ses doigts, à sa bouche, sa main encore libre vient jouer avec les lacets de son corset et les serrer, les re-serrer les uns, après les autres, chaque niveau du bas au plus haut du corset se font, hmmmrr, resserrer, resserrer... Il ne sait si c'est par envie de petite "vengeance", où autre, mais il adore la perspective de sentir son pouls accéllérer, sa respiration être restreinte par le délicieux écrasement de sa poitrine, si injustement enfermée, comprimée dans le cuir de ce corset, dont les rondeurs provocatrices débordent par le décolleté...

Et il serre... Oh dieu qu'il serre petit à petit ces lacets en posant le pouce entre les noeuds pour les étirer d'avantage, mordant peu à peu dans la peau de sa poitrine étouffée, allant caresser sa joue, son duvet si fin, ses rayures douces et ses longues capoules léonides sur les coins du visage de jade, tout en laissant ses ronronnements nerveux faire frissonner sa peau...

"-Et je suis d'autant plus "désolé"... D'avoir à mon tour, bien du mal à me contrôler en ta présence... J'ai cent fois... Milles fois imaginé tuer ces humains quand ils ont touché ton corps..."


Sa queue de tigre remonte, audacieuse, sous le corset déjà pourtant si "serré" et passe entre les seins comprimés, les gratifiant de son duvet plus épais, avant qu'elle ne s'enroule fermement autour de ta gorge, une écharpe serrée jouant déjà, légèrement avec ta capacité respiratoire tout en laissant un mouvement perpétuel penser, qu'il ne s'agit là que d'une caresse, mais la pression progressive et presqu'imperceptible te rend déjà la respiration, un tout petit peu, plus compliquée puisque couplée à cet "étranglement" de la cage thoracique, de la poitrine avec le corset que tu portes...

"-Ces vêtements me rendent dingue... Je ne suis pas sûr qu'il soit bien indiqué de te promener comme ça autour de moi et d'autres hommes aussi légèrement vêtue... Rrregarde... contemples... ce qui t'arrives, encorrre..."

La main qui te caressais le nombril glisse doucement sur la peau de ton bas ventre, passe sur ta hanche, descends sur une cuisse qu'il contourne pour se retrouver, sous celle ci, et une fois arrivé au genoux ses griffes légèrement sorties glissent, graffignent la peau de l'arrière de ta jambe en remontant avec une patience indéchiffrable, jusqu'a l'une de tes fesses qu'il caresse, empoigne, pétris et malaxe d'une main ferme, se ré appropriant cet endroit profané quelques dizaines de minutes plus tôt.

"-Finalement... Je ne sais pas... Je ne sais plus... si je dois leur en vouloir de s'en être pris à toi dans cet acoutrement.. hmmmrrr ? Etait-ce vraiment... Un accident... hhhhrrr ?"

Dit il en lui soufflant ces mots à l'oreille, mordillant le lobe du bout de ses lippes roses, son entrejambe sévèrement enflée affichant déjà les proportions "punitives" de son organe bouillant soulevant un peu l'assise de sa "protégée" entre ses jambes, la main de Zarsh autrefois perdue sur ses fesses remontent le long du cuir de son corset pour "graffigner" et faire vibrer, intensément la matière du bout de gratouillements continus, par dessus le cuir serrant si fort, de façon presqu'irritante, la matière qui "vibre" des grattes précises du bout de ses griffes, la zone devinée où se trouve ses tétons, ses mamelons sous la bombure de ce "vêtement".



"-J'ai faim... J'ai toujours aussi faim... Encore plus faim même, que la première fois où tu m'as trouvé... Mais ce n'est pas... Ce n'est pas raisonnable, n'est ce pas ? Je me comportes comme une bête en rut en ta présence... Ne feras tu rien pour m'empêcher de festoyer à nouveau sur ta chair... Ne feras tu rien ?"

Il la repousse soudainement, la voyant très probablement "céder" à ses avances, il la repousse, déroules sa queue de tigre, la libères de ses jambes, presque avec une certaine... violence dans le geste, il aurait pu la faire tomber au sol, en fait, elle était bien partie pour aller s'écraser à terre et se faire très mal, mais tout était maîtrisé, et prévu d'avance... Il la retint au dernier moment par le poignet, saisissant quelques cordes de son corset pour la retenir et la ramène vers lui aussi "sec", elle reçoit une paire de gifle, un aller, et un retour, plus "choquant" et sonore, que véritablement douloureux, mais non... Non il ne peut pas la laisser y réfléchir, s'en blesser, s'en vexer, s'en offusquer, non il ne la laisse pas imaginer que ce pourrait être un geste d'une violence gratuite, irréfléchie, c'est un geste d'une envie ardente rare qui est immédiatement poursuivi d'un profond et langoureux baiser, la ramenant à lui, contre lui, à genoux face au banc où il est toujours resté assis, épousant la musculature de sa personne, sa queue de tigre revient s'enrouler autour de son cou, et recommence à caresser perpétuellement sa gorge, se jouant de l'envergure de ses respirations par jeu différentiel de pression, qu'il exerce à volonté, ses mains caressent ses joues encore un peu chaudes de ce revers de claques et offrent un réconfort qui contraste tellement avec ce geste précédent.

Agrippant son visage il l'embrasse, l'embrasse sous les ténèbres de sa capuche, son regard d'une rare intensité plonges, incise sa pupille des siennes, tranchantes comme des foutus rasoirs, perçantes comme la pointe d'une flèche, il plisse du bon et intense plaisir à sentir, la différence de chaleur entre la bouche chaude de Jade et la sienne, beaucoup plus fraîche, c'est un très long baiser, durant lequel ses talons iront "frapper" sur l'intérieur de ses pieds pour écarter légèrement ses jambes, il appréciera l'effet de surprise, mais surtout, l'imprévisibilité de sa réaction qui vient sans doute de faire "sursauter" et rater un battement, au coeur de Jade, belle petite gazelle, proie dont le coeur s'emballe, et çe ne fait qu'intensifier son désir pour elle, il libère enfin ses lèvres après un temps, un long temps à profiter de sa jolie petite bouche, ses mains, ses griffes sortant et se rétractant autour du visage de Jade avec une nervosité rarement observée chez lui...

"-Ces choses... Ces choses que j'ai envie de te faire... Jade... Oh Jade... C'en serait presque... Presque destructeur... Arrêtes moi..."
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MessageSujet: Re: Les Rues Marchandes   Les Rues Marchandes Icon_minitimeDim 16 Juin - 22:30

Agréablement surprise d'abord que de lui-même il m'emmène jusqu'à ses genoux, je laissais un sourire étirer mes lèvres, osant même le regarder et le remercier silencieusement de cette attention dont jusque là il n'avait pas fait preuve. M'installant confortablement contre lui sans toutefois me permettre plus, je poussais un léger soupir de contentement alors que ses doigts, ses griffes s'amusent à tourner autour de mon nombril, faisant naître quelques frissons qui remonteront le long de ma peau pour se perdre par ci ou par là... J'en fermais même les yeux. A ce moment là, je me sentais étrangement bien comme perdue entre ses bras mais tellement, oui, tellement bien, j'aurais presque voulue me fondre en lui, j'étais comme en paix, du moins jusqu'à ce que je sente comme un étau se resserrer sur moi.


N'y faisant pas plus attention au début, je me disais que peut-être j'hallucinais ou peut-être me laissais-je emporter par l'instant, peut-être était-ce le désir qui a nouveau montait en moi et me faisais tant souffrir pour ne pas laisser libre cours à cet élan de passion, peut-être était-ce cela, enfin, quand j'eus baissé les yeux, je compris que quelque part j'avais sans doute raison mais non, ce n'était pas mon désir qui débordait et me «punissait» c'était sans doute le sien qui petit à petit, remontant le long de mon corset resserrer encore et encore ces lacets qui étaient pourtant déjà plutôt bien serré autour de moi, je grimaçais légèrement alors que respirer devenait plus difficile.


A cet instant là, j'avais beau avoir la respiration de plus en plus courte, je ne paniquais pas non, je lui faisais entièrement confiance même si cela ne faisait que peu de temps que nous nous connaissions, je ne savais pas ce qu'il avait l'intention de faire, pas le moins du monde, non, et pourtant je ne réagissais pas, resserrant, crispant simplement les doigts sur mon ventre qui se soulevait au fur et à mesure de mes respirations de plus en plus rapide, je penchais légèrement la tête vers l'arrière, cherchais son regard et finalement fermais les yeux tandis que le lacet du haut venait de se resserrer à son tour.


Je pu alors sentir son souffle proche du mien, si proche et quand il prit la parole, je compris qu'il avait été comme frustré, vexé peut-être même jaloux quelque part, du moins je me rendais compte que ces gestes étaient guidés par le sentiment qu'il ressentait depuis que nous avions quitté l'auberge, je comprenais soudain bien mieux ce «débordement» et venais même à l'apprécier à ma façon, laissant un léger couinement m'échapper malgré tout. Je lui jetais un regard, non pas un regard qui semblerait dire que je voulais qu'il arrête, au contraire, dans mon regard brillait cette étrange petite lueur qui n'en réclamait que d'avantage.


Mais ce n'était pas, je le savais parfaitement, partit comme ca l'était, ca ne pouvait s'arrêter là, non, ca ne devait pas s'arrêter maintenant! Je baissais encore les yeux et laissais un léger sourire venir jouer sur mes lèvres tandis que sa queue de tigre venait se glisser entre mes seins, se frayant un chemin sous mon corset pourtant déjà bien serré, comme il en avait l'habitude, il l'enroula autour de mon cou, jouant un peu plus encore avec ma capacité respiratoire, je me mordillais la lèvre inférieur par moment, grimaçais et puis gémissais alors qu'elle serrait un peu plus fort encore. A l'entendre c'était ma tenue qui provoquait tout cela et peut-être, non sans doute avait-il raison puisqu'après tout d'autres hommes avaient eux aussi été charmés par ces vêtements, je baissais ensuite les yeux, suivant sa main du regard et sous son passage naissait d'étranges frissons dont je n'aurais sans doute pas pu expliquer la venue.


J'étais là, assise tout contre lui et lui il profitait, s'amusait des faiblesses qu'il me trouvait et pourtant je ne disais rien, ne l'empêcher pas de quoi que se soit, au contraire, peut-être mes quelques gémissements ou couinements l’entraînaient un peu plus dans cette voie, je n'en savais rien et c'est vrai que l'image de laquelle nous donnions pouvait être incomprise par beaucoup d'autres, mais il n'empêche que jamais je n'aurais pu faire autrement que de dire, d'avouer que là oui, entre ses bras j'aimais être prise de cette façon, j'appréciais d'être «dominé» ainsi par lui. Alors que d'autres y auraient vu une humiliation, moi je ne voyais qu'un débordement de désir et quelque part ca m'enchantait, ca signifiait beaucoup pour moi, notamment que je lui plaisais encore et ca, ca c'était plus important que n'importe qui ou n'importe quoi...


Je suivais donc sa main du regard, frissonnante et ondulant légèrement au fur et à mesure qu'il glissait sur mon corps. J'en frémissais, me mordillant la lèvre inférieur tant le plaisir de sentir ses doigts se balader ainsi sur moi était grand, je suivais ses moindres faits et gestes des yeux, impatiente déjà de voir le prochain mouvement ou la prochaine caresse à mon attention. Je souriais de plus belle en voyant sa main se diriger vers l'une de mes fesses et en le sentant s'amuser à l'empoigner et à la malaxer, je comprenais que quelque part il avait probablement réellement été blessé de ce qui c'était passé un peu plus tôt et ca me touchait oui, vraiment. Cette idée ne fit que se renforcer quand à nouveau il prit la parole et je lui jetais alors un regard, le laissant voir à quel point il pouvait asseoir sa domination sur moi.


Et ce n'était pas tout non, il y avait son sexe qui déjà en réclamait je le sentais sous moi et j'en frémissais d'avantage, ravie d'exercer de tels effets sur lui, j'étais plus que surprise d'ailleurs mais loin de moi l'envie de m'en plaindre, au contraire, après tout, n'était ce pas ce que je cherchais depuis le début, depuis que nous nous étions rencontré lui et moi? Je fermais les yeux en sentant ses lèvres se refermer sur le lobe de mon oreille, j'entrouvrais mes propres lèvres cependant, aucun son ne les franchit, j'étais soudainement perdue dans le désir et le plaisir qui pouvait m'envahir tandis que ses griffes s'amusaient déjà à me titiller par dessus mon corset, cette fois un gémissement s'en échappa, gémissement qui se perdit bien vite à la fin de ses mots quand il me repoussa si subitement.


J'en écarquillais les yeux, surprise de cette violence soudaine. Je me voyais déjà m'écraser par terre et me relever tant bien que mal en gémissant et en me plaignant des petites blessures qu'auraient pu provoquer cette chute, mais non, je ne tombais pas, du moins je ne tombais plus, j'étais surprise à nouveau et je le fus encore plus aux deux gifles qui suivirent, écarquillant à nouveau les yeux et venant même porter ma main à l'une de mes joues. Je alors les yeux, cherchant à comprendre ce soudain geste auquel, non, décidément, je ne m'étais vraiment pas attendu, j'allais chercher une réponse dans son regard et au final, je l'eus mais dans un baiser. Un baiser si profond et langoureux que tout les doutes que j'avais pu avoir un peu plus tôt s'envolèrent, ne laissant qu'une certitude, celle que je ressentais de terribles choses pour lui, des choses vraiment fortes, puissantes au point que je me demandais si jamais j'arriverais à vivre avec ce sentiment, ce désir et cette envie permanente, ce besoin de le sentir tout contre moi, cette volonté de ne plus jamais le lâcher, ce désir d'être sienne, bref, je ressentais soudain la profondeur de toutes ces émotions et alors que sa queue de tigre exerçait de nouveau quelques pressions sur ma gorge, je me sentais comme étouffer sous cette avalanche.


Ses mains sur mes joues, ses lèvres contre les miennes et son corps si proche du mien, tout cela me rendait folle, folle oui, j'étais dingue de lui, il devenait soudain mon oxygène, le seul moyen pour moi de vivre. Je ne fermais pas les yeux, non, je le regardais, plongeais mon regard qui devait être chargé de tout ce que je ressentais dans le sien, je lui rendais son baiser éperdument comme si c'était le premier et le dernier pour les siècles à venir. Ses lèvres avaient beau être bien plus fraîches que les miennes, je n'en avais cure, ce baiser je le voulais et j'en avais besoin, aussi, lorsqu'il y mit fin, une petite voix en moi se disait «déjà?» et «un autre!», ce que j'allais faire quand je l'entendis prendre la parole pour la énième fois de la journée et ces mots... Ces mots me firent frissonner, bien plus que l'on venait de me plonger dans un bain d'eau glacé.


Je sentis une larme couler, puis une autre alors que je m'avançais vers lui, venais enrouler mes bras autour de son cou et me redresser pour venir m'asseoir sur lui, une jambe de chaque côté de son bassin, me relevant un peu plus pour donner l'impression d'être légèrement plus grande que lui, j'attrapais alors les bords de sa capuche et la lui baissais lentement, tout en plongeant mon regard dans le sien. A ce moment là, à part lui et moi, je ne voyais plus rien, il n'y avait plus rien à part nous deux. Posant mes deux mains sur ses joues, venant caresser ses rayures du pouce, je l'observais un moment, laissant mon regard voyager sur son visage, effleurant des yeux ses lèvres.

Zarsh... Je suis tienne et jamais je ne te repousserais... J'ai bien trop... bien trop... pour ca...

Glissant une main dans sa chevelure et l'autre cherchant à se frayer un chemin sous les différentes couches de vêtement qu'il portait, je me resserrais contre lui, prenant conscience du fait que ma respiration était encore plus accéléré. Lorsque ce nouveau baiser prit fin, mes lèvres glissèrent jusqu'à sa mâchoire que je parsemais de légers baisers.
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MessageSujet: Re: Les Rues Marchandes   Les Rues Marchandes Icon_minitimeLun 17 Juin - 19:38

Elle s'adonnait et s'abandonnait à cette "sauvagerie" au lieu de fuir elle revenait à la charge, semblant apprécier la fougue, la nervosité vibrant sous sa peau, le "chevauchant", cette fois, de face... Lui faisant face, ses fesses on ne peut plus en évidence et les jambes souplement écartées et enserrées autour de son propre bassin, le dépassant d'une semi tête, toujours... Toujours face à lui... Il aurait presqu'envie de recommencer à lui resserrer les lacets de son corsage pour parachever sa punition mais elle semblait l'accepter, l'accepter avec une grâce rare, et la volupté de sa poitrine débordant de toute part par le décolleté lui donnait de furieuses envies d'y poser ses lèvres, ce qu'il fait, ce qu'il fait immédiatement lorsqu'elle se présente de cette manière, il hésite encore un peu à laisser ses mains poursuivre la courbe de son dos jusqu'a ses fesses, lorsqu'elle...

Lorsqu'elle baisse sa capuche, doucement... Délicatement... Son unique protection contre ce "monde" et le regard des autres, la panique se lit un instant dans son regard qui couvre cette vieille ruelle, ce morceau de cité quasi abandonné, puis prend confiance... Prend de plus en plus confiance quand ses yeux se rivent dans les siens pendant que la chute de sa capuche dévoile à nouveau les traits de son visage et sa longue chevelure léonide aux yeux de Jade, il caresse sa joue contre sa main en ronronnant d'un certain plaisir, son assertivité à ses cotés grimpe, grimpe en flèche, elle le rend fier, fier d'être ce qu'il est à ses cotés, son regard n'éprouve jamais que le désir et l'envie pour lui, chose qu'il pensait devenue impossible de la part d'un autre être, quelques unes de ses cicatrices, de ses rayures sont choyées du bout de ses doigts, qui glissent si bien sur la soie de son duvet si fin, il en ferme les yeux et se laisse emporter par une douce danse induite par la caresse du revers des doigts de Jade sur son visage, se sentant moins "bête", mais "beau", "joli", désirable à ses yeux.

Elle n'avait pas fui ses ardeurs, pauvre petite idiote ♥ Elle les réclamait même... Et allait lui donner exactement ce qu'elle cherche et plus encore, il assaille sa gorge puis ses clavicules de baisers bien frais du bout de ses lèvres, descendant sur les rondeurs "enflées" de ses seins pressurisés, léchant leur surface avant d'y aposer des succions bien nets, visibles, rougis, il ne sortira pas pourtant sa poitrine ni ne soulagera son ventre et sa taille comprimées par ce corset, pièce de son acoutrement provocateur qu'elle gardera, coûte que coûte durant cette "séance" même s'il aurait adoré lui torturer la poitrine.

"-C'est donc ainsi... Que tu viens à moi... Que tu te proposes... Soit, ce sera exactement comme ça... Avec cette difficulté supplémentaire... que tu recevras la punition que tu mérites..."

GRrrmmrrrhh... Et la fessée ne tardera pas, ses doigts glissant sur la ligne de son dos en rejoignant ses fesses qu'il "claque" soudainement, en parcourt la rondeur, les détaille, les claque à nouveau, enroule sa queue de tigre autour de sa gorge, qui elle, "branles" son cou de haut, en bas, tentant de lui faire sortir sa langue et ça fonctionne par petites "strangulations" et coulissements sur sa gorge, sa magnifique petite langue sort de ses lèvres, qu'il attrape des siennes, tire, sort de sa bouche, l'astiquant avec sa propre langue, qui tournes, et tournes autour de son appendice qu'il tend, et aides encore à sortir en le suçant de ses lèvres, laissant de temps à autre ses dents acérées, pointues, "racler" chatouilleusement l'appendice buccal, mais sans jamais plus laisser ses lèvres entrer en contact, avec les siennes...

L'un de ses doigts finit par glisser depuis la chute de rein de Jade à son entrefesse, et gratouilles avec une dextérité rare, le pourtour d'une zone délicieusement "interdite" pour les bien pensants... Et il prend son temps ce beau salaud de tigre, il prend son temps, lisant le désir, l'envie, dans chacune des respirations, et des regards de Jade plongés dans le sien... Elle l'aime, et adorrres sentir ses vilaines paluches prendre un soin trrrès particulier d'elle, la griffe de son majeur lustre, brique, chatouilles terriblement cette zone dont il écarte le cuir pour atteindre cet endroit, un peu de salive et cette bonne petite chair plissée provoquera de doux sons humide de peau, de chair ventousant sa dernière phalange, il passe, et repasse, et repasse encore, encore et encore, encore encore, encore, sur le bel anneau de cet endroit, qu'il chatouille avec une patience et une lenteur, à la limite du pensable, de toutes perversions...

Alors que ces son salaces de peau et de chair touillée par son doigt s'élèvent dans les heures depuis quelques bonnes minutes, d'autres sons tout aussi humides ponctuent l'étrange "baiser" qui branles littéralement la langue sortie de Jade qui doit sans doute se sentir l'envie, d'entrouvrir un peu plus les lèvres et sortir sa langue, sa langue étirée, suçée, "grignottée" d'une manière si chatouilleuse par le bout de ses crocs, ah çaaa il compte bien en prrrofiter, en profiter longuement, il ne s'est jamais retrouvé dans une situation de ce genre, personne ne l'avait jamais aimé au premier regard avec une telle ferveur, une foi presque aveuglante, il se sentait être tout pour elle, son lion, son "maître", son dieu, et putain qu'il adorrrrait çah ♥ Qu'il adorait qu'elle se donne toute entière à ses vices malgré qu'elle soit consciente des risques ♥

Et ça continue, hawrrr ♥ une de ses mains passe sous son bassin, et grrrattes elle le cuir qui se trouve face à ses lèvres charnelles, tandis que l'autre continue ses passages répétés, cette chatouille vicieuse, cette lente et troublante caresse, qui se termine parfois par l'insertion très douce et lente de son doigt entre ses fesses, laissant "frémir", couiner, déglutir cet endroit, pendant que sa bouche, sa langue continuent inlassablement leur savoureux travail de sappe sur la langue tendue, qu'il suçe, suçe suçe et re-suçe, léche, racles et rapes de ses dents où sa langue, sa verge atteint les proportions déraisonnables de sa surexcitation, bouillant, s'échauffant depuis de longues minutes sous les cuirs de son pantalon, enfermée là dedans, Soulevant encore ci et là l'assise de Jade lorsqu'une pulsion sanguine la parcourt et l'enfle...

Les cuirs du sous vêtement de jade, sous sa jupe sont si trempés qu'ils n'épargnent plus rien des aspérités où de la forme générale de sa verge, pulsant et se frottant, de temps à autre selon les mouvements du bas ventre de Zarsh contre le sien, et si ce n'était que ça... Mais ses griffes continuent de passer, et repasser sur ce bon cuir trempé, que ça soit tout contre son sexe où cette autre zone vicieusement "interdite", ses griffes prennent un malin plaisir à irriter le cuir qui se trouve face à ses zones intimes, parvenant même à enfoncer la matière dans ces zones de plaisir avec une partie de ses griffes, où doigts, et touilles "bon" la plasticité, l'élasticité du cuir distendu sur ces chairs humides, sa langue tournes, elle, avec une patience rare autour de celle de Jade, langue dont il semble rafoler comme s'il léchait la plus précieuse et "fragile", oui, fragile des glaces, lui accordant bien des louanges caressées du bout où de l'entiereté de sa langue, et le comble du comble, son visage s'incline, effectue de légères rotations en tout sens, de façon souple et précise pour que ses lippes astiquent et passent, de long, en large sur son appendice buccal tendu à force de le "travailler" et aspire toute la longueur de sa langue sans jamais toucher ses lèvres, transformant pratiquement cet organe buccal en zone érogène, presqu'érectile tant elle est tendue vers l'avant et "branlée" à son tour, il reste ainsi... AhmRrrr... Il reste ainsi à profiter du contact de son corps contre le sien, de ce "glaçon" cette langue qu'il use, qu'il fait fondre, autour de laquelle ses respirations fraîches s'étendent longuement autour des lèvres de Jade...

"-Je crois que le bourreau à bien du mal à punir trop sévèrement la vilaine petite elfe que vous êtes... En plus de céder... Céder si facilement à votre charme... Comment faites vous pour toujours me mettre si facilement dans cet état... "
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MessageSujet: Re: Les Rues Marchandes   Les Rues Marchandes Icon_minitimeLun 17 Juin - 22:18

Un léger sourire se mit à étirer mes lèvres au fur et à mesure que mon regard glissait sur son visage, il avait beau être différent, ne pas être, ne pas ressembler aux autres, il restait séduisant pour moi, ses yeux étaient étrangement fascinant comment dire, ses pupilles étaient celle d'un félin et pouvoir les voir d'aussi prêt, c'était une chance, et puis, il y avait ses rayures qui lui donnaient un air si majestueux jusqu'à ses lèvres qui elles-même semblaient m'appeler, qui, de leur simple vue m'attiraient tant. Ces cicatrices aussi... Elles ne faisaient qu'accentuer l'aspect sauvage de sa personne et c'était... Ce n'était vraiment pas «repoussant» mais plutôt «attirant» du moins de mon point de vue. Et puis, il y avait ce que je ressentais pour lui, ces émotions, ces sensations...


Oui, c'est ça, c'était de cela dont je parlais... Il n'y avait qu'à ses attentions à lui que je frissonnais tant. Je fermais les yeux et poussais un soupir tandis que ma main posé sur sa nuque suivait les mouvements de son visage, penchant d'abord légèrement la tête vers l'arrière puis papillonnant des cils alors que ses lèvres descendaient jusqu'à mon décolleté, laissant ma poitrine frémir si brusquement au contact si frais de ses lèvres, faisant en sorte qu'une chair de poule recouvre ma peau et ce n'était pas tout non, je la sentais se faire aspirer entre ses lèvres puis revenir rougie, je me mordillais alors la lèvre inférieur, sentant mes doigts se crisper dans sa chevelure.


Doigts qui se crispèrent un peu plus à ses mots. Malgré cela, malgré cette tension qu'il y avait, je laissais un léger sourire jouer sur mes lèvres, je comprenais qu'il venait de céder face à ses envies et pour moi c'était plus qu'agréable de l'entendre, après tout, n'attendais-je pas ce moment depuis la veille au soir déjà? Depuis cet instant où il s'était libéré en moi sous son autre forme, cette forme de «chaton» qu'il pouvait, enfin, qu'il adoptait lorsqu'il était à bout de force? Depuis, oui, depuis que nos ébats s'étaient terminés ce soir là, à peine avions nous eu finis que j'aurais pu m'offrir à lui encore, et sans doute était ce que j'aurais fais si cette autre forme n'était pas plus fragile que l'autre. Je me rendais compte maintenant et la vérité me donnait des frissons, une myriades de long et violents frissons, des frissons de ceux qui naissent dans votre nuque et qui descendent, se propagent dans votre dos jusqu'à s'éteindre dans le creux de vos reins et vous offrir quelques fourmillement, des papillons dans le ventre et qui, enfin, vous chauffe agréablement le bas-ventre.


Ce frisson qui venait de naître en moi, il suivit le parcours de ses doigts qui descendaient peu à peu dans mon dos, s'éloignant et s'éteignant alors que sa main claquait sur l'une de mes fesses avant de s'en emparer et de la claquer encore. Je n'étais nullement surprise cette fois par son comportement et je me contentais de glisser mon visage dans son cou alors qu'il s'amusait avec moi, visage qui se redressera et viendra se placer face au sien quand sa queue de tigre qui s'enroule et appuie de légères pressions autour de mon cou, me laissant le temps de lâcher un faible gémissement entre deux, gémissement qui bientôt sera étouffé de par ma langue qui peu à peu quitte mes lèvres, qu'il tend et s'amuse à jouer avec, la dévorant avec la sienne, me faisant languir encore plus quant au sort qu'il me réservait, parfois je croisais son regard et pourtant non, je n'arrivais pas à deviner ce qu'il avait en tête exactement.


Du moins jusqu'à ce que l'un de ses doigts se glisse un chemin jusqu'à mon entrefesse, je tressaillais presque à son contact mais poussais un autre soupir, soupir qui offrait un étrange contraste avec mon cœur dont le rythme s'était soudainement affolé, lui qui pulsait plus fort et plus vite dans ma poitrine, lui qui rendait la respiration plus courte et plus difficile encore qu'avant, comme si c'était encore nécessaire, il battait si puissamment tout d'un coup que j'avais l'impression que certains battements n'y étaient pas ou alors sans doute ne les entendais-je pas, recouvert par les gémissements qui s'échappaient de mes lèvres au fur et à mesure que son majeur me découvrait. Je n'en savais foutrement rien et bon sang ce que je m'en fichais à cet instant, appréciant et profitant de ses caresses, je gémissais, croisais son regard et gémissais de plus bel.


Alors que son doigt continue de s'amuser, je me cambrais, marque-boutais et crispais mes mains sur ses bras, les tenant fermement, relâchant par la suite cette emprise pour laisser mes doigts glisser le long de ses avant-bras, remonter jusqu'à ses épaules, glissant sous ses couches de vêtements, que je caressais, effleurais avant de finalement descendre dans son dos tandis que je me collais un peu plus à lui encore d'un mouvement brusque venant probablement écraser ma poitrine contre son torse alors que son autre main se frayait un chemin cette fois jusqu'à mon intimité pourtant encore recouverte de cuir mais qui «tremblait» de le sentir si proche, tremblait et frissonnait encore et... Bon sang! Mais comment faisait-il? Mais quel pouvoir exerçait-il sur elle pour la faire autant réagir, pour la faire frémir et gémir à chacun de ses contacts?


Et quand elle ne gémissait pas, elle soupirais à la fois de désir et de plaisir, se plaisant à se répéter encore et encore que si elle pouvait sentir son sexe sous elle, déjà enflé et gorgée d'envie, c'était grâce à elle, grâce à cette attraction qu'elle avait sur lui, c'était étrange vraiment, elle qui se croyait perdue devant son regard, éperdue devant lui, lui ressentait cette attraction autrement et bien qu'ils ne s'étaient pas concertés avant, ils auraient facilement pu dire la même chose l'un de l'autre. Elle gémissait, et ondulais, lentement contre sa verge qui déformait l'apparence de son pantalon et c'était sa faute si elle se sentait si excité si soudainement, sa faute si elle était déjà si «humide» mais après tout, elle ne pouvait renier qu'elle avait aussi participé à cette passion.



Cette passion qui grandissait encore, et pour preuve, voilà maintenant que ses doigts s'aventuraient un peu plus loin encore, s'enfonçant parfois dans ses zones si charnelles et si sensibles, elle se crispe, gémit et gémit encore, soupire et frissonne avant de lui répondre par un simple regard, regard dans lequel elle chargera tout ce qu'elle ressent, cet amour qu'elle éprouve pour lui, ce désir et cette volonté de rester au près de lui et surtout, ce plaisir bien grand déjà pourtant qu'elle ressent. Et surtout, surtout, oui, cette passion qui la brûle et la consume un peu plus chaque jour, à chaque contact qu'elle peut avoir avec lui.
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Zarsh

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MessageSujet: Re: Les Rues Marchandes   Les Rues Marchandes Icon_minitimeMar 18 Juin - 19:56

Offerte... Comme lors de leur rencontre au lac... AWwMRrr... Elle s'offre.... S'abandonne à son désir, à ses vices... Est elle seulement sûre que cette fois ce soit, une bonne idée... Elle à elle même refermé ce piège sur elle, le receuillant, le soignant et le nourissant... S'il arrivait encore à réfléchir au contact de sa chair si frrraîche... S'il arrivait encore... encore à penser en fondant son regard bleu d'argent d'une intensité rare, fendu par ses pupilles en amende plongées, noyées dans le regard plissé de désir de Jade... Il penserait sans doute... Sans doute penserait il qu'elle n'attends que celà... Que chaque seconde passée à vivre, à l'observer, à respirer... Ne fait que la subjuguer un peu plus, l'hypnotiser du reflet d'argent du fond de son regard, comme un sort opérant sur elle, la laissant se perdre sur la surface miroitante d'un glacier reflettant la lueur d'une lune à l'aura argentée... Elle à beau gémir, haleter, tirer la langue... Il ne s'arrêtera pas...

Il ne s'arrêtera pas de lècher et pourlécher sa langue, y ajoutant même la fine caresse du bout de ses dents acérées qui se referment délicatement sur le bout le plus épais de sa langue, le plus proche de ses lèvres et rrrrecule, graffignes de leur délicate pression sa langue tendue, le bout pointu de ses crocs ne la blessant jamais mais, la chatouillant de tous les cotés de cette langue jusqu'a ce que le bout de cette dernière se fasse achever par le bout de ses lèvres une fois l'affriolante "gratte" du bout de ses cros terminée... Et il alterne ainsi... Entre quasi embrassades de sa langue, longues et patientes en reculant peu à peu ses lèvres sur cette magnifique petite chose, et tournoiements rapides de sa langue sur la sienne, insistant parfois au dessus, puis au dessous, et s'il arrive qu'il ait envie de se jeter sur ses lèvres, ça ne sera qu'une... à la fois... Celle du bas surtout, grignotée et tirée gentiment entre ses dents, avant de revenir inlassablement à l'assaut de sa langue bien tirée, qu'elle semble désormais offrir et pousser hors de sa bouche elle même pour lui laisser encore plus de matière à "supplicier".

Pendant ce temps son majeur humidifié à trouvé refuge sous le cuir trempé, et coulisse en petits cercles concentriques sur le pourtour de son joli petit anneau, polissant et chatouillant la peau de cet endroit du bout d'une griffe drrrôlement experte, la poussant parfois contre cette partie secrète, s'y introduisant très... très doucement... Comme si à nouveau il prenait le temps, un temps calculé... Pour profiter non seulement de ses regards éperdus dans le sien, de ses respirations qu'il inspire à son tour comme elle doit inspirer les siennes, rrrauques et granuleuses à souhait entre leurs bouches, elle aime ce qu'il est... Si elle aime tant ce qu'il est elle va le lui accorder, AAaahmMRrr sans plus aucun répit ni aucune grâce, il lui sera inutile de supplier pour l'arrêter... Elle cherche... Cherche à laisser sortir ses pulsions, sa "bête" intérieure, sans doute n'est elle pas tout à fait consciente que cette fois "il" est en pleine possession de ses moyens... Qu'elle risque bien de se retrouver face à un démon d'une luxure rarement insatiable, Où l'est elle... Tout indique qu'elle à envie de prendre, ce risque... A t'elle seulement idée... Si le tigrélion qu'il est possède une âme pluricentenaire son "démon" intérieur, lui, est sans doute "frustré" depuis au moins une bonne paires de millénaires... Ils n'en était encore... Au point de vue de son "démon"... qu'aux préliminaires la dernière fois qu'ils furent interrompus ensembles...

Cette fois c'était différent... Cette fois elle l'avait entretenu, nourri, provoqué à plusieurs reprises, cherché à le rendre maladivement jaloux, à faire bouillir son sang de sentiments contradictoire... "-Oooh Toi... Si tu savais... Tu prendrais tes jambes tremblantes de désir, si faibles... si faibles contre moi, entre mes doigts, entrrre mes bras et tu t'échaperais sans te retourner... Mais tu sais... Tu sais n'est ce pas ? "

Bien sûr qu'elle doit... Bien évidemment, qu'elle se doute, qu'elle sait... Au vu de l'excitation épouvantable dans laquelle elle le met, sans lui donner la claque, la gifle, le repousser sans doute comme il le mériterait à lui titiller ce vil petit endroit avec tant de malice dans ses regards, et ses sourires esquissés sur ses lèvres entre chaque foutu divins passages de ses dents où sa langue sur la sienne, Frottant la monstruosité aussi grosse que l'une de ses puissantes cuisses contre le cuir de son entrejambe, qui tous deux, suintant de chaleur n'épargnaient plus rien de leurs formes distinctes sous la matière, il papillonne des paupières en inclinant sa tête vers l'arrière lorsqu'elle lui graffignes sa chevelure hirsute, que ses doigts se mêlent à sa toison noire et blanche, qu'elle trace et définit ses rayures, il en profite pour incliner légèrement la tête sur le coté et lui attraper la tranche de la main du bout de ses crocs, laissant glisser la peau de sa main, de ses doigts entre ses dents, entre ses deux canines qui s'allongent et lui donne cette allure légèrement "vampirique", s'amusant d'être capable à ce stade, de les sortir, où les rétracter...

La créature se mélange peu à peu au psyché de Zarsh et le rend bien plus "possessif" encore dans son étreinte, enfonçant son majeur jusqu'à la dernière phalange entre les rondeurs charnelles des fesses magnifiques de sa douce petite proie, le reste des doigts de cette main, dont les griffes sont à peine sorties prenent leur pied à passer et repasser sur la peau lisse de sa raie et remonte en s'écartant sur ses fesses qu'il "empoigne" du pouce et des autres doigts de cette main vicieuse, qui cette fois laisse lentement aller et venir son majeur dans la fraîcheur charnelle de son postérieur, provoquant de magnifiques son humides de chair et de peau trempée ventousant son doigt à chaque allée, où venue...

Ah ces sons qui s'élevaient dans les airs en plus du vice de l'acte en lui même, sentant ses épaisses phalanges être pratiquement "aspirées", embrassée par cet orifice laissaient tourner des songes et des envies bien primaires, dominatrices dans le crâne de ce vilain tigre, de ce grand salaud de Lion... Et à chacune de ses allées venues bien sonores et salaces, ses lèvres se rapprochaient de celles de Jade qui gémissait à chacune d'elles, accompagnant chacun, chaaacun de ses gémissements d'un "HRrrr" "HRRrrr" qui s'éteignait souvent de son souffle rauque sur les lèvres entrouvertes de Jade, entre deux "ronronnements" plus marqués de cette manière sa langue soulignait parfois la lèvre inférieure de sa suppliciée, ses yeux plissés, semi clos, voyageant de haut, en bas du visage de Jade pour ne rien, abssssolument rien rater des émotions qui peuvent s'y lire, il lui plait tant, tant de la voir céder à un traitement aussi précis, fin, d'une délicatesse et un raffinement rare du bout de ses griffes expertes, savvament utilisées, Il respirait toutes, toutes ses intonations de voix, toutes ses expirations, suivant toujours son visage avec le sien, décrochant rarement  d'elle, par de souples impulsions de la nuque rendant ses suivis de lèvres impossibles à esquiver...

Sous le passage de ses doigts son ses vêtements il laisse rouler sa musculature particulière, bien bombée par endroit, plus lisse et courbe à d'autre, saillante et prononcée, bon dieu qu'il à chaud là dessous, ça glisse... ça glisse si bien sous ses doigts qui, auraient bien du mal à trouver grippe si ce n'est sur les surfaces un peu plus grandes de ses pectoraux, ondulant à son tour de ses rayures contre son corps, entre ses doigts, chavirant du bassin pour frotter, presser fermement les proportions outrageuses, scandaleuses, de son mat de chair qui oblige le cuir déjà, à épouser la forme de sa vulve mais écrase, écartelle et grappelles de ses grappes de chair le bon cuir de son sous vêtement... Il lui arrive de se laisser aller au massage de ses doigts sur son ventre, ses épaules et son torse, de fermer les yeux et respirer profondément, looonguement et bien à fond, laissant rouler les cables de sa musculature de panthère sous ses mains et la décontracter pour la laisser libre de la "pétrir" lorsqu'elle est plus assouplie lorsqu'il la relache complétement.

Mais lorsqu'il rouvrira bien grand les yeux il poussera sur ses épaules avec une force qui ne souffre que difficillement la réplique, la laissant glisser sur son corps jusqu'a ce qu'elle se retrouve, comme tout à l'heure, à genoux entre ses jambes, et au lieu de déserrer les différentes ceintures qui pourraient détacher son pantalon il les reserre, reserre au point d'en être "gainé" dans le cuir de ce dernier à son tour, au point où la musculature de ses cuisses se fait légèrement "mordre" par les lacérations entrouvertes autour de ses jambes de pantalon, ressemblant à des rayures "blanches" sur son pantalon de cuir noir, il reserrera ainsi plusieurs ceintures laissant ainsi le cuir épouser presque parfaitement les courbes athlétiques de ses muscles, et de bien d'autres choses, désormais dressé au dessus d'elle, agenouillée face à lui... Il se tâte quelques secondes avant que ses propres griffes ne parcourent le cuir de ses genoux, aux redoutable formes et encablures larges, épaisses de ses cuisses intérieures, imprimant le passage de ses griffes d'un sillon sur le cuir...

...Avant de soudainement refermer l'étau de ses cuisses autour de son si joli visage, la prenant en "grippe" là dessous, serrée, formidablement serrée dans l'étau de chair tendues et musclées de ses cuisses, force spectaculaire dans ses jambes qui, elle le ressent probablement bien, pourrait lui broyer la nuque sans grand effort, ses griffes viennent attraper sa tête, caressent sa chevelure pour l'amener à relever le visage, et les yeux vers lui, alors qu'il ne cesse d'onduler la musculature de ses hanches et son ventre comme s'il dansait pour elle, pour le plus grand plaisir de son regard perdu sur ces zones intimes, si elle l'aime tel qu'il est elle n'aura, aucune objection à ce qu'il s'amuse de son excitation, la fasse patiemment languir, comme un félin se jouerait de sa proie... Ainsi possédée entre ses cuisses son dos s'en trouve légèrement arqué, potentiellement toujours en "déséquilibre" sur ses appuis précaires, ce qui accentue la sensation d'être à sa "merci", sous son pouvoir, mais ce n'est pas tout à fait celà qu'il aime dans cette nouvelle "position", et elle va bientôt le découvrir à ses "dépends".

Outre le fait qu'il lui masse les joues entre ses cuisses qui "jouent" de leurs muscles sur son visage, qu'il lui maintient bien le visage, elle se trouve à quelques centimètres à peine de ses bourses bien rondes, pleines qui, elles aussi se trouvent "moulées" et serrées par le cuir, ne laissant à la surface et à son regard qu'une surface bien ronde, il détache simplement le bouton du haut, affichant ce qui sera probablement le plus beau rebond pubien qu'il lui ait été donné d'observer sous cet angle, un volume arrondi et prononcé qui n'a de raison que l'épaisseur noueuse de sa verge, qui, autrefois "blessée" par la haine de son père envers ce qu'il est, s'est surdéveloppée à une période où ses dons de régénérations étaient autant en effervescence que ne pouvait l'être le rythme de sa croissance...

Bref, son regard ne cesse de plonger sur celui de Jade, captive de ses cuisses, bientôt s'y ajoutera inévitablement sa queue de tigre qui s'assurera qu'elle se maintienne bien là dessous et ne progresse "pas" d'elle même vers ces formes, même si il lui arrivait, où arrivera d'en crever d'envie, il en profite pour passer son index et son majeur de chaque coté de ce beau "rebond" sur lequel une toison légèrement rayée orne et souligne sa rondeur exceptionnelle, et l'englobe, le caresse, le grattouille et le masse quelques dizaines de seconde tout en continuant d'onduler félinement, ses doigts plongeant... Plongeant peu à peu dans l'entrouverture de son pantalon, glissant... glissant bas... la forme de ses phalanges se fait visible par dessous le cuir et attrape la base de sa verge qu'il tire doucement... Doucement vers le haut...

Elle peut sentir sa forme glisser contre sa joue au fur et à mesure qu'il la tire, raffermissant l'étreinte de ses cuisses lorsqu'elle "passe" entièrement, son véritable "monstre" enfin libéré du carcan bouillant de ses braies "fûme" littéralement d'une aura ondulant autour de son organe, est il encore utile de préciser qu'un sang vicié par des siècles d'abstinence pulse à travers les épaisses veines de force qui slaloment autour des grappes de chair qui la recouvrent ? La verge est aussi longue qu'épouvantablement "ventrue", épaisse, et se dresse au dessus du visage de Jade forcée d'admirer le spectacle sans pour autant être autorisée à "toucher" quoi que ce soit, "paralysée" entre ses cuisses, et sa queue de tigre qui l'enserre autour du cou par deux, où trois tours... Et il restera... Quelques instants, juste comme ça, la verge libérée, ses bourses toujours emballonées et lissées dans le cuir, sa queue lui faisant de l'ombre, il se la caresse à deux mains, à deux de ses énormes paluches et il faut bien ça, semble t'il pour soutenir et caresser cette énorme et pesante chose...

Oui... Oui il bouge les hanches en rythme avec la lenteur de caresses qui laissent s'imprimer profondément ses phalanges dans la chair mi molle, mi excitée de l'organe, qu'il masturbe au dessus d'elle, murmurant son nom entre ses lèvres pincées, "Jade..." ronronne-t'il... "Oh Jaaade..." continue t'il en "dansant" lentement au dessus d'elle, ses doigts se perdant entre caresses épousant si bien le corps brun et épais du bon cuir poli de son énorme cierge, ses yeux se ferment et son corps se cambre, accéllérant très légèrement la cadence, lançant parfois ses hanches vers l'avant où l'arrière pendant qu'il se "branle" littéralement au dessus d'elle, forcée d'être spectatrice de sa perdition, de temps à autre il était possible que ses lèvres rencontrent le cuir bien tendu et lisse qui recouvre ses bourses, se laissant être un magnifique démon tentateur pour sa déesse, plissant parfois un regard plus que suggestif à sa proie, s'en léchant le contour des lèvres avant que quelques unes de ses propres respirations chaudes ne s'élève dans les airs, en petites nuées visibles, il groules, ronronnes, tournoies les hanches et les cuisses sur son visage prisonnier, s'impatientant d'une quelconque réaction de sa part, un mot, une insulte même, un coup qui sait ? Lui rêvait qu'elle lui en demande et en redemande encore d'avantage...
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MessageSujet: Re: Les Rues Marchandes   Les Rues Marchandes Icon_minitimeMer 19 Juin - 16:16

Jade était tellement... Tellement excité par l'instant qu'il lui arrivait de grogner de mécontentement, surtout quand il s'approchait tant, quand il venait à attraper sa lèvre inférieur entre ses dents, quand il la faisait rouler ainsi et qu'il l'observait de son regard ardent, bon Dieu ce qu'elle aurait donné à ce moment là pour qu'il l'embrasse, pour qu'il l'attrape et l'enferme dans son étreinte, étreinte dont lui seul avait le secret! Elle était à l’affût, à l’affût de chaque baiser que peut-être il concéderait à lui accorder mais chaque fois non, il s'éloignait de nouveau, se contentant de tirer sa langue hors de ses lèvres un peu plus. Il cherchait vraiment à la faire languir et ca marchait, ca marchait parfaitement bien, tellement bien qu'elle se tortillait parfois, cherchant à s'approcher un peu plus pour happer ses lèvres et lui voler ce baiser tant attendu mais c'était peine perdue, il jouait avec elle, elle le savait et après tout, elle ne pouvait pas lui en vouloir, c'était elle qui l'avait cherché non? N'était-ce pas elle qui cherchait à le provoquer et ce dès le départ? Dès qu'elle avait aperçu ses rayures qui dansaient sur son corps à chacun de ses mouvements, elle avait cherché à se rapprocher de lui et au final, elle en était même tombé amoureuse, tellement amoureuse qu'elle était prête à céder à chacun de ses caprices, lui offrant ainsi une telle importance dans sa vie qu'elle ne se voyait pas faire plus d'une heure sans lui.


C'était un fait, elle en était amoureuse, elle était folle de lui, dingue de lui et c'est pourquoi elle prenait son mal en patience, elle n'attendait qu'une chose, elle désirait par dessus tout pouvoir le sentir à nouveau se fondre en elle mais elle lui pardonnait toutes ces délicieuses tortures qu'il lui faisait souffrir pourquoi? Parce qu'elle l'aimait, encore une fois, cette phrase lui revenait et elle était probablement la réponse à toutes ses questions qu'elle se posait. Elle rougissait, rougissait de plus belle et gémissait alors que son doigts se glissait inexorablement sous ses sous-vêtements, venant lui chatouiller cet autre orifice avec lequel il aimait probablement s'amuser encore et encore, après tout ce n'était pas la première fois et même si au départ elle tressaillait, elle soupirait maintenant de plaisir, soupir qui disparut alors qu'elle haletait. Frissonnant brusquement alors que son doigt glissait jusqu'à s'enfoncer délicatement entre ses fesses, elle baissa un instant les yeux, plongeant son regard dans le sien alors que lui-même l'observait depuis un moment. Elle aspirait chacune de ses respirations, chacune de ses foutues expirations, comme elle aspirait, buvait chacun de ses mots, de ses paroles. Il était beaucoup pour elle, si ce n'est tout, elle qui avait perdue la mémoire avait enfin trouvé un point de repère, un «homme» à qui elle souhaitait dédier son existence, un «homme» qui pouvait la défendre, la protéger du monde extérieur qu'elle connaissait si peu et un «homme» qu'elle aimait plus que tout!

Il s'amusait, il s'amusait et elle le savait très bien, c'était probablement cet autre côté qu'elle avait entraperçu à plusieurs reprises qui prenait le dessus, cet autre côté plus grand encore et plus puissant que le Zarsh habituel qu'elle connaissait, cette forme qui lui arrivait de prendre quand tout les deux se donnaient l'un à l'autre, elle l'avait bien remarqué, il n'était pas comme les autres, elle s'en rendait parfaitement compte, en plus de son apparence si inhabituelle, elle comptait trois «formes», trois «apparences» plus ou moins différentes chez lui. Il y avait celle qu'elle voyait tous les jours, et puis son côté de simple petit chaton qu'elle adorait tout autant et enfin, enfin oui il y avait l'autre... Elle n'aurait su comment la nommer, mais elle était plus... imposante, elle dégageait une autre aura bien plus... mauvaise n'était pas tout à fait le mot juste mais elle ne voyait pas comment le décrire autrement et pourtant malgré ca, elle l'appréciait également, après tout, c'était une partie de Zarsh et elle l'aimait comme il était.

Probablement pense-t-il qu'elle ne sait pas ce qu'elle fait mais elle le sait parfaitement bien, elle sait qu'elle est partie pour de longues, longues et longues minutes d'attentes avant qu'enfin il ne se décide à la prendre, à la faire sienne, elle sait qu'il va jouer avec elle encore très longtemps avant de lui offrir ce qu'elle veut, elle le sait et s'en mordrait presque la lèvre inférieur à sang tant cette idée fait monter en elle une envie sourde de s'imposer à lui, mais comment? Comment s'imposer à lui, un mi-homme mi-tigre qui mesure au moins deux têtes de plus qu'elle? Comment s'imposer à une machine à tuer? Elle pourrait peut-être refermer ses doigts sur sa queue de tigre... Mais non, elle refuse, elle veut s'offrir à lui, être son «jouet», elle veut se laisser aller et lui donner ce qu'il veut ce qu'il attend d'elle, elle veut pouvoir supporter toutes ces choses, elle veut continuer à gémir, à supporter ce moment de plaisir qui ne fait pourtant que commencer. Peut-être... Peut-être déciderait-il de la garder au près de lui de cette façon? Peut-être gagnera-t-elle sa place à ses côtés ainsi? Elle l'espère, elle l'espère sincèrement et alors qu'elle se perd dans ce tourbillon de sensations, elle penche la tête vers l'arrière, se cambre et creuse le dos tandis qu'il vient frotter son sexe contre le sien, pourtant tout les deux encore recouvert de leur cuir mais elle le sent, elle le sent si bien qu'elle gémit de plus belle, gémissement qui se terminera par un petit couinement quand son majeur s'enfonce un peu plus entre ses fesses.

Elle sent ses autres doigts glisser sur elle, remonter peu à peu entre ses fesses puis se refermer sur l'une d'entre elles. Ses mains si grandes arrivent si facilement à englober ses hanches ou son fessier, elle se sent étrangement comblée dans ses bras, à l'abri des éventuels dangers et à sa place, elle se sent bien comme elle ne l'a jamais été, elle le sent, elle n'a peut-être plus de souvenir de sa vie passé mais c'est comme une révélation pour elle, elle a beau ne pas avoir de preuves, elle sait que son ancienne existence n'a pas été facile et là, là, il lui semble qu'enfin on lui accorde la paix. Elle profite donc de ce qu'on lui offre, elle se donne toute entière à cette étreinte si possessive. Elle se cambre un peu plus contre lui, venant littéralement s'écraser contre son torse, et gémit de plus belle quand il se met à faire de lent va et vient avec son doigt entre ses fesses, cette fois elle se sent fondre, elle fond oui de sentir le plaisir grimper en flèche et pourtant pourtant, ce n'est que son majeur et rien de plus, mais elle l'aime tellement que le désir qu'elle ressent n'en fais que grandir encore et encore si bien que le moindre contact avec lui la rend frémissante et tremblante. Elle sait son corps devenir plus sensible et plus réactif au passage de son duvet sur elle au fur et à mesure qu'il passe du temps ensemble.

Elle le sait de par chacun des gémissements qui quittent ses lèvres chaque fois qu'il ressort et re-rentre, chaque fois que son doigts va et vient entre ses fesses, elle le voit se rapprocher un peu plus de temps à autres, elle le voit réagir à chacune de ses réactions à elle, elle le voit, elle voit son regard glisser sur son visage, elle sait qu'il l'observe et se régale des effets qu'il a sur elle, et elle ne s'en prive pas, elle les lui offre sans plus discuter après tout, elle se sait incapable de résister à quoi que se soit qui provient de lui. Elle le veut, elle le désir plus que tout et ses doigts qui glissent sous ses couches de vêtements ne peuvent que le prouver, ses mains le caressent fiévreusement comme si déjà elle n'y tenait plus, elle l'effleure puis de façon plus appuyé par endroit, appréciant de pouvoir refermer ses doigts sur sa peau, appréciant de pouvoir faire «rouler» certaines parties de son corps sous ses doigts quand il se décontracte. Il faisait une chaleur insoutenable la dessous, sous ses vêtements et elle se demandait comment il pouvait y résister, n'était-il pas mieux pour lui d'ôter tout ca...?

Elle se demandait si elle allait pouvoir profiter de cet instant, si elle allait pouvoir profiter de sentir à nouveau son corps contre le sien quand il ouvrit les yeux et la repoussa progressivement pour finir par la relâcher, à genoux devant lui. Elle lève les yeux sur lui, surpris de ce changement et se demande un instant si il ne compte pas tout stopper là. Après ce qu'il venait de lui faire non, il ne pouvait pas et pourtant, elle le voit resserrer les ceintures de son pantalon plutôt que de les desserrer mais qu'est ce qu'il compte faire enfin? Elle se pose la question plusieurs fois, encore plus quand il reste là et ne semble pas réagir. Elle baisse les yeux et voit ses griffes parcourir la surface de ses genoux jusqu'à ses cuisses et quand son regard remonte petit à petit, elle voit, remarque bien que sa musculature est parfaitement moulé par le cuir de son pantalon tout comme d'autres choses encore, notamment son sexe.

Et son regard est inévitablement fixé dessus quand ses cuisses se referment sur son visage. Elle tressaille et lève les yeux sur lui, se laissant faire et relevant la tête au fur et à mesure que Zarsh l'oblige à le faire, elle a beau relever le visage, son regard s'abaisse à nouveau quand elle le voit se mettre à onduler des hanches, c'est comme hypnotisé qu'elle le regarde, les lèvres légèrement entrouvertes laissant quelques nuages de buées s'échapper de sa bouche, elle qui a si chaud d'un coup se sent fasciné par ses mouvements, ses gestes qu'il fait, elle l'observe et finit par s'en mordre la lèvre inférieur, elle se rend alors compte de cette petite pique de douleur et ses lèvres finissent par se pincer plutôt. Il lui arrive de relever brièvement les yeux, mais aussitôt son regard baisse à nouveau, elle se sent et sait qu'elle est observé par le félin et ca la fait rougir, elle rougit tout en sachant qu'il la regarde et qu'il sait ce qu'elle regarde et sachant cela, elle ne peut s'empêcher de s'empourprer encore plus.

Et elle rougit, rougit jusqu'au bout des pointes de ses oreilles quand son regard passe et repasse à l'endroit où on peut facilement deviner que se trouve son sexe tant il est moulé par le cuir. Elle admire ce qu'elle fait mais elle le veut plus que tout et son désir grand à cet instant, ce moment où ses yeux s'attardent un peu plus, où il semblent détailler l'image qu'elle voit, oui c'est vrai elle rêve de pouvoir se jeter sur lui et de lui faire l'amour là tout de suite mais elle ne peut de toute façon pas, détenue entre ses jambes qui pourraient la broyer à n'importe quel moment, elle se contente donc d'observer, et de gémir, gémir oui quand elle le voit ouvrir le premier bouton de son pantalon. Elle s'agite légèrement, remue mais se calme quand elle voit la queue de tigre de Zarsh s'avancer vers elle. Elle se calme et amène ses mains jusqu'à sa gorge avant de stopper net dans son élan, se rappelant in extremis qu'il s'agit là de son point faible.

Mais ce calme sera de courte durée quand elle le verra, quand elle suivra ses doigts sur son rebond pubien, quand elle le verra se caresser de lui-même, il cherche à la rendre folle probablement... C'est ce qu'elle se dit en tout cas et elle frémit, frémit si violemment que ses nerfs font légèrement bouger ses doigts, doigts qu'elle crispera sur le cuir de sa jupe, cherchant visiblement à résister à la tentation, à cette horrible et furieuse envie qu'elle a d'y venir poser les doigts à son tour. Elle résiste, mais lâche malgré elle un grognement mécontent, grognement qui roulera longuement dans sa gorge avant de ne cesser aussi rapidement qu'il avait pris quand sa queue de tigre se resserre sur son cou. Elle accepte la sentence, accepte la punition et se mord finalement de façon violente la lèvre inférieur du moins jusqu'à ce qu'il plonge les doigts dans son pantalon. Elle se redresse alors un peu, et l'observe, il fait bien de la rappeler à l'ordre en resserrant son emprise sur elle, elle aurait sûrement profité de cette occasion pour se rapprocher de quelques pas encore mais elle s'arrête aussitôt son premier geste fait, laissant son bras retomber le long de son corps alors qu'elle se met à papillonner des cils en sentant son sexe si près d'elle, elle papillonne des cils puis rouvre les yeux, l'observe un instant et cherche à savoir pourquoi... Pourquoi il la torture de cette façon? Elle sait pourtant, elle le sait parfaitement bien.

Son regard s'abaisse quand elle voit qu'il lève les mains et non, non elle n'y croit pas jusqu'à ce que ses doigts se posent finalement, bien évidemment, sur son sexe. Elle le regarde un moment, l'observe se caresser et se masturber sans plus réagir, elle gémit faiblement, gémit une seconde fois quand elle l'entend murmurer son nom, bon sang, cette façon qu'il a de bouger, de venir parfois écraser ses bourses pourtant encore enveloppé dans son pantalon contre ses lèvres. Elle en deviendrait presque folle, folle oui, elle est vraiment dingue de lui pour supporter tout ca sans broncher, non c'est vrai elle ne bouge pas, se contente de déglutir en respirant de façon saccadé quand une fois de plus elle le voit se rapprocher près, très près de ses lèvres, elle n'en peut plus de ne pas réagir et ca se lit dans son regard quand plus vive que d'habitude, elle se défait de l'emprise des cuisses de Zarsh sur son visage, elle se libère oui et se redresse pour s'avancer à son tour vers son sexe, elle s'en approche, plongeant son regard dans le sien, peut-être le provoquait-elle en faisant cela oui, peut-être... Mais elle s'avance encore et miaule alors que ses mains s'approchent à leurs tours.

Elle attrape son sexe, refermant ses doigts sur les siens, et se tend jusqu'à ce que ses lèvres arrivent à hauteur de son gland qu'elle viendra d'abord effleurer puis embrasser doucement, ses lèvres s'entrouvrent alors que sa langue sort. Elle lèche, d'abord rapidement, le bout de son engin puis plus lentement, la laissant vraiment s'y attarder dessus, et sa bouche s'ouvre, plus grande avant que ses lèvres ne viennent se refermer autour de son gland qu'elle s'est empressé de prendre tout entier, ce n'est que ca et pourtant elle le trouve déjà bien imposant. Elle fait quelques allées et venues avec sa bouche, s'amusant à faire jouer sa langue dessus, puis le relâche et le lèche de nouveau à plusieurs reprises avant de se décider à faire descendre sa langue plus loin, parcourant son sexe tout entier, s'arrêtant par endroit et venant en emprisonner délicatement la peau entre ses lèvres pour la sucer oui, la sucer puis la re-lécher encore et encore. L'une de ses mains descend plus bas encore et vient caresser du bout des doigts ses bourses moulés par le cuir. Elles les caressent, les effleurent puis s'aventurent jusqu'aux boutons du pantalon qu'elle cherche à ouvrir.

Son désir grimpe et elle se sent envahis par ds bouffées de chaleur qui font son visage se colorer de couleur vive. Elle a l'impression d'étouffer dans ses vêtements mais elle n'a pas le temps... Le temps de desserrer les lacets de son corsage et puis elle n'est pas sûr que son tigre apprécierait cela, elle se contente donc de respirer de façon rapide, son cœur battant puissamment dans sa poitrine et rendant son souffle court. Elle gémit parfois et frissonne mais se concentre sur sa tâche. Elle espère ne pas être «bousculé», elle espère ne pas se faire envoyer valser, elle qui, après tout, ne demande qu'à participer... 
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Zarsh

Zarsh


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MessageSujet: Re: Les Rues Marchandes   Les Rues Marchandes Icon_minitimeMer 19 Juin - 18:35

Par tous les démons de l'enfer HAwMmmRrrMMmRRrrrr ♥... C'est tout ce qu'il espérait et plus encorrre en la faisant languir de la sorte, Lorsqu'elle n'en peut plus et se jette soudaineemnt à la rencontre de son sexe bouillant, il louche, louche aux cieux en fermant ses paupières de ressentir, la délivrance de la fraîcheur de ses lèvres et sa langue sur cet objet phallique, nervuré et épaissi de veines palpitantes, louche à des cieux que ses paupières lui refusent de regarder, mais que son semi sourire de lèvres béates entrouvertes envoyent aux dieux qui l'accablent sur cette terre, toute la perdition de son plaisir rauque et ronronné entre ses lèvres tremblantes comme, un défi, une provocation à toutes les horreurs qu'ils ont dressé sur son chemin pour tenter de l'empêcher de profiter depuis très, trop longtemps de ce genre d'instant de pur bonheur.

Et il en prrrofite, çaaaah, oh çaaaah oui, GrawRrr... La laissant finalement bien libre de ses mouvements, se griffant les propres hanches en ayant laissé tombé, au préalable sa tunique de cuir sur le sol, ses griffes déchirant les bandages qu'il avait pourtant tressés, et tirés sur son ventre, ses hanches pour qu'elle soutiennent son corps dans tout ses mouvements, il écarte légèrement les cuisses pour que ses pieds prennent un appui plus stable, s'étant senti chavirer, presque "tomber" en déséquilibre vers l'arrière quand sa langue est venue parcourir toute la longueur de sa monstruosité en ébulition, les griffes métalliques de ses bottines s'aggripent fermement dans le sol, et ses hanches qui, s'étaient arrêtées par surprise, ses fesses et ses cuisses qui s'étaient elles aussi contractées et compactées sous le même effet se relachent peu à peu dans un mouvement lent, dansé, exotique et félin à souhait, accompagnant parrrfaitement l'ardeur et l'appétit que Jade met à la tâche...

Lorsqu'elle englobe sa belle grosse fraise dont le col, la tubelure bien marquée et prononcée est bordée de pointes de chair souples, il s'en bouffe l'articulation des phalanges de l'index entre les dents et s'arque d'avantage, levant les talons en frappant nerveusement le sol du bout de sa queue de tigre, ses doigts de pieds trépignent, ses griffes montent, et redescendent le long de ses propres hanches et de son ventre jusqu'a toujours revenir "masser" et grattouiller son rebond pubien tigré, avant qu'elles ne remontent juqu'a son torse, sa nuque, son visage ou chacun de ses petits doigts sera pincé par ses canines plus longues, il se déhanche lentement, se tords, parcourant ses propres cheveux avec ses griffes, en tirant une langue vicieuse entre deux halétements, mais surtout lorsque ses doigts viendront, de plus, prendre bien soin du beau grand rebond entre ses cuisses, inclinant presqu'instinctivement son bas ventre quand elle se met à les caresser, les masser de ses doigts...

Ses yeux brillent d'une étrange lueur lorsqu'elle abat si loin ses lèvres sur son sexe tout en cherchant à satisfaire les démangeaisons épouvantables qu'il peut ressentir au niveau de cette fascinante rondeur encore bien, et joliment emprisonnée dans ce cuir luisant, pourvu qu'elle continue, pourvu qu'elle les lui masse, les lui caresse encore... Qu'elle les lui grrrrattes du bout des ongles, les mordent même où les racle de ses dents pour soulager, ne serait ce qu'un peu la pression, la démangeaison insoutenable qui les parcourt, pourvu qu'elle continue, oh oui... Par tous les djinns et serpents de sable du désert, pourvu qu'elle continue avec cette même envie, cette même hargne, rage d'envie, cet appétit si délicieux à subir, il n'était pas mécontent d'avoir pris le temps de la mettre dans cet état, même si l'explosion se fit un peu plus "tôt" qu'il ne l'avait imaginé et se serait probablement amusé un peu plus longtemps de son désarroi...

C'est à son tour de s'empourprer, d'avoir du mal à soutenir ses regards quand elle s'abbat si goulument sur ce cierge en chaleur, si chaud, si tendu et excité désormais... Elle peut ressentir à chaque passage de ses lèvres où sa langue un sang fauve, sauvage, trrrès sourd et puissant battre dans les veines épaisses de cette "horreur", il semble y avoir tant de sang dans cet objet dressé qu'on pourrait avoir du mal à croire qu'il en reste pour ses fonctions cérébrales, et à vrai dire, au diable la raison, la logique, la retenue, à cet instant il se sentait terriblement soulagé, soulagé de la fraîcheur du visage de Jade et même de ses doigts prenant soin de ses "chaleurs", sa langue et ses lèvres étaient semblables à une oasis en plein désert, et il lui avait semblé marcher comme ça, des siècles et des siècles sous un soleil de plomb avant ne serait ce que lui soit accordé la plus petite goutte d'eau, et elle lui offrait sa brise légère sur ses charbons, sur ses braises ardentes, incapable de penser à autre chose qu'au foutu plaisir que lui offrent sa bouche... Tant et si bien que pour mieux en prrrofiter, prolonger chacune de ses bénédictions buccales ses fesses, ses hanches et ses cuisses entrent en mouvement, un mouvement de pivot sur l'axe de sa colonne, lent, giratoire, une fesse se "crispant" après l'autre sous le cuir de son pantalon, un talon remontant après l'autre aussi, trépignant pendant qu'il s'exerce à cette petite rotation qui "fores" parfois un peu plus loin la chair généreuse, si généreuse... peut être un peu trop d'ailleurs, pour sa bouche...

Heureusement pour elle la "chair" plus extérieure de l'épaisseur de ce "truc" est plus maléable, "molle" mais par contre très rigide et ferme en son coeur ce qui la tient exceptionnellement droite pour sa taille et son poids, mais permet aussi d'engoufrer son cuir bien brun plus loin dans sa bouche, de faire grappeller et "plier" quelques unes de ses grappes de raisins sur le contour de ses lèvres pour qu'elles s'introduisent dans sa bouche et lui gonflent un peu la peau des joues, sans doute doit elle entrouvrir bien à fond la mâchoire, sans doute ne lui a t'on jamais "bourré" la bouche avec une masse de "viande" aussi foutrement large qu'encombrante...

Alors qu'il continue de se cambrer, jeter ses hanches tournoyant leeentement vers l'avant, sa tête toujours penchée en arrière quand son regard ne redescends pas vers elle pour que ses yeux plissés et sa langue mordue entre ses dents lui montrent, tout le bien qu'elle lui procure, il glisse ses mains dans ses cheveux, il glisse ses griffes sur son cuir chevelu et lui graffigne, lui caresse, lui cajole la chevelure en ronronnant plus haut, plus intensément, ses souffles sont longs, longs, terriblement suaves et rrrauques, parsemés de " HaaaWRrRrrrr..." ou de "HMMRrrRRRrrFFfffRRrrrrr...", preuve supplémentaire étant qu'il rafole de ce traitement est, que sa propre queue de tigre s'enroule autour du poignet de la main qui lui caresse les bourses et l'appuye, drrrôlement plus fort, comme pour te montrer que tu peux vraiment y aller, que tu n'a pas à avoir "peur", ça n'est pas aussi "fragile" que ça, mmrrr ?

Sans cesse ses cuisses bougent au rythme de son bassin traçant de légers et lents cercles, sans cesse ses fesses se contractent et le bas de son ventre en fait autant, ses abdominaux comme "tirés" vers le bas à certaines occasions quand il se crispe, puis se détends à nouveau, sa tête voyage en sur le coté et laisse trainer ses capoules sur ses épaules, qu'il s'embrasse du bout des lèvres où se mords même parfois, t'envoyant quelques oeillades complices qui t'intiment là encore tout le foutu bien que ça lui fait, sinon il ne se cambrerait pas, ni n'aurait les oreilles qui vibrent autant, et n'aurait cerrrrtainement pas l'air de se perdre, s'adonner autant à son plaisir à en chavirer la tête comme çaaah, laisser trainer ses griffes sur sa propre poitrine, tirer parfois la langue du bon plaisir que cette foutue torche de nerfs érogènes, viciée par un sang "impur", luxurieux, battant dans son organe, lui procure, oui, a t'elle la moindrrre idée, la moindre idée du plaisir, de la douce délivrance qu'elle lui offre ?

"- HHhhaaaahhh... Haaaaaaaaahhhh... HmpFRrrr... J... J'devrai... Te punir sévèrement... Pour cette... Cette audaaaace... GRrrRrrr... Ah putaaaaaaaaaaaainMRRrRrr !! Comment oses... Comment oses tu... M'assaillir de la sorte."

HaaanwRrr Tais toi... Taaais toi comme si c'était le moment de la mettre dans le doute ce qu'elle faisait était parrrfait, parfait... Il avait si chaud qu'il commençait à être recouvert d'uen fine péllicule de sueur qui se mettait à faire luire la surface de son duvet, laissant ainsi la lumière lécher et souligner d'avantage, toutes ces formes où ses rayures ne faisaient que rouler, onduler, comme des serpents charmés par la luthe du fakir, elle peut le voir loucher à nouveau entre deux profondes inspirations, essayant de détourner tant que se peut son regard de ton visage là dessous, qu'il ne pouvait pourtant pas ignorer très longtemps, les bruits de succions parvenant à ses oreilles, ses doigts reviennent flatter, cajoler, ta chevelure, tes oreilles gentiment jusqu'a la pointe, te laissant prendre toutes tes aises, ton temps si tu en as envie, se soumettant à ton rythme et la terrible envie qui te possèdes.

"...N... Non... J... Ne t'arrêtes pas... Ne t'arrêtes surrrtout pas... Caresses moi... Manges moi... Dévorrres moi... Grrrattes moi... Fait tout... Tout ce qui te passe par la tête... J'ai été un bien vilain tigre, oh oui... ça je suis un beau salaud mrrr ? Je t'ai mise dans cet état... épanche ta soif, ta faim... Prrrofites en tant que tu le peux... Utilises bien ta langue et humidifies ça, car là où ça va aller tu en aura drrrôlement besoin, c'est une promesse... ♥"

Ses orteils se croisent sous ses chaussures, son dos se cambre, les bandages noyés de cette fine péllicule de sueur finissent par tomber au sol, ses mains continuent inlassablement de graffigner du bout de ses griffes sa chevelure pour lui prouver toute la grattitude qu'il ressent, son regard semble, parfois "désolé" d'avoir à imposer une chose aussi épouvantable, aux proportions dythirambiques à sa bouche, mais il semble qu'elle n'en ait cure, que son appétit à soit à la hauteur, et bien plus encore, il en frissonne en tremblant des lèvres, laisse sa tête effectuer de telles rotations que quelques cervicales en "claquent" autant que ses vertèbres distendues et tendues par ses étirements souples, si souples et félins, les ondulations de son ventre mettent délicieusement au travail toute la partie abdominale bien enchevêtrée et enchassée autour des rondeurs musclées de ses hanches qui, se donnent en spectacle juste pour l'envie, le plaisir et le désir de sa douce petite chatte, qui lui à fait l'énorme plaisir, de miauler, c'était presque sorti instinctivement de sa bouche, il ne savait plus quoi dire, quoi faire si ce n'est, de se laisser faire, et bon sang qu'elle faisait ça bieeeen ♥ Il avait envie qu'elle y prenne goût et que celà, continue...


Et entre deux rauques respirations et une langue légèrement pendante sur le joli balcon de sa lippe inférieure, elle put entendre un "-Mrawr ♥"  de pur plaisir, de pure satisfaction...
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MessageSujet: Re: Les Rues Marchandes   Les Rues Marchandes Icon_minitimeMer 19 Juin - 21:08

Ce sourire qui élargissait ses lèvres étaient... Bon Dieu, c'était la première fois qu'elle affichait un tel sourire, un sourire assez grand pour «fendre» son visage en deux, sourire qui exprime probablement des tas d'émotions en même temps, à commencer par la satisfaction de voir son tigre réagir de cette façon si... délicieuse et si agréable à détailler, à regarder encore et encore, pour finir par le plaisir qu'elle ressent elle-même à cet instant, même si elle ne fait que satisfaire son amant, elle y prend goût et se régale, en passant par la tendresse qu'elle peut ressentir pour lui ou encore par cette passion dévorante qui grandit en elle et la consume, bref elle est heureuse et si elle était aussi féline que lui elle s'en pourlécherait sûrement les babines, elle se mettrait sûrement à ronronner et à pousser des feulements de plaisir, oh oui, elle est satisfaite, comblée de le voir ainsi loucher aux cieux, heureuse de le voir sourire de cette façon qui lui fait penser qu'il adore probablement ca, elle voit et remarque tout, note chacun des détails de son visage à ce moment là, souriant de voir sa lèvre inférieur trembler légèrement.


Mais ce qui la fera sourire d'avantage sera probablement de voir sa tunique en cuir tomber au sol à côté du banc où il se trouve, il se décide enfin à retirer cette partie de sa tenue et pour elle c'est une grande avancée, ne restait plus qu'un morceau ou deux de sa panoplie à lui faire quitter et bon sang! Elle aurait alors tout le loisir de le caresser, de toucher et d'effleurer sa peau bien que le principal soit déjà entre ses mains, elle se plaît à imaginer la suite de la chose. Elle resserre légèrement son emprise sur son sexe alors que sa langue glisse et lèche l'une de ses veines si visibles qui parcourent tout son sexe, elle en ferme les yeux de plaisir et frissonne en les rouvrant tandis qu'elle lèche à nouveau sa peau. Elle continue son travail, se concentrant sur sa tâche, relevant parfois les yeux sur lui pour regarder, pour observer ces petits effets qu'elle provoque chez lui. Elle remarque bien vite ses chavirements, ses fois où il donnerait presque l'impression de tomber et de «crever» de plaisir, elle sait que c'est grâce à elle et elle continue de s'en donner à cœur joie sans doute, pour le plus grand plaisir de son tigre...


Elle comprend rapidement qu'il n'a pas l'intention de rester sans rien faire, elle le sent se mettre à onduler, danser de façon féline pour accompagner ses mouvements et ce n'est pas pour lui déplaire, elle accepte ca et le prend bien, elle accentue ses mouvements de langue, allant parfois très lentement puis recommençant à parcourir son membre de long en large plus rapidement avant de se décider à nouveau à venir «chatouiller» son gland. Elle avait parfaitement bien remarqué cette réaction si particulière qu'il avait eu quand elle l'avait englobé de ses lèvres pour y faire de légers va et vient et ca lui plait, ca lui plait de le voir ainsi réagir, c'est pourquoi elle n'hésitera pas à le faire une seconde fois, faisant d'abord glisser sa lngue bien longuement sur le bout avant de finir par s'avancer vers lui et de refermer ses lèvres autour lentement, bien lentement tout en le regardant droit dans les yeux, l'englobant totalement. Elle viendra alors presser d'elle-même sa langue sur son gland, variant les sensations par jeu de pressions qu'elle exerce comme elle en a envie, s'amusant, se jouant de voir toutes ces réactions passer sur son visage.


Elle s'empourpre d'avantage en voyant son regard, cette lueur qui parfois se met à luire dans ses yeux, elle rougit et se sent submergé par d'intenses vagues de chaleur tant et si bien qu'elle ressent l'irrépressible envie d'ôter ses vêtements à son tour mais elle ne le fera pas, préférant subir la punition que lui aura infligé Zarsh en resserrant les lacets de son corset, elle ne retire donc aucun vêtement et suce et lèche de plus belle son sexe, aspirant sa peau entre ses lèvres, la libérant puis s'aventurant plus loin, pour recommencer encore et encore, sa main caressant du bout des doigts ses bourses bien rondes encore recouvertes du cuir noir, elle les masse longuement avant de se décider à tendre les doigts vers les boutons de son pantalon qu'elle essaye tant bien que mal d'ouvrir et lorsque le deuxième cède elle sent un sourire poindre sur ses lèvres, sourire qui s'effacera rapidement quand elle glisse sa langue jusqu'au plus près de la base de son sexe, s'attardant plus longuement sur cette zone tandis que ses doigts s'agitent et cherchent à faire capituler le dernier des boutons de son pantalon qui malheureusement pour elle moule tellement bien son corps qu'elle ne peut faire autrement si elle désire prendre aussi soin de ses bourses...


Bourses qu'elle sortira peu à peu de leur écrin tandis qu'elle s'arrête, qu'elle cesse subitement de faire voyager sa langue sur son sexe, n'empêche, elle reprendra rapidement toutes ces lèches qu'elle y appose, ses deux mains le lâchant, elles iront chacune d'elles empoigner ses bourses, les «soupeser» puis les faire rouler entre ses doigts avant de le lâcher également. Cette fois ses doigts s'enroule autour de son membre pour le redresser un peu, elle s'abaisse et passe en dessous pour y prodiguer une longue lèche, commençant par embrasser son gland puis laissant sa langue descendre peu à peu le long de son engin jusqu'à... jusqu'à arriver à la base de son sexe qu'elle viendra patiemment et tour à tour embrasser puis lécher avant de descendre un peu plus encore et de s'en prendre à ses bourses. Elle leur fait subir le même sort une par une puis tandis que l'autre est malaxé entre ses doigts, l'une subit toutes sortes de situations, à commencer par cette lèche qui goûtera la fine pellicule de sueur qui recouvre le corps tout entier de son tigre, passant par ses lèvres qui vont se refermer sur une partie d'elle pour la suçoter pour finir par ce très léger mordillement qu'elle s'autorisera à reproduire plusieurs fois.


Et chacune leur tour, elles subissent le même traitement avant que sa langue ne décide de remonter peu à peu, soulignant certaines zones, appuyant un peu plus à certains endroits. Mais elle n'en reste pas là et elle se plait à les faire rouler, jouer entre ses mains, raffermissant parfois l'emprise de ses mains, griffant doucement parfois.


Ses lèvres remontent donc sur son membre qu'elle dévore de baisers ardents, elle remarque bien ses clins d’œils complice, elle voit bien à quel point ce traitement lui plait et elle, elle se régale comme jamais, profitant de chaque parcelle de peau de ce sexe si imposant qu'elle adore, qu'elle adule presque tant son corps le réclame. D'ailleurs, elle est humide, plus qu'humide même, sa coule entre ses cuisses tant elle le désir et elle ne semble pas y faire attention, non, elle est tellement oui, tellement concentré qu'elle en oublie l'endroit où ils sont et elle se mets à miauler de plus belle quand elle voit ses propres griffes trainer sur son corps, elle miaule à plusieurs reprises, comme un chat miaulerait pour son maître. Elle s'arrête un instant en l'entendant, reportant son regard dans le sien, presque comme si elle le défiait de mettre cette sentence à exécution. Néanmoins elle reprendra rapidement ses petits miaulement quand ses doigts viendront se perdre dans sa chevelure, miaulements qu'elle laisse échapper entre deux sucions qu'elle appose sur son sexe tout en remontant peu à peu vers son gland.


Elle entend ses mots mais ne dis rien, préfère continuer à se régaler de son membre qu'elle ne cesse de choyer, de lécher et de suçoter comme si il s'agissait là d'une délicieuse glace, glace pourtant bien plus imposante que les autres mais elle n'a pas froid aux yeux non, et elle le prouve en remontant lentement jusqu'à son gland qu'elle viendra enfermer entre ses lèvres à nouveau, elle fait quelques mouvements lents, elle laisse longuement ses lèvres en caresser la surface, le goûte savoureusement puis elle semble se retirer, elle ne le lâche cependant pas jusqu'au bout, elle en garde l'extrémité dans la bouche, extrémité qu'elle viendra titiller du bout de la langue de se décider à le suçoter. Ses doigts remontent à leurs tours jusqu'à son gland puis redescendent en même temps que ses lèvres qui dépose par ci par là un baiser léger ou appuyé selon sa préférence, elle revient, revient lentement vers lui, jusqu'à ce qu'elle se retrouve plaqué contre lui, l'une de ses mains venant glisser sur son torse et l'autre caressant l'une de ses hanches. Elle tend son visage vers lui et le regarde d'une façon, terriblement provocante.

Peut-être... Peut-être devrions nous trouver... un endroit plus intimes...?


Elle le griffe gentiment, puis attrape l'une de ses mains qu'elle amènera d'elle-même jusqu'à ses lèvres entre lesquelles elle emprisonnera l'un de ses doigts, doigt qu'elle sucera à son tour tout en le regardant encore.    
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Zarsh

Zarsh


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MessageSujet: Re: Les Rues Marchandes   Les Rues Marchandes Icon_minitimeJeu 20 Juin - 18:59

Qui pourrait croire qu'une telle chose soit... soit possible, imaginable même... Il halètes à chaque passage de sa bouche, sa langue, et ses doigts boooon dieu ses doiiiigts !! S'il voulait une preuve de son affection, de la sincérité de ses "sentiments" à son égard, il ne pouvait pas mieux l'obtenir dans l'envie sincère, gratuite, inconditionnelle de sa personne se livrant à bien des massages, adulant ses parties intimes, les cajolant, les choyant comme si tout, tout ce qui passait sous ses lèvres où ses doigts étaient très, très précieuses, rares et précieuses, autant qu'enviées à un point qu'il n'aurait jamais pu... Jamais pu ne serait-ce qu'en rêver... Les regards complices échangés à tout instant entre eux, l'expression de satisfaction, de bonheur de Jade à chaque foutue seconde lorsqu'elle se régale littéralement de ses chairs viciées, y avait il quelque chose de plus beau à voir que cette pure envie, cet amour dispensé à son corps que beaucoup trouveraient monstrueux, entre ses mains, entre ses lèvres, abandonné à elle à cet instant, il se sentait être le centre de toutes ses attentions, et quelles attentions... Qui parvenaient même, lui ! Qui à plusieurs siècles au compteur, a le faire rougir, chavirer sur ses pieds, perdre l'équilibre, il en oubliait tant de choses, il en oubliait peu à peu toutes les horribles choses qu'il avait subies dans son existance, elle avait ce "pouvoir", de tout lui faire oublier en sa présence et de ne plus vouloir qu'être son exutoire...

Il poussera d'autres soupirs de contentement lorsqu'elle détachera, les uns, après les autres les boutons de ses braies, et un profond, très long râle, salvateur, lorsqu'elle libérera ses bourses de leur carcan de cuir, les laissant enfin prendre le frais depuis qu'elles sont injustement serrées là dessous, et bon dieu qu'elles le démangent, et bon saaaang qu'elle y répond comme si elle lisait dans ses foutues pensées, en grrrrattant leur surface bien lisse du bout de ses ongles, les masse et les soupèse, il en écarte un peu mieux les cuisses pour qu'elle ait touuuuute la place possible pour exercer ses envies, qu'il ne veut, oh non, pour rien au monde stopper à ce stade, il n'est plus du tout crispé, lui fait... Totalement confiance... Elle appose des gestes incroyables, qui sont toujours une foutue extension de ses propres désirs enfouis, cachés, et qu'elle épanouit au grand jour en le regardant, l'observant sous toutes les coutures de ses réactions, de ses expressions du visage, il lui arrivera même de devoir prendre, un peu appui sur ses épaules où sa tête, penchant le haut du corps vers elle, arque boutant le dos comme s'il cherchait à reculer ses bourses pour vainement tenter de lui échapper lorsqu'elle se met à les flatter de ses lèvres et sa langue...

...Lui, tires presque grossièrement la sienne hors de son palais, débordant largement du rebord de sa lèvre inférieure tandis qu'elle le "branles" / masturbes de ses fins et frais doigts sur sa hampe pendant que sa bouche s'en donne à coeur joie sur ses ballons de cuir pressurisés, l'expression de son visage "débilitée", ahurie de plaisir, yeux plissés, louchant presque, langue pendue et respirations chaudes, brumeuses, sortant de sa bouche, graffignant à nouveau les cheveux de sa bienfaitrice, il sent son plaisir poindre, monter en flèche, ses chairs ventrales et phalliques se contracter de plaisir, ses pieds se tordre à terre, et sa queue de tigre, se dresser, presque "droite" derrière lui, hérissée, il subit... Et subit encore... Voudrait que ça ne s'arrête, HauWrRrrRr Jaaaamaaaais, jamais, non jamais !

Mais le "pire" sans doute, est l'utilisation de ses ongles comme des espèces, de griffes sur le bon cuir tanné de ses bourses, chatouillant ces dernières pendant qu'elle miaule, entre deux plus "profondes" succions de son membre, et aux respirations longues et brumeuses viennent s'ajouter des grognements, feulements rauques, "HRRrrr ... HRrrrr... HRRRrrr..." indiquant qu'il était au bord, du bord du précipice d'un orgasme, il commence à en suer légèrement, perler sur tout son corps quelques gouttes de sueur huilant un peu plus ce dernier, l'une d'entre elle récoltée du bout de sa langue, où tombant directement du bout de sa lèvre, dans sa bouche pour y dispenser un goût légèrement salé, Bon dieu oui qu'il en crrrève, crèves de plaisir, il ronronne à tue tête et s'en bouffe les griffes, le sang pulsant dans ses épaisses veines remontant le long de son engin est caressé du bout d'une langue, qui prend soin de l'une de ses veines par dessus le cuir, presqu'aussi grosse qu'une artère, léchée et apaisée par la fraîcheur de cette langue...

Elle se fait lente et longue, prenant décidément le temps, bien le temps de dévorer ce monstre, d'en pôlir le bord, la petite zone si sensible et érogène sous cette belle gosse fraise, elle n'hésitera pas non plus, pas le moins du monde, affamée, assoifée, à récolter le nectar chaud qui luit déjà sur ce membre, qui rissollerait presque à sa surface tant elle bout, pulse, offrant des couleurs cuivrées, huilées et rissolée, dorée, comme si elle cuisait sous sa propre chaleur, véritable volcan nerveux prêt à éclater à chaque seconde, c'est si bon qu'il à bien du ralentir, lui aussi, ralentirrr la rotation de ses hanches, de ses embardées souples avec son bas ventre, pour profiter, pour prrrofiter longuement, se délecter de chaque foutue seconde passée à ressentir les foutues démangeaisons, irritations de son membre s'apaiser sous les baisers et ravalements gourmands... Bien gourmands de sa protégée... Sa douce petite chatte qui ne cessait de miauler, miauler, miaaauwler en accéllérant légèrement la cadence, à chacun de ses miaulements, couplés à ses grattouillages et massages boursiers et ses succions avides, le propulsaient plus "haut" sur ses pieds, sur le bout de la plante de ses pieds, presque sur ses orteils même...

Sa queue de tigre se dresse, se dresse, s'étire, s'hérisse, sa langue glisse et caresse son propre palais tandis qu'il papillonne des paupières du plaisir si riche et intense qu'elle lui procure, elle s'occupe tant, tant et si bien de lui, que ça en devient le plus incroyable des supplices, s'il se tord où se déhanche cette fois c'est bel et bien sous la crispation de ses muscles ventraux, fessiers où hanchiaux qui tentent de se contracter pour "maîtriser" la montée si rapide de son propre plaisir, c'est tellement beau... Tellement bon... Il n'aurait pratiquement aucuuuune envie que celà s'arrête, il lui arrive de "plonger" presqu'instinctivement sa masse de chair si viciée, impure, dans sa bouche à pratiquement l'en étouffer, caressant sa glotte où même ses amygdales avant de faire machine arrière en se rappellant tout de même, qu'il s'agit de sa gorge, de sa bouche, de son si joli visage, il s'en voudrait tellement s'il y avait le moindre risque qu'il l'abime.

Sa bure pulse d'un sang volcanique, plus chaude, plus dure, comme si le sang se transformait en véritable basalte dans son objet phallique et faisait foncer encore un peu plus le cuir qui la recouvre, déjà bien brune elle le sera d'avantage, plus foncée, lorsqu'elle se dirige vers la base de sa verge avec sa bouche, titillant toute cette zone en plus de malaxer ses bons petits melons de cuir, il n'en peut plus de ce traitement, il ne la savait pas si audacieuse, ni aussi... aussi "vicieuse" ? Vicieuse pour lui, vicieuse de son corps, ses réactions sont toutes aussi surprenante, qu'elles ne constituent une succession de découvertes toujours plus agréables que la précédente, et il en halètes et en rougis ce beau salaud, se laissant complétement faire cette fois, n'ayant aucune, auuuuuuuuucune envie de l'arrêter dans son élan, s'offrant même en posant ses mains sur le coté de ses hanches, ses pouces poussant sur le coté de ses fesses pour "jeter" son bas ventre vers elle et bien incliner ses parties génitales afin qu'elles lui soient offertes dans une liberté absolue... Lui faisant to-ta-lement confiance à ce stade, elle les dégustait chacunes avec une envie telle qu'il ne pouvait plus, oh plus se contrôler, il ne pouvait plus sortir ces images de sa tête, ni la situation si exquise dans laquelle il se trouve, même ses efforts pour essayer de calmer sa respiration rapide et rauque étaient vaines...

Alors qu'elle suce, englobe et ralèche ses bourses, qu'elle les grrratte et gratte, griffe, une énième fois, elles se mettent à grossir légèrement avant de se contracter, son corps aussi se contracte nerveusement, tandis que ses griffes s'enfonçent dans le cuir recouvrant ses cuisses en remontant vers son ventre, il explose, il jouit, rugissant aux cieux, une généreuse lampée parcourt l'organe gonflé avant de s'échapper, très haute, très lointaine, un jet d'une puissance formidable parcourant de nombreux mètres avant même de s'échouer au sol, suivi d'un second et de beaucoup d'autres encore, passant par chance bien loin et bien au delà du niveau de la tête où du visage de Jade qui semblait trrrès occupée encore, alors qu'elle ne pouvait que se "douter" de ce qui se passe lorsqu'elle sent ses bourses "fondre", se dépressuriser entre ses lèvres, pulser elles aussi en se vidant peu à peu, il en louche, non, en révulse les yeux même, et doit se rattraper, poser rapidement un pied plus en arrière pour s'éviter... s'éviter de tomber, il rugit si haut, si fort que les oiseaux du bois à proximité s'envolent au loin, et qu'il est fort probable aussi que les proies de petite taille se soient elles aussi enfuis de leurs terriers.

Les jets onctueux semblent même s'amplifier lorsqu'elle mordille la surface du beau cuir de ses bourses entre ses dents, c'est comme s'il avait toujours, touuuujours eu besoin de ce traitement parrrfait sur ses pauvres bourses irritées, sa langue pendouille, vicieuse, son regard abruti de plaisir s'embrume tandis que ses respirations brumeuses, chaudes, s'amplifient, rauques et de plus en plus "graves", profondes, s'abandonnant à la multiplicité des orgasmes qu'elle lui procure en sentant ses cuisses trembler, elle peut aussi sentir le cuir plus souple de ses bourses à nouveau se tendre, se remplir, redevenir bien "plein" avant de projeter de nouvelles et généreuses lampées qui le font se pencher un peu vers l'avant, arquer le dos, se retenir même de ses mains sur tes épaules, sa voix prononçant ton nom d'une façon, presque suppliante, et malgré celà, malgré ses appels à la grâce, à ta clémence, ce beau salaud continue d'arquer sa chute de rein et d'écarter les cuisses...

Il était encore dans les vappes lorsqu'elle l'achève d'autres succions sur son sexe, qu'elle continue encore, encore... EncoRrrre de s'en occuper avec une tendresse presque maternelle, amoureuse, l'engouffre plus profond que jamais entre ses lèvres et ne lui accorde, non, hawrrr, aucun répit, il halètes à s'en laisser tomber quelques gouttes de salive du bout de sa langue pendant bien par delà le balcon de sa lippe inférieure, allait elle... Allait elle seulement s'arrêter... Pourvu... Pourvu qu'elle s'arrête... Où non... Par tous les démons de l'enfer qu'elle continue, qu'elle abuse, et lui use, la suce comme une foutue glace jusqu'a peût être même la faire fondre, ses griffes s'enfonçent légèrement dans ses épaules quand elle se plait à titiller le bout du bout de sa fraise avec sa langue devenue foutrement savante, experte, il lui offrira une gorgée longue et généreuse de son nectar alcoolisé.

Lorsqu'elle remonte à lui il est encore dans les étoiles, le regard plissé, embrumé, la langue semi pendante et les lèvres entrouvertes, incapable... de réfléchir, de raisonner, pour quelques secondes encore, son pauvre esprit cherchait à attérir, redescendre sur terre, et voilà qu'elle l'assaille à nouveau de son corps collé contre le sien, sa verge glissant entre ses cuisses pour se frayer un chemin moelleux entre ses lèvres et ses fesses, remontant alors, jusqu'a légèrement dans son dos, une assise mi dure, mi molle car sa verge encore si sensibilisée par ses jouissances multiples s'en trouve, justement très, très sensible pour quelques bonnes dizaines de seconde, il émerge, doucement, ravalant enfin sa belle petite langue et cligne des yeux lorsque Jade se met à parler :

Peut-être... Peut-être devrions nous trouver... un endroit plus intimes...?

Cette fois sa "bête" prendra le relais, surtout lorsqu'elle comprendra qu'elle en veut cette petite garce, qu'elle en veut encore, il pose un regard amusé autour de lui, trouvant la situation semi-publique fort appréciable, si ce n'est "marrante" mais, comprend plus que bien les "soucis" d'intimité de Jade, après tout il n'aimerait pas non plus être surpris la culotte baissée même dans une rue semi déserte, ça ferait non seulement mauvais genre mais ils pourraient se faire arrêter pour exhibition, et choquer même quelques âmes sensibles...

"- HmRrr... tu as raison... Il nous faut trouver un lieu où tu pourras... hurler à ta guise, jurer comme une roturière sous la torture, à t'en rompre les poumons sans ameuter la moitié d'une cité, et je pense connaître l'endroit parrrfait pour cela..."

Il claque l'une des fesses de Jade avec l'une de ses bonnes paluches et l'emmène, faisant le tour du banc pour que leurs silhouettes s'évanouissent dans la nature, laissant ce lieu enfin en paix.
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